Opération virus : c’est le tour des millenials — Fulvio GRIMALDI

Opération virus : c'est le tour des millenials -- Fulvio GRIMALDI

L’article réagit à deux mesures du gouvernement italien : port du masque obligatoire pour les enfants à partir de six ans, et création d’un corps de 60 000 assistants civiques pour faire respecter la distanciation sociale.

Nouvelle pédagogie : baptisés, masqués, vaccinés

En tout premier lieu, en rapport avec le sujet du texte, je vous invite vivement à lire cet appel en défense des mineurs attaqués par l’opération virus

https://youtube.be/rvNMLEK_XW0 Paolo Rossi « Era meglio morire da piccoli » [Il aurait mieux valu mourir petits]

Dehors les mioches ! Ou dedans !

D’occasions de parler de la guerre d’extermination des vieux, conduite par les apôtres du Messie Coronavirus, on ne nous en a que trop offert, soutenues par l’évidence aveuglante du peu de considération qu’on a pour ces individus inutiles, coûteux, improductifs, souvent grincheux et, surtout, dépositaires de mémoires gênantes. Nous en avons eu beaucoup moins de mesurer le degré d’hostilité mis en œuvre pour se libérer d’une autre catégorie d’humains coûteux, parasitaires et souvent insolents, les mioches.

Ce n’est pas la première fois, si nous partons de l’épisode du massacre des innocents d’Hérode, que nous ont refilé les auteurs de la Bible, et qu’on imite sans arrêt, jusqu’à l’uranium sur les gosses irakiens et serbes, jusqu’au phosphore sur les gamins de Gaza, aux massacres d’Isis en Syrie, aux sanctions contre les enfants d’un peu partout. Mais une escroquerie aussi colossale que celle infligée par une meute de loups (je demande pardon aux vrais loups) à un troupeau de moutons déconfinés (je demande pardon aux vrais moutons), il me semble qu’il n’y en a eu qu’une fois, il y a environ 2000 ans, quand, au lieu de la pensée multiple, tolérée, productivement et heureusement débattue, on imposa par la tromperie, la ruse et une violence sanguinaire comme jamais auparavant dans l’histoire humaine, la pensée unique, avant même que le petit humain ait une pensée …

Un esprit pénétrant a dit qu’on a substitué à Oussama ben Laden le Sars-Cov-2, faisant référence aux mesures autoritaires et meurtrières des droits civils prises par la soi-disant « Guerre au terrorisme » (lire : guerre à l’humanité), une guerre qui voyait réunis, d’un côté, des Etats avec leurs terroristes, et de l’autre, des Etats avec leurs peuples victimes – et, parmi ces dernières, au tout premier rang, enfants et adolescents.

Quant à moi, je regarderais plus loin, et je rapprocherais l’actuelle guerre dite « au Coronavirus » (une autre guerre à l’humanité) de la guerre au polythéisme et à la civilisation classique (dont le pluralisme des croyances et des dieux était l’expression), qui s’est développée à partir de Constantin, de sa mère Hélène (une sainte !) et de Théodose. Il s’agissait alors, comme avec Oussama et avec le Coronavirus, de changer le monde à son profit, en fondant une tromperie planétaire sur un mensonge colossal. Cela se passe toujours en Italie, mouche du coche des transformations en pire du monde. Un peu parce que, pont dans la Méditerranée entre les quatre points cardinaux, nous sommes très convoités ; un peu parce que, à part quelques sursauts tous les deux ou trois siècles, nous sommes les plus jobards.

Du baptême au vaccin

On dira : quel rapport avec les enfants qui, dans le titre (comme dans la chanson de Paolo Rossi) doivent mourir petits ? Il y a un rapport, dans la mesure où des opérations anti-humaines et élitaires pour établir un Nouvel Ordre Mondial, alors pleinement réalisé, aujourd’hui en cours, prennent pour cible privilégiée les catégories les plus faciles à frapper, circonvenir, éliminer : les vieux et les jeunes. Depuis cette première constitution d’un Nouvel Ordre Mondial, on capture les enfants et on les insère dans les troupes de ceux qui obéissent (les croyants) au nouvel ordre, au moyen du baptême à la naissance, puis avec la première Communion et avec la Confirmation lors du passage à la puberté. Depuis lors, toute divergence est apostasie, ou hérésie (chaînes et bûchers).

