Que l’OMS raconte des salades, tout le monde ou presque le sait, depuis que le faux-nez de Bill Gates a transformé une grippe saisonnière en pandémie mondiale mortelle. Mais que les médias, qui théoriquement doivent faire un travail de tri, relayent la propagande de cette officine mondialiste, voilà qui ne laisse pas d’étonner.
Pourtant, en France, on a déjà des relais de Bill Gates et l’OMS dans le Système : il n’y a qu’à voir les articles pro-Gates du Monde ou les sermons antirelâchement du président du Conseil scientifique, que personne ici bas n’a élu, et qui n’a aucune autorité sur nous. Pourtant, ils la prennent, l’autorité, et ils se font obéir. Certes, par les Français les plus pétochards et les plus sous-informés, ce qui va ensemble, mais cela ne donne pas le droit d’imposer des lois scélérates, même provisoires, au reste de la population. Une population qui s’informe et se nettoie de plus en plus de cette propagande nauséabonde.
Nous avons souligné ici depuis le début l’énorme doute sur le caractère exceptionnel de cette pandémie, puis nous avons déconstruit un par un les arguments du président de l’OMS, un escroc notoire. Mais rien n’y fait : le site de service public France Info ne lit pas les médias en ligne et poursuit dans sa foulée désinformatrice. La preuve avec cette une du 9 juin 2020 :
« La plus grande menace est désormais le laisser-aller » (Tedros, larbin de Bill)
On y apprend logiquement qu’il ne faut pas se relâcher sinon on peut encore tous mourir, même si le Covid-19 a fait une moisson de morts égale à celle des grippes précédentes, qui ne présentaient aucun caractère exceptionnel. Par « laisser-aller » il faut bien sûr comprendre insoumission, car cette affaire est plus politique que médicale. Le Covid est fait pour tuer la contestation des peuples plus que les peuples eux-mêmes.
L’objectif est de soumettre tout le monde, sans exception, par le biais de la menace, de la psychose, du chantage : le deal qui se profile est clair, c’est le vaccin et les aides sociales, le vaccin et l’école, ou rien. Les bons citoyens seront vaccinés par la Bill Gates Inc., les autres subiront l’opprobre et mourront dans d’atroces souffrances. C’est le résumé du programme mondialiste pour les Nuls.
« Ce n’est pas encore le moment de lever le pied », nous ordonne l’escroc de l’OMS repris benoîtement par France Info :
« « Plus de 100 000 nouveaux cas ont été recensés sur 9 des 10 derniers jours. Hier, le bilan s’est élevé à plus de 136 000 nouveau cas », le chiffre le plus élevé sur une journée, a-t-il ajouté. Il a précisé que près de 75% des nouveaux cas enregistrés dimanche l’ont été dans 10 pays, principalement sur le continent américain et en Asie du sud. Dans les pays où la situation s’améliore, « la plus grande menace est désormais le laisser-aller », a estimé le patron de l’OMS, ajoutant que « la plupart des gens dans le monde sont encore susceptibles d’être infectés ». « Nous en sommes à six mois depuis le début de la pandémie, ce n’est pas encore le moment de lever le pied », a-t-il insisté. »
Il n’est évidemment pas question une seconde d’obéir à cet escroc financé par Bill Gates, l’ami de Jeffrey Epstein, le pédocriminel américain de confession juive qui a organisé et géré un réseau international de prostitution de jeunes et de très jeunes filles. Comme quoi, tous les escrocs sont liés. Et comme par hasard, l’escroc de l’OMS soutient le Black Lives Matter, cette opération sioniste de séparation des Noirs et des Blancs, prélude à une guerre civile que le sionisme appelle de ses vœux :
« « L’OMS soutient pleinement les revendications en matière d’égalité et le mouvement global contre le racisme. Nous rejetons toute discrimination », a-t-il dit. Mais « nous encouragerons tous ceux qui manifestent à travers le monde à le faire en toute sécurité », a-t-il ajouté. « Autant que possible, restez à un mètre les uns des autres, lavez vos mains (…) et portez un masque si vous allez manifester ». « Restez chez vous si vous êtes malade et contactez un service de santé ». »
À quand les injonctions de cet escroc sur le réchauffement et la vie quotidienne des Français ? Avons-nous le droit de penser, monsieur Tedros Adhanom Ghebreyesus, l’employé servile de Bill Gates qui avait refilé 2 millions de dollars à Epstein pour services divers ?
