On comprend dès lors pourquoi Hollywood ne cesse de vilipender Nixon et le représenter sous les traits d’un homme irascible et hypocrite tenant un langage coloré en privé et invariablement comme un méchant président. Ce n’était pas un ami d’Israël.
Richard Nixon avait échappé à l’assassinat car une décennie plus tôt l’un de ses prédécesseurs, John Fitzgerald Kennedy avait été exécuté en public à Dallas, Texas et remplacé par le très corrompu Lyndon B. Johnson qui intensifia la désastreuse guerre du Vietnam sous le fallacieux prétexte de la lutte contre l’expansion communiste en Asie du Sud-Est. En réalité c’était une très grosse escroquerie visant à engraisser le gigantesque complexe militaro industriel et ses lobbies. Nixon qui contrairement au flamboyant Kennedy, venait d’un milieu modeste, savait à quoi s’en tenir et commença à se méfier de tous et de tout. C’est la fameuse paranoïa que Hollywood allait lui coller ad vitam æternam. Il avait osé mettre sur écoute la CIA et l’ensemble de ce que l’on désigne aujourd’hui sous le terme générique d’Etat profond et c’était l’erreur de trop. Il fallait le faire tomber. On chargea le quatrième pouvoir représenté par la presse juive américaine, totalement acquise à la mafia khazare de le démolir avec l’aide des moyens de l’Etat profond. Ce fut le Watergate. Un procédé qui fera date. Plus aucun président des États-Unis ne sera libre et aura une lourde épée de Damoclès suspendue au-dessus de sa tête.
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