Cela vous paraît très différent des 10 (selon d’éminents savants discutables) vaccins ordonnés par une certaine ministre Lorenzin pour tous les nouveaux-nés de ce règne du dieu Big Pharma ? Ou, mieux, de ce vaccin universel, obligatoire à la naissance et identifiant sous-cutané pour toute la vie, que l’instance dirigeante des Bill Gates, associés et militants, imposeront à tous, une fois que les 7,5 milliards d’êtres humains auront été suffisamment ramollis par propagande, menaces, punitions et récompenses (enfer-paradis = on ne peut pas bouger-on peut bouger) ? Et qui mettra tout nouveau-né à la merci de la connaissance, surveillance et commandement de l’Empereur du Nouvel Ordre Mondial.

60 000 nouveaux flics pour la Sadomasocratie

Partons de la génération appelée les « millenials », plus ou moins ceux qui sont nés depuis 1990. Pendant des mois, on a manqué de ces masques sans lesquels la punition du Très Haut s’abat sur nous. Il fallait anéantir le virus, mais les réactifs pour le trop petit nombre de tests, qui étaient du reste trop peu précis, ont disparu. Des ventilateurs, il en aurait fallu dix fois plus (et, vu ce qu’ils faisaient, heureusement qu’il n’y en avait pas !). Bonus pour tous, sparadrap déchiré sur une économie sinistrée et privée de stratégie, ils ne sont jamais arrivés. Il arrivera par contre 6,3 milliards pour les évadés fiscaux FCA (1) et 2,3 pour les responsables des ponts écroulés et autoroutes défoncées (2). Et on va voir arriver tout de suite soixante mille déclassés, borderline à force de désir de compter pour quelque chose, de niquer les autres en se faisant délateurs, et d’imposer leur néant, armés de mètres, à des têtes brûlées non pourvues de masques, même en mangeant et en buvant, et distanciés de 90 cm au lieu de 100 pour pouvoir entendre ce qu’ils disent. Evidemment des volontaires. Evidemment sans la moindre préparation/formation face à des foules ou individus à réprimander/réprimer. Evidemment destinés à être couverts de tombereaux d’« enculés !

De la movida imbécile à la movida criminelle

C’est la magnifique idée du ministre Boccia et du boss-maire de Bari Decaro, dans le pays qui, entre PS (police de la route), CC (corps des Carabiniers), gardes jurés, Polfer [police ferroviaire] et recrues à petites étoiles et mitraillette, a plus de gardes par citoyen que n’importe quel pays européen. Je n’ai aucune sympathie pour la coutume zapatéro-milanaise des « movidas », apéro-dîners, happy hours et autres beuveries de l’ère de la consommation et du petit local hip tous les dix mètres. Désastre social et culturel qui, par exemple, m’a fait fuir le Trastevere quand ce quartier historique, d’artisans, commerçants, artistes, chansons et gargotes devint, sous le regard aveugle des palais des XIVe et XVe siècles, une pagaille de petits et grands locaux de piètre propriété et de douteuses fréquentations, aux fenêtres desquels on ne voyait même plus un linge ou un visage transtévérin.

