Les troubles aux États-Unis ont prouvé encore une fois la puissance des réseaux souterrains de l’Etat profond US corrompu et leur capacité de manœuvrer et de manipuler une société totalement détruite. Le positionnement de la CIA et du FBI contre l’administration Trump consacre désormais le grand schisme américain.
Cependant, ni la CIA ni le FBI n’arrivent à discerner la gravité du moment. L’adoubement d’un dinosaure corrompu comme Biden ne sauvera pas l’empire mais précipitera sa chute. L’illusion de la reconstruction avec Biden ne prendra pas car l’injustice et les divisions au sein des populations US ne disparaîtront pas de sitôt. Ce genre de propagande que l’on attribuait d’habitude aux régimes staliniens fait désormais partie du rêve américain. Un projet de cauchemar totalitaire.
La chute de la Maison Blanche est cependant l’objectif secondaire des créateurs des rebelles syriens modérés et d’Al-Nusra.
L’objectif premier est bien plus stratégique et vise la reprise d’un processus enrayé depuis 2015. Ce n’est pas un hasard si une harpie comme Susan Rice accuse la Russie d’être impliquée dans les émeutes américaines et probablement dans le dysfonctionnement des toilettes du siège du Parti Démocrate. Les élites (avant le politiquement correct Novlangue on disait la Juiverie mais ce terme est fort peu précis et ne reflète pas la réalité de cette caste à prédominance Khazar) veulent la reprise du cycle de la guerre. Un objectif suranné. L’aventure irakienne était un immense coup de jackpot facilité par l’achat clé en main de l’ensemble du commandement des forces armées et de sécurité de l’Irak de Saddam Hussein. Ce qui a suivi fut un fiasco sans nom ayant justifié la malédiction irakienne. En bref, les élites dirigeantes se font encore des illusions sur leur capacité à influencer le cours de l’histoire. La propagande de la première ou de la troisième ou quatrième puissance mondiale est démasquée pour ce qu’elle est: une démagogie destiné à flatter une opinion ignorante et zombifiée. Tous les classements dans tous les domaines sont faux et on peut faire dire aux statistiques pratiquement tout et son contraire. C’est une des premières leçons de cette immense supercherie loufoque de la crise du COVID-19.
À suivre.
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