Campagne de dons – Juin 2020
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par Patrice Gibertie.
Non seulement ils interdisent les vieilles molécules qui guérissent mais après l’échec de leur Remdevizir et autre Kalétra ils veulent nous vacciner avec un vaccin virtuel
Christian Perronne publie un pamphlet, mieux le cri de colère d’un honnête homme las de prêcher dans le désert : « Y-a-t-il une erreur qu’ils n’ont pas commise ? »
Il était impossible de prévoir l’ampleur de cette « pandémie ». Mais il fallait être prêt, et nous avions les moyens de l’être depuis longtemps. Or, nous ne l’étions pas: ni du point de vue de la logistique ni du point de vue de la doctrine sanitaire.
La crise du coronavirus a plus durement touché la France que d’autres pays, parce qu’elle était gérée par des personnes, certes bouffies de certitudes, mais n’ayant pour la plupart aucune expérience de la gestion de crises sanitaires. Alors qu’il fallait se mettre dans une logique de médecine de guerre, où chaque jour compte, elles ont poursuivi leur train-train quotidien comme si de rien n’était. Nos dirigeants nous ont à plusieurs reprises fait la leçon, en disant que c’était facile de critiquer a posteriori, et de donner des conseils déplacés quand c’était trop tard.
Perronne fait une charge contre les décideurs de la santé en France, à la fois technocrates incompétents et sous la domination des labos. Le Haut Conseil est perverti dans ses décisions en raison des liens entre ses membres et les labos. Le plus bel exemple est le fameux projet Discovery qui devait dire la vérité sur l’hydroxychloroquine Mené par un consortium, Reacting c’est-à-dire Delfraissy etYazdanpanah.
Les labos voulaient promouvoir le remdezivir de Gilead et le Kaletra d’Abvvie. Certains membres du Haut conseil ont touché près de 100 000 euros de rémunération des labos…
Sauver le Remdevizir qui ne sert à rien
Quand on pense à la chasse orchestrée à la Chloroquine et au Raoult et qu’on voit cette publicité tranquille du 3 juin pour la molécule de Gilead qui n’a pas été validée (une étude chinoise en a même démontré l’inefficacité**) on se rend compte de l’état catastrophique de notre pays soumis aux vents les plus mauvais.
Manque de chance, ces molécules très chères sont totalement inefficaces…alors les labos décident d’en sortir un vaccin qui rapportera beaucoup
Ils achètent un vaccin qui n’existe pas encore !
Quatre États de l’Union Européenne ont signé un accord de principe avec le laboratoire AstraZeneca, samedi 13 juin. Si le vaccin expérimenté par ce groupe britannique aboutit, les pays membres de l’UE seront assurés de bénéficier d’un accès privilégié aux doses. « Cet accord permet de fournir jusqu’à 400 millions de doses de ce vaccin avec un début de livraison (…) qui serait potentiellement pour la fin de l’année sur une partie des doses », a précisé sur franceinfo Olivier Nataf, président d’AstraZeneca France.
Mais que faire pour l’imposer, montrer qu’il n’y pas d’alternative : la chasse est alors lancée contre les vieilles molécules qui guérissent mais ne rapportent rien …
L’opposition à l’hydroxychloroquine est déterminée par ce que les décideurs perçoivent des labos.
Christian Perronne charge contre les études bidons , y compris Recovery. Les expériences favorables sont bien plus nombreuses mais personne n’en parle. La question des liens entre décideurs et grands labos revient mais c’est une autre étude qui le démontre.
Corrélation entre les taux de financements de médecins français par les laboratoires pharmaceutiques et leurs expressions publiques contre l’hydroxychloroquine.
On observe une corrélation hautement significative (coefficient de corrélation = 1) entre le montant des financements reçus de Gilead Sciences company par des médecins et l’opposition publique à l’utilisation de l’hydroxychloroquine en France.
Regardez bien parmi une centaine de grands médecins décideurs, membres des grandes institutions ceux qui sont hostiles à l’hydroxychloroquine ont touché du seul labo Gilead près de 27 000 euros…
Ceux qui sont favorables ou même neutres ou n’ont pas pris position, ont au plus touché dix fois moins….
Le Pr Raoult, accuse nommément 3 responsables du désastre :
Dominique Martin, directeur de l’ANSM, « qui a fait prendre des décisions totalement déraisonnables », « l’actuel président du Comité de santé publique » et « le président de Conseil de l’Ordre », Patrick Bouet. »
– Dominique Martin, directeur de l’ANSM (l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé) s’est acharné sur la chloroquine et a fait tous les plateaux pour dézinguer ce médicament inoffensif et qui aurait pu sauver nombre de vies atteintes du Coronavirus.
– Franck Chauvin, Président du Haut Conseil de la Santé publique. Le Haut Conseil de la santé publique a commis le crime d’imposer l’utilisation de l’hydroxychloroquine seule et uniquement pour des cas sévères et sans l’azithromycine.
– Patrick Bouet, président du Conseil de l’Ordre des médecins qui a menacé carrément d’interdire d’exercer aux médecins ne suivant pas le « protocole » décidé par des technocrates affiliés à Big Pharma.
Ils ont organisé la chasse contre l’antibiotique, azithromycine…
Dans la classe politique Buzyn et Veran assument leur combat contre les molécules peu couteuses.
Olivier Véran, avait été, devant ses collègues américains et européens, le premier à tirer les conséquences de l’étude, on le sait aujourd’hui, biaisée, de The Lancet en interdisant l’hydroxychloroquine comme traitement contre la covid-19. Le plus en vue de l’équipe de Emmanuel Macron depuis le déclenchement de l’épidémie du nouveau coronavirus avait, dès le 27 mai 2020, demandé au Haut conseil de la santé publique (HCSP) de proposer “sous 48 heures, une révision des règles dérogatoires de prescription” de divers traitements comme l’hydroxychloroquine, après la parution, cinq jours plutôt, de la fameuse étude pointant son inefficacité et ses risques pour les malades du Covid-19.
Olivier Véran doit être certainement ravi d’entendre que l’étude de The Lancet avait utilisé des données bidonnées et que celle de Recovery, qui a prescrit des doses élevées de chloroquine (4 fois au dessus de la normale), a au moins eu le mérite de montrer que le risque cardiaque associé à l’utilisation de ce vieux médicament est désormais levé.
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envoyé par Alain Nicolai
Source: Lire l'article complet de Réseau International