Il faut cependant ajouter que les jeunes qui, ici, ou partout, se « rassemblent » pour se rencontrer, parler, se retrouver, s’abrutir de spritz, après presque trois mois d’incarcération castratrice démentielle, ne se voient offrir par la ville, dégradée comme elle l’a été par une classe dirigeante de troglodytes avides, aucune alternative de rencontre, débat, dépassement de la désagrégation sociale planifiée. Désagrégation qu’a portée à son comble, après l’escalade du terrorisme, de la guerre migrants-autochtones, femmes-hommes et homo-hétéros, toute l’opération coronavirus. Par conséquent, les jérémiades, remontrances et réprimandes que les ultras de l’hypocrisie et des fanfaronnades virales adressent aux jeunes, en même temps que des troupes de 60 000 glandeurs frustrés avides d’écraser ceux d’en bas et de se prosterner devant ceux d’en haut, ne sont que la continuation de la guerre contre les jeunes par d’autres moyens.

Groupe de travail fake news, groupe de travail distanciateurs civiques : pas même le Minculpop (3), pas même les chemises noires.

Il a fallu quelques jours après le lancement de la horde de miliciens distanciateurs pour que l’énormité de la mesure Boccia-Decaro-Gestapo (naturellement Conte n’était pas au courant, comme il n’était pas au courant du fameux blocus d’Open Arms, cela va sans dire) fasse tilt et que, depuis le gouvernement, majorité et opposition, se lèvent des voix d’appréhension et de critique. Appréhension parce que, bien que personne, dans cette clique, n’ait de doutes sur états de siège et couvre-feux, avec le vaccin en perspective, le déchaînement sur les gens de ces malheureux 60 000 risquait de révéler la nature réelle de toute l’opération. Voilà tout. A cette date, l’issue reste incertaine. Mais, selon moi, ça passe : plus ils utilisent de coupe-jarrets, plus on applaudit.

Je dois dire que, si elle ne la dépasse pas, cette trouvaille de lancer ces énergumènes obtus contre ceux qui risquent d’abîmer un soir les installations dignes d’un lager prévues pour notre société, fait la paire avec l’institution, au sein du gouvernement, de la fameuse force opérationnelle contre les fausses nouvelles (appelons-la donc « ministère de la vérité »). Un peloton d’exécution digne des meilleurs régimes.

Un avorton monstrueux de la mère de toutes les dictatures, aux partisans duquel, délateurs et censeurs au nom de la pensée unique, meurtrière de la pensée, l’Ordre des Journalistes, à défaut de leur suicide professionnel de honte, aurait dû notifier l’expulsion immédiate, et le ramassis de manipulateurs qu’est le syndicat FNSI (4) l’interdiction perpétuelle d’accès aux claviers et micros. Ils recevront au contraire, à leur retour dans leurs lupanars d’origine, honneurs et avancements.

Des masques à en mourir

Et puis il y a les petits, tous masqués et distanciés au-dessus de cinq ans. Le taux de haine viscérale des masqueurs contre les enfants dépasse même le taux de dangerosité physique des masques, comme le montre le documentaire reporté en lien dans l’ouverture. Masques qui contaminent, masques qui étouffent, masques qui, surtout dans des activités demandant des efforts, tuent, comme c’est arrivé en Chine (à ce propos, comme à propos de la Russie, de grâce, pas d’indulgence, ni de circonstances atténuantes, de la part des amis de ces pays, pour des comportements viraux analogues aux nôtres et également délétères. Il y a, pour soutenir la Russie et la Chine, de meilleures raisons, pas celles-ci, ni non plus la dystopique 5G).

Au début, l’OMS disait que les masques ne servent à rien, parce que le coronavirus a une taille de 120 nanomètres et qu’il passe à travers tous les masques comme un moustique passe à travers une grille. Puis ils se sont aperçus qu’il sert à détruire les personnes et leur identité, à les mettre en danger de tomber malades, et à faire gagner un beau paquet de milliards. Ils savent, comme le sait tout cardiologue, que museler ainsi les enfants pendant des heures à l’école veut dire leur faire risquer l’infarctus ; le dermatologue sait qu’ils risquent des dermatites et des mycoses, l’immunologie que les germes se « rassemblent » (!) dans le masque et que, sans contact avec les autres enfants, le système immunitaire s’affaiblit. Est-ce qu’ils l’ont dit au Comité Technique Scientifique ? Il doit bien y avoir au moins un malheureux médecin de base, parmi les sages suprêmes, qui sait parfaitement toutes ces choses ? Et alors, ils le font exprès ?