« Jeffrey Epstein a exercé son influence par le biais de la philanthropie. Des établissements comme le MIT et Harvard ont tous deux confirmé publiquement que Jeffrey Epstein a donné d’importantes sommes d’argent à divers programmes des universités.
Le directeur du laboratoire, Joichi Ito, ainsi que son ancien directeur du développement et de la stratégie, Peter Cohen, et d’autres membres du personnel du Media Lab, auraient œuvré pendant un certain nombre d’années pour recevoir des dons anonymes de Jeffrey Epstein, et lui ont donné la possibilité d’influencer leur utilisation, selon The New Yorker. Jeffrey Epstein aurait également aidé le MIT Media Lab à récolter des fonds grâce aux dons de ses riches associés, parmi lesquels Bill Gates et l’investisseur Leon Black.
Le mail mentionné plus haut, envoyé par Joichi Ito en octobre 2014 aurait dit : « Il s’agit d’un don de 2 millions de dollars de Bill Gates arrivé via Epstein. » Peter Cohen aurait répondu : « Pour les archives, nous ne mentionnerons pas le nom d’Epstein. »
Le porte-parole de Bill Gates contredit le contenu des mails, mais le New Yorker a également publié un mail de Jeffrey Epstein à Joichi Ito dans lequel le financier aurait écrit « GAtes[sic] aimerait avoir un compte rendu de notre programme scientifique pour la semaine prochaine ». Joichi Ito aurait demandé à Jeffrey Epstein de préciser quel type de document, et Jeffrey Epstein aurait répondu « plus spécfique[sic] pour qu’il puisse financer ».
Le laboratoire aurait finalement obtenu 7,5 millions de dollars (6,8 millions d’euros) de Bill Gates et Leon Black, le fondateur de l’une des plus grandes sociétés de capital-investissement, utilisant apparemment Jeffrey Epstein comme principal intermédiaire. […]
Deux jours avant sa mort, Jeffrey Epstein a signé un testament qui désignait l’un des proches de Bill Gates comme exécuteur testamentaire, si ses avocats de longue date n’étaient pas en mesure de remplir leurs fonctions. »
Visiblement, toutes les ordures sont interconnectées. Mais pour Le Monde, dont le milliardaire est l’un des donateurs, Bill est un grand « philanthrope » (admirez l’oxymore milliardaire-philanthrope), voir cet article de Sylvie Kauffmann, éditorialiste (ça veut dire propagandiste, ou tenant de la ligne du journal qui est, on le rappelle, socialo-sioniste) :
On se frotte les yeux : « La fondation qu’il dirige joue un rôle de premier plan dans la lutte contre la pandémie, mais expose le milliardaire-philanthrope aux fantasmes et aux interrogations » ! Alors que les liens Gates-Epstein sont prouvés ! La conclusion de l’article (un publi-rédactionnel, disons-le tout de go) a failli nous faire perdre conscience :
« Mais, surtout, politiques et diplomates s’inquiètent du modèle produit par cette fondation privée remarquablement intelligente, devenue indispensable dans l’aide au développement, capable de remplacer plusieurs ministères de la santé sans avoir à se soumettre au contrôle d’un Parlement. Une sorte de concurrente des États, pourvoyeuse de bien public mondial grâce à des moyens colossaux parfaitement gérés, qui pallient les caisses vides des organisations internationales − en particulier celle de l’OMS, dont la fondation Gates est le deuxième contributeur. C’est vrai. Mais vu l’état du monde, rétorque un expert européen de la santé, on peut se féliciter qu’elle soit là. »
Rires dans la salle. Epstein, du haut de son job en enfer (il nettoie les chiottes du Diable), ou alors planqué en Israël (sait-on jamais) après une exfiltration par le Mossad et un changement de visage, doit bien se marrer.
Bonus : le président du Conseil scientifique, qui se prend pour notre directeur de conscience, nous donne l’ordre du jour…
« On contrôle l’épidémie. C’est une bonne nouvelle, liée au confinement, aux mesures de distanciation sociale prises par nos concitoyens, probablement au fait qu’on rentre dans la période d’été et que ce virus est peut-être sensible à une forme de température. On a des outils qui permettent de dépister, de tester, très largement, d’isole et de tracer les contacts. Mais de l’autre côté, le virus continue à circuler, l’épidémie n’est pas finie. Ce virus, il faudra le faire disparaître »
Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation