SOTT FOCUS: Étude innovante — Des nanoparticules dangereuses contaminent de nombreux VACCINS… et autres produits de consommation courante

SOTT FOCUS: Étude innovante — Des nanoparticules dangereuses contaminent de nombreux VACCINS... et autres produits de consommation courante

Une étude réalisée en 2017 sur 44 types de 15 vaccins traditionnels, fabriqués par de grandes entreprises mondiales, a mis au jour un fait très troublant et jusqu’alors non signalé :

  • Les vaccins sont lourdement contaminés par une variété de nanoparticules ;
  • Beaucoup de ces particules sont des métaux ;
  • Il s’agit de vaccins traditionnels, tels que le virus du papillome humain, la grippe, la grippe porcine, l’hépatite B, le ROR (Rougeole-Oreillons-Rubéole), le DCT (Diphtérie-Coqueluche-Tétanos), le tétanos, etc.
Nanoparticules

© Inconnu

« Les nanoparticules [sont] comparables en taille aux structures subcellulaires… ce qui permet de les incorporer facilement dans les systèmes biologiques. »

~ The Lung [« Le poumon », ouvrage non traduit en français – NdT], R. Harding et K. E. Pinkerton, deuxième édition, 2014

Pour commencer à comprendre certains des effets destructeurs de la contamination aux nanoparticules des vaccins, voici l’étude révolutionnaire de 2017 :

International Journal of Vaccines & Vaccination
Volume 4 Numéro 1 – 23 janvier 2017
« Nouvelles enquêtes sur le contrôle de la qualité des vaccins :Micro- et nanocontamination »
Antonietta M Gatti et Stefano Montanari

« Les analyses effectuées montrent que dans tous les échantillons contrôlés, les vaccins contiennent des corps étrangers non biocompatibles et bio-persistants qui ne sont pas déclarés par les fabricants, mais contre lesquels le corps réagit quoiqu’il en soit. Cette nouvelle enquête représente un nouveau contrôle de qualité qui peut être adopté pour évaluer la sécurité d’un vaccin. Notre hypothèse est que cette contamination est involontaire, puisqu’elle est probablement due à des composants ou des procédures pollués de processus industriels — par exemple, des filtrations — utilisés pour produire des vaccins… »

Les auteurs de l’étude laissent-ils la porte ouverte à la possibilité que la contamination soit intentionnelle ?

« La quantité de corps étrangers détectés et, dans certains cas, leur composition chimique inhabituelle nous ont déconcertés. Les particules inorganiques identifiées ne sont ni biocompatibles ni biodégradables, ce qui signifie qu’elles sont biopersistantes et peuvent induire des effets à même de se manifester soit immédiatement après le moment de l’injection, soit après un certain temps suivant l’administration. Il est important de rappeler que les particules — des cristaux et non des molécules — sont des corps étrangers à l’organisme et qu’elles se comportent comme telles. Plus particulièrement, leur toxicité est à certains égards différente de celle des éléments chimiques qui les composent, ajoutant à cette toxicité — qui de toute façon, est toujours présente — une toxicité typique des corps étrangers. C’est la raison pour laquelle elles induisent une réaction inflammatoire.

Après avoir été injectés, ces microparticules, nanoparticules et agrégats peuvent rester autour du point d’injection en formant des œdèmes et des granulomes… Mais ils peuvent aussi être transportés par la circulation sanguine, échappant ainsi à toute tentative de déterminer quelle sera leur destination finale. Nous pensons que dans de nombreux cas, ils se répartissent dans tout l’organisme sans provoquer de réaction visible, mais il est également probable que, dans certaines circonstances, ils atteignent en assez grande quantité un organe quelconque, aucun n’étant exclu et en y incluant le microbiote. Comme c’est le cas de tous les corps étrangers, en particulier ceux de petite taille, ils induisent une réaction inflammatoire qui est chronique parce que la plupart de ces particules ne peuvent pas être dégradées. De plus, l’effet de couronne de protéines [dû à une nano-bio-interaction] peut produire des particules composites organiques/inorganiques capables de stimuler le système immunitaire de manière indésirable. Il est impossible de ne pas ajouter que des particules de la taille souvent observée dans les vaccins peuvent pénétrer dans les noyaux des cellules et interagir avec l’ADN. »

[L’effet de « couronne de protéines » se produit dans un milieu biologique lorsque des protéines recouvrent spontanément la surface des nanoparticules – NdT]

« Dans certains cas, comme pour le fer et certains alliages de fer, ils peuvent se corroder et les produits de corrosion exercent une toxicité affectant les tissus.
[…]
Étant donné les contaminations observées dans tous les échantillons de vaccins à usage humain, les effets indésirables après l’injection de ces vaccins sont possibles et crédibles et présentent un caractère aléatoire, puisqu’ils dépendent du lieu où les contaminants sont transportés par la circulation sanguine. Il est donc tout à fait évident que des quantités similaires de ces corps étrangers peuvent avoir un impact plus grave sur de très petits organismes comme ceux des enfants. Leur présence dans les muscles, due à une extravasation du sang, pourrait fortement altérer leurs fonctionnalités.

Lorsque nous étudions des cas de contamination environnementale causée par différentes sources de pollution, nous rencontrons des particules dont la composition chimique est similaire à celle des vaccins que nous avons analysés. Dans la plupart des cas, les combinaisons détectées sont très étranges car elles n’ont aucune utilité technique, ne peuvent être trouvées dans aucun manuel et ressemblent au résultat de la formation aléatoire qui se produit, par exemple, lors de la combustion de déchets. En tout état de cause, quelle que soit leur origine, elles ne devraient être présentes dans aucun médicament injectable, et encore moins dans les vaccins, plus particulièrement ceux destinés aux nourrissons. »

De telles particules ne constituent en aucun cas un médicament dans aucun sens du terme.

De nombreux « experts » juridiques et scientifiques affirment que l’État a le droit d’exiger des vaccins et de les imposer à la population. Mais ces nanoparticules contaminantes ne sont ni des vaccins ni des médicaments. Seul un fou défendrait le droit de l’État à les injecter.

Voici une autre partie de l’étude de 2017. Les noms commerciaux des vaccins et les compositions des nanoparticules contaminantes sont indiqués. Prenez une grande respiration et attachez votre ceinture.

« […] une présence supplémentaire de corps étrangers inorganiques de taille micro, sous-micro et nanométrique (allant de 100 nm à environ dix microns) a été identifiée dans tous les cas [les 44 vaccins], présence qui n’était pas déclarée dans les notices fournies dans l’emballage du produit…

[…] particules individuelles, amas de micro et nanoparticules (moins de 100 nm) et agrégats […] débris d’aluminium, de silicium, de magnésium et de titane, de particules de fer, de chrome, de silicium et de calcium […] disposés en grappe, et débris d’aluminium-cuivre […] disposés en agrégat.

[…] les particules sont entourées et incorporées dans un substrat biologique. Dans tous les échantillons analysés, nous avons identifié des particules contenant : du plomb (Typhym, Cervarix, Agrippal S1, Meningitec, Gardasil) ou de l’acier inoxydable (Mencevax, Infarix Hexa, Cervarix, Anatetall, Focetria, Agrippal S1, Menveo, Prevenar 13, Meningitec, Vaxigrip, Stamaril Pasteur, Repevax et MMRvaxPro).

[…] particules de tungstène identifiées dans les gouttes de Prevenar et Infarix (aluminium, tungstène, chlorure de calcium).

[…] débris singuliers trouvés dans Repevax (silicium, or, argent) et Gardasil (zirconium).

[…] Certaines particules métalliques en tungstène ou en acier inoxydable ont également été identifiées. D’autres particules contenant du zirconium, du hafnium, du strontium et de l’aluminium (Vivotif, Meningetec) ; du tungstène, du nickel, du fer (Priorix, Meningetec) ; de l’antimoine (Menjugate kit) ; du chrome (Meningetec) ; de l’or, du zinc (Infarix Hexa, Repevax), ou du platine, de l’argent, du bismuth, du fer, du chrome (MMRvaxPro) ou du plomb, du bismuth (Gardasil) ou du cérium (Agrippal S1) ont également été trouvées. Le seul tungstène apparaît dans 8 des 44 vaccins, tandis que le chrome (seul ou en alliage avec le fer et le nickel) apparaît dans 25 des 44 vaccins. Les enquêtes ont révélé que certaines particules sont incorporées dans un substrat biologique, probablement des protéines, des endo-toxines et des résidus de bactéries. Dès qu’une particule entre en contact avec des fluides protéiques, une nano-bio-interaction… se produit et une « couronne de protéines » se forme… La nano-bio-interaction génère un composé de plus grande taille qui n’est pas biodégradable et peut induire des effets néfastes, puisqu’il n’est pas reconnu comme tel par l’organisme.

[…] exemples de ces nano-bio-interactions. On peut voir des agrégats (entités composites stables) contenant des particules de plomb dans Meningitec […] d’acier inoxydable (fer, chrome et nickel…) et de cuivre, zinc et plomb dans Cervarix […] Des agrégats similaires, bien que dans des situations différentes (patients souffrant de leucémie ou de cryoglobulinémie), ont déjà été décrits dans la littérature. »

Je suis sûr que vous avez lu les déclarations officielles selon lesquelles les problèmes de fabrication de vaccins sont « rares ». Vous pouvez classer ces déclarations avec les autres mensonges issus de l’establishment médical.

« Je voudrais un sandwich aux métaux lourds sur pain de seigle, s’il vous plaît. Et au lieu de le servir dans une assiette, pouvez-vous me l’injecter ? »

Plusieurs questions vitales exigeant des réponses découlent des conclusions de cette étude de 2017

  • Certaines de ces nanoparticules sont-elles placées intentionnellement dans des vaccins ?
  • Le processus de fabrication standard des vaccins traditionnels conduit-il INÉVITABLEMENT à une nano-contamination dangereuse et destructrice ?
  • Les nouvelles nanotechnologies sont déjà utilisées dans la création de plusieurs vaccins — soi-disant pour « améliorer leur efficacité ». En fait, le prochain vaccin Covid-19 pourrait être de type-nano. Ce procédé de fabrication comporte-t-il les inévitables effets à même de déclencher un ouragan de nanoparticules contaminantes ?
  • Combien de cas de lésions cérébrales et d’autisme chez l’enfant peuvent être attribués à la contamination par les nanoparticules ?
  • Et enfin, où sont fabriqués ces vaccins contaminés ? L’étude ci-dessus n’a pas tenté de le découvrir parce que cet aspect n’entrait pas dans le cadre de la recherche. Il est de notoriété publique que, par exemple, dans le cas des États-Unis, les vaccins ou leurs composants ne sont souvent pas produits sur place. Dès lors, où sont effectués les contrôles de sécurité ? En Chine, par exemple, où il y a eu de nombreux scandales pharmaceutiques liés à la contamination de produits médicamenteux ?

L’establishment vaccinal ne manifeste pas le moindre intérêt aux réponses à apporter à l’une de ces questions, occupés qu’ils sont à prétendre que ces questions n’existent pas.

Lui faire confiance serait suicidaire.

Source de l’article initialement publié en anglais le 3 juin 2020 : No More Fake News
Traduction
: Sott.net

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Image

© Inconnu

Après les nano-particules qui traversent le placenta, les nano-tubes de carbone dans les poumons, les particules fines qui bouchent les microvaisseaux capillaires, et de façon générale, notre ADN endommagé par ces polluants minuscules, on apprend que le cerveau a droit à sa part. Une raison supplémentaire de ne pas aller faire son jogging… sur le bord de la route.

Faut-il faire un dessin pour prendre conscience de la nuisance potentielle d’une telle technologie ? Les « problèmes mentaux » font partie d’une classification à géométrie variable. Qu’il suffise de voir que certains toubibs considèrent que le fait de vouloir se nourrir sainement peut être considéré comme une pathologie — l’orthorexie — ainsi que la créativité et le non-conformisme, il y a de quoi être très inquiet. À quand les faux diagnostics et les traitements obligatoires pour les cas avérés d’indépendance d’esprit, d’opinions politiques libertaires, de refus d’obéir à ce qui va à l’encontre de nos convictions ?

Quand aux maladies que ces travaux scientifiques sont censés améliorer, ils nous confirment une fois de plus à quel point la médecine moderne se trouve dans une impasse et qu’elle se fourvoie dans la compréhension des maladies de notre époque :

Le dioxyde de titane est classé en « cancérogène possible » 2B. Les nanoparticules de dioxyde de titane produisent dans les poumons des effets inflammatoires similaires à ceux de l’amiante, selon une étude de chercheurs suisses et français. Les scientifiques tirent la sonnette d’alarme concernant les nanoparticules de dioxyde de titane, car il s’agit de l’un des nanomatériaux les plus répandus.

En 2011, il a été établi que plus de deux millions de tonnes de dioxyde de titane nanométrique (nano-TiO2) étaient produites chaque année dans le monde. COMBIEN AUJOURD’HUI ? Utilisé comme pigment et opacifiant, le nanomatériau entre dans la composition de peintures, cosmétiques, crèmes solaires, médicaments, dentifrices, colorants alimentaires et nombre d’autres produits d’usage courant.

Saurons-nous un jour quels sont les effets de toutes ces nano-particules sur notre santé, notre comportement, notre environnement et notre biologie en général ? Il est permis d’en douter ! Des risques de détournements de ces nanotechnologies existent également avec, par exemple, des applications militaires. Au rythme où vont les choses dans ce domaine, nul doute que, depuis, les avancées technologiques ont évoluées…. Et certainement pas dans notre intérêt.

En 2017, Quoi dans mon assiette publiait un article sur le sujet, dont nous reproduisons ci-dessous quelques éléments de base.

Un site américain a recensé les nanoproduits utilisés dans le monde : 500 000 tonnes de nanomatériaux auraient été mises sur le marché français en 2013 d’après l’ANSES (Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation) et les déclarations obligatoires recensées. Quelques exemples d’usages variés :

  • cosmétiques : les crèmes solaires anti-UV contiennent des nanoparticules pour filtrer les UV. Le dentifrice peut contenir des nanoparticules de dioxyde de silicium. Les pansements peuvent des fois contenir du nano-argent comme agent antibactérien. Les fullerènes (sphères carbonées) sont également utilisés dans les crèmes de beauté et le mascara ;
  • électronique et informatique : les nanotubes de carbones, les nano-argent sont utilisés dans les claviers et souris pour leurs propriétés mécaniques et anti-bactériennes ;
  • bâtiment et travaux publics : on retrouve les nano-oxydes dans les peintures ou en applications photocatalytiques, ainsi que les noirs de carbone dans l’imprimerie et les encres ;
  • alimentation : le dioxyde de titane est utilisé comme colorant alimentaire et le dioxyde de silicium comme anti-agglomérant ou modificateur de viscosité ;
  • sport : les nanotubes de carbones sont retrouvés dans les raquettes de tennis pour la résistance mécanique.
Évolution du nombre de produits contenant des nanoparticules recensés par le CPI (Consumer Products Inventory)

© Marina E. Vance et al. – Beilstein J. Nanotechnol. 2015
Évolution du nombre de produits contenant des nanoparticules recensés par le CPI (Consumer Products Inventory)