Moins d’enfants, moins d’entassement sur la planète

C’est une guerre totale contre les enfants. Sans aucun doute, (comme celle contre les vieux enfermés pendant des mois et privés de soins et d’assistance, tombés comme des mouches), elle fait partie intégrante de la campagne pour la réduction de l’humanité (au sens quantitatif comme au sens intellectuel) soutenue, partiellement réalisée (vidéo-jeux qui enseignent violence et mort, guerres, sanctions, faim, médicaments, stérilisations) par les promoteurs mêmes du pogrom planétaire visant à gagner des milliards et des pouvoirs grâce aux vaccins et à l’identité digitale. Ils ont commencé par l’isolement et l’enfermement pendant deux mois et plus. La généreuse permission de faire le tour de la maison avec papa et maman. L’exclusion de l’école maternelle, de la crèche, de l’école et de toute possibilité de socialisation, sans laquelle un enfant, un mineur est à la merci de toute violence due aux abus parentaux, et de toute pathologie psychosomatique due à la solitude. Pendant ce temps, publicitaires institutionnels et commerciaux, obtus et mauvais, déversaient sur eux/nous la mélasse toxique et idiote du « tout ira bien » (mais le bureau, ou le commerce des parents n’ouvrira plus : adieu les études supérieures !), pour que nous soyons heureux de notre état d’abjection physique, sociale, culturelle.

Manifestation contre l’enseignement à distance

Il a fallu que des mères et des pères jouent le rôle d’avant-garde et descendent dans la rue contre les orques qui s’obstinent à pervertir et détruire ce qui, au cours des millénaires et dans le monde entier, a été l’instrument fondamental pour perpétuer et améliorer la civilisation. Ils ont sauvé l’honneur. Espérons qu’ils sauveront aussi les enfants et notre avenir.

Quand il a fallu atténuer l’infamie, aussi inutile que pathogène, de l’enfermement, à cause des pressions d’opinions publiques révoltées, dans les autres pays plus que dans le nôtre, ils ont eu la bonne idée de refuser la seule possibilité de jeu et de socialisation offerte par nos agglomérats de ciment, à la Boeri, Fuksas, Renzo Piano, Kenzo Tange, Sala ou Ciancimino : pas de jeux dans les parcs de jeux ! Et tous à un mètre minimum. Des enfants de un à 6 ans ! Des enfants qui connaissent avant tout en touchant ! Des enfants qui, en connaissant les autres enfants, se connaissent eux-mêmes ! Des enfants qu’on incite à se méfier des autres enfants : « Il pourrait t’infecter, reste loin de lui ! » Cette méfiance devient la devise de tous les rapports futurs. Des enfants à bloquer, frustrer, attrister, rendre malheureux. Et aucun de ceux qui versaient des larmes sur les enfants « sous les bombes d’Assad », dans les camps de réfugiés de Turquie, ou sur les embarcations des migrants, ne trouve un seul mot à dire contre ce qui n’est rien d’autre qu’un infanticide.

Puis, à partir de 6 ans, distanciés aussi à l’école. Sous prétexte qu’on copie sur le voisin de pupitre, qu’on fait du pied à la copine, qu’on se passe la version ou le maudit goûter. Distants, distants – qui parle de foot, de mini-foot, de volley, de basket ? Jeux d’équipe, de contact, létaux ! Mais quoi, vous voulez la « deuxième vague », vous voulez remettre ça ?

Loin, loin, loin. Pas seulement dans le temps, comme dit la chanson de Luigi Tenco, temps qu’ils ne pourront retrouver que dans les photos et les vidéos des parents et des grands-parents, dans les tableaux anciens, dans les récits tels ceux d’Ulysse vingt ans après Troie. Plus directement, douloureusement, mortellement sur le plan moral, affectif, intellectuel, éloignés même dans l’espace. L’autre, le camarade, devient « l’île qui n’existe pas ». Si on ne fait pas les choses ensemble, proches, au contact, c’est comme jouer aux cartes en solitaire. Et l’affectivité, qui ne peut ne pas être tact, contact ? Et l’amour ? Ah ! oui, il faut réduire l’excès de population.

Déjà une ministre insensée, capable de tuer non seulement Maria Montessori et toute la pédagogie depuis Socrate jusqu’à nos jours, mais même l’intellect individuel et collectif, a eu l’idée (abandonnée) du concours pour enseignants par quiz. Les petites croix pour ceux qui doivent enseigner la complexité, et que tout se recoupe, s’entrecroise, se tient. La stérilité binaire d’Internet donc ; on prévoit pour l’automne la téléuniversité, dans le secondaire et le supérieur, pour moitié des classes en présence (distanciée !) et pour moitié à se défoncer de solitude avec l’ordinateur. Avec un tiers des familles italiennes sans connexion et donc déconnectées : guerre de classes.

Aimer, détester, interroger un enseignant, ses paroles, son aspect physique, son visage, l’imiter, le contester, s’en souvenir. Et vice-versa. Même chose avec ses camarades : faire front commun, confier ses joies, ses tourments, ses secrets à qui ne se présente pas comme une autorité, qui sait déjà tout et mieux. Rivaliser, apprendre à l’emporter ou à succomber, se souvenir, renoncer. Tout cela à travers l’écran ?

Ils ont pris le pouvoir, un pouvoir total. Et nous, nous ne nous en sommes même pas aperçus, nous avons laissé faire. Nous avons eu, en dépit de tout, cette confiance dans l’autorité que l’autorité n’a jamais eue à notre égard. Jamais. Une foule dispersée qui n’a pas de nom. Nous avons peut-être tout dépensé durant cette décennie mythique qui va de 1968 à 1977. Nous devons de nouveau accumuler des énergies. Si nous ne sommes même pas réveillés par cette meute de 60 000 pitbulls qu’on lance sur nous, si nous ne sommes pas réveillés par le fait qu’ils sont en train de voler nos enfants, de les détruire au prétexte du virus et de leur salut…

On en vient à penser aux enfants des Desaparecidos. Mais où sont les Montoneros ? Sauvons au moins l’honneur.

NdT

(1) FCA : Fiat-Chrysler Automobiles a obtenu une ligne de crédit garantie par l’Etat de 6,3 milliards d’euros.

(2) Benetton a des intérêts aussi bien dans le Pont Morandi que dans les autoroutes.

(3) Minculpop : Ministère de la Culture Populaire, organe de la propagande et de la censure sous le fascisme.

(4) FNSI : Fédération Nationale de la Presse Italienne.

»» https://sinistrainrete.info/societa/17921-fulvio-grimaldi-operazione-v…

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Source: Lire l'article complet de Le Grand Soir

À propos de l'auteur Le Grand Soir

« Journal Militant d'Information Alternative » « Informer n'est pas une liberté pour la presse mais un devoir »C'est quoi, Le Grand Soir ? Bonne question. Un journal qui ne croit plus aux "médias de masse"... Un journal radicalement opposé au "Clash des civilisations", c'est certain. Anti-impérialiste, c'est sûr. Anticapitaliste, ça va de soi. Un journal qui ne court pas après l'actualité immédiate (ça fatigue de courir et pour quel résultat à la fin ?) Un journal qui croit au sens des mots "solidarité" et "internationalisme". Un journal qui accorde la priorité et le bénéfice du doute à ceux qui sont en "situation de résistance". Un journal qui se méfie du gauchisme (cet art de tirer contre son camp). Donc un journal qui se méfie des critiques faciles à distance. Un journal radical, mais pas extrémiste. Un journal qui essaie de donner à lire et à réfléchir (à vous de juger). Un journal animé par des militants qui ne se prennent pas trop au sérieux mais qui prennent leur combat très au sérieux.

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