La crise du COVID-19 a démontré que l’on pouvait tout imposer aux populations. Ce vecteur basé sur un virus de la famille des Coronaviridae ayant échoué, les élites passent à un autre créneau fort prometteur qu’ils n’ont jamais cessé d’exploiter dans le cadre de leur stratégie de diviser à l’infini pour régner.
Le racisme, le chauvinisme et le ressentiment ont toujours existé et continueront à exister tant qu’existeront la peur, l’ignorance et la bêtise humaine et c’est le nouveau vecteur promu pour lancer la seconde vague.
Des pays sont évidemment plus vulnérables que d’autres à cette vague. Après les États-Unis, c’est des pays comme l’Australie, la France et le Royaume-Uni qui se retrouvent en première ligne.
En France, le pouvoir en tremble au point d’avoir donné instruction ferme à toutes ses forces de maintien de l’ordre de fermer les yeux sur les délits et les infractions et d’éviter autant que possible toute forme de provocation aux conséquences désastreuses et incontrôlables. Le cas de la France, une oligarchie restreinte fermée fonctionnant à huis-clos et basé sur la mainmise des réseaux mafieux et clientélistes à la base mérite une très longue étude que presque personne n’ose envisager sans de sérieuses représailles multiples. Le racisme primaire, paradoxalement plus virulent au sein de l’extrême gauche et la gauche qu’au sein de l’extrême droite ainsi que les violences policières en France font en plus l’objet d’un déni officiel et même sociétal proche de la pathologie psychiatrique. Ce qui fait de ce pays une cible idéale pour ce genre de manipulation.
La prochaine étape ressemblera certainement à un scénario de Mad Max car la crise économique va rattraper l’ensemble des pays du monde.
Des phénomènes néfastes comme la violence policière sont hautement condamnables, le racisme l’est encore plus mais il s’avère maintenant que les élites s’en servent pour régler de vieux comptes tout en renforçant leur hégémonie ou du moins leur capacité à manipuler des masses d’humains totalement désorientés et perdus. En un mot assurer la survie des élites prédatrices dans un monde ou l’effondrement économique est palpable.
Les États-Unis peuvent encore faire face à cette extension du domaine de la lutte. Ce n’est pas le cas des autres pays. Il serait très intéressant de constater les effets de cette nouvelle vague sur des pays comme l’Inde ou la Russie.
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