Les principaux nanomatériaux sont le noir de carbone, nanoparticules d’argent et d’or, dioxyde de silicium, carbone de calcium, dioxyde de titane, oxyde d’aluminium, copolymère de chlorure de vinylidène. Les nanoparticules d’argents sont les plus utilisées dans le domaine de la médecine et du textile/sport comme anti-infectieux et antibactériens. Les nanotubes de carbone ont été découverts vers 1991 par Sumio Iijima au Japon. Ils sont 100 fois plus résistants et 6 fois plus légers que l’acier, également souples et conducteurs. Ces nanotubes sont cylindriques et concentriques avec des parois en hexagones d’atomes de carbone. Ils sont utilisés en remplacement aux fibres de carbone dans les raquettes ou club de golf. Ils pourraient également être utilisés comme fils conducteurs puisque leur conductivité est équivalent à celle des fils de cuivre tout en étant 6 fois plus légères. En alimentaire, le dioxyde de titane est un colorant alimentaire d’aspect blanc laiteux. Il est surtout utilisé en confiserie, dans les sauces mais aussi en cosmétique. Environ 0,1 % de dioxyde de titane pourrait être absorbé par l’intestin (EFSA 2016), la majeure partie est éliminée dans les selles. D’après l’EFSA, cet additif alimentaire pourrait contenir jusqu’à 3,2 % de nanoparticules. Cependant, une autre étude dans le journal Environmental Science & Technology évoquait des taux de 36 % de nanoparticules dans l’additif E171.

Des études animales ont été menées, et une étude récente de l’INRA (Bettini 2017) de Toulouse a fait parler d’elle avec des rats exposés pendant 100 jours à l’additif E171 TiO2. Elle a montré que le dioxyde de titane pourrait avoir des effets initiateurs et promoteurs de lésions précoces de la cancérogenèse colorectale en altérant la réponse immunitaire sur des rongeurs. Dans une autre étude, des rats jeunes et adultes ont été exposés à des nanoparticules de titane pendant 30 jours à différentes doses. Le TiO2 induirait des lésions cardiaques et des œdèmes du foie (Wang 2013). Les nanotubes de carbone (NTC) ont été classés cancérogène possible 2B par le CIRC (Centre international de recherche sur le cancer). Leurs agglomérations pourraient être à l’origine de fibroses, d’inflammation pulmonaire et de lésions de l’ADN (Lam 2006, Sanchez 2009).

Les mécanismes cellulaires incriminés et retrouvés dans ces études sont principalement (Hongbo Shi et al. 2013) :

  • l’apoptose : la mort cellulaire débuterait par une peroxydation des lipides membranes. Cela activerait les caspases qui induisent l’apoptose ;
  • l’exposition aux nanoparticules pourrait provoquer de l’inflammation en pénétrant profondément dans les cellules en échappant aux macrophages alvéolaires ;
  • le stress oxydant à travers une production accrue d’espèces réactives à l’oxygène. Ces radicaux libres sont des molécules très instables qui peuvent provoquer des lésions dans la cellule ;
  • la génotoxicité et l’altération de l’ADN.

Les nanovecteurs sont des transporteurs minuscules qui peuvent franchir certaines barrières biologiques pour apporter un médicament [ou tout autre produit dangereux – Note de Sott] avec une précision accrue envers les cellules ciblées. On ne connaît pas non plus encore toutes les propriétés physico-chimiques, biologiques de ces nanotechnologies qui décloisonnent les barrières entre biologie, informatique, sciences cognitives, physique… Cet article dans la revue Nano Today évoque la pénétration des nanoparticules dans la cellule qui pourraient diffuser jusqu’au noyau où est contenu l’information génétique.

Alors, existe-t-il un risque d’interaction avec le génome ?

C’est une autre question pour laquelle l’establishment médico-nanotechnologique ne manifeste aucun désir de répondre, occupé qu’il est à prétendre que toutes les questions que l’on peut se poser ou qui pourraient et devraient être posées n’existent pas.

Source: Lire l'article complet de Signes des Temps (SOTT)

À propos de l'auteur Signes des Temps (SOTT)

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