Il est quasiment impossible d’échapper à la manipulation dans la manipulation d’une autre manipulation croisée ou parallèle à la première ou simultanément à la seconde. Disons-le d’emblée et sans ambage: la majorité d’entre-nous, dont l’auteur de ce billet, s’est fait manipuler à outrance avec cette histoire de COVID-19. Ce vecteur biologique basé sur un virus de la famille des Coronaviridae à servi à une des plus grandes opérations de manipulation de masse de l’histoire humaine. Oubliez toutes les autres grandes opérations de guerre psychologique similaires de grande ampleur survenues entre le 01 septembre 1939 et le 11 septembre 2001. L’opération de guerre psychologique doublé d’un féroce conflit économique se servant de la peur induite par l’irruption d’un vecteur biologique pathogène sensé être extrêmement contagieux et s’adaptant sans cesse aux conditions environnementales extrêmes (le virus survit désormais à des températures avoisinant les 65 degrés Celsius/149 degrés Fahrenheit) pour renforcer les capacités de contrôle social et restructurer les voies d’approvisionnement mondial et précipiter la chute d’une coterie tout en préparant un conflit mondial avec les puissances ayant entravé les visées géostratégiques de l’empire risque d’aboutir à des resultats fort inattendus. Dans la foulée, nous, simples observateurs d’un monde de plus en plus complexe dans sa capacité à façonner une réalité imposée et à y formater en conséquence les éléments de langage, avons été littéralement « roulés dans la farine » et pour reprendre les termes d’un analyste spécialisé dans la veille documentaire dédiée au phénomène de la propagande sectaire, « frits à petit feu dans une poêle en laiton ».
Puis il y a tous ces morts et cette comptabilité morbide. Quotidienne, insistante comme le ressac d’une vague marine. Les médias ont en trop fait. Ce n’est plus du formatage mais une surenchère de la peur, d’une peur primale, ancienne liée à des terreurs passées. L’humain est un animal politique extrêment sensible à la peur et à la possibilité d’un gain quelconque. Les populations sont non seulement parqués comme du bétail mais désormais assignées à résidence au nom d’une nouvelle forme de quarantaine. Les gouvernements ou plutôt les gestionnaires visibles du parc à bétail sont dépassés et font semblant de gérer un effet papillon qui leur échappe en totalité. L’argent fiat maintient un ordre social désordonné et en plein désarroi. Le bétail humain est facile à gérer par endroit. Très difficile par d’autres. Le niveau intellectuel général est gravement affecté et on ne gère guère que par l’émotion et l’affect. Gérer est un mot inadéquat. On manipule. On nous manipule. On vous manipule. C’est une forme d’esclavage post-moderne. Le travail est dévoilé pour ce qu’il a toujours été depuis deux décennies. Une supercherie. Une crèche pour adultes. Les études ne comptent plus. Les embouteillages sont l’expression non naturelle et donc artificielle d’un besoin de faire quelque chose. C’est donc un mouvement factice. Sans but propre. L’ennui humain est un puissant moteur. La distribution de la fausse monnaie régule le tout. La disparition de l’économie réelle à entraîné avec elle la société réelle. Nous sommes devant un nouveau état de fait. Une nouvelle culture. Un nouveau monde. Nous sommes trop imprégnés de nos anciens préjugés pour pouvoir discerner la complexité de la nouvelle donne. Peu importe si le COVID-19 vise autant l’administration Trump que la Chine. Le fait est que nous nous sommes fait avoir. C’est la raison pour laquelle les élites chinoises et russes font le dos rond et attendent de meilleurs jours. Le noyau dur des élites financières mondiales est capable de détruire l’ensemble de la planète avec des procédés fort élaborés. C’est dans ce contexte que la liberté de pensée, d’opinion et d’expression, très durement affectée au cours de cette crise ou guerre doit être préservé. Le COVID-19 a servi de prétexte à la chape de plomb qui s’est abattue sur l’ensemble du Net, dans quasiment la totalité des pays de la planète. Cette tendence dangereuse laisse imaginer le monde idéal voulu par les tenants du monde dit libéral. Ils n’hésiteront point à anéantir quiconque se dressera sur leur chemin. Pire, ils sont prêts à se suicider comme des kamikazes bourrés d’explosifs à l’intérieur d’un bus bondé de monde pour empêcher un changement de paradigme défavorable à leurs intérêts. Nous sommes fixés. Il nous faut jouer serré. Les méthodes de gangsters sont de retour. Au harcèlement multiformes s’est substitué les visites musclées à domicile et les fractures inopinées de tibias. Il nous faut donc tenir. Coûte que coûte. Réfléchir. Sortir des schémas de pensée connues ou imposées. Dépasser nos propres préjugés et accepter une extension du domaine de la perception et inévitablement celui de la lutte. Nous nous sommes trompés. Nous avons été trompés. Le COVID-19 cache une mystification dangereuse. Il y a eu mort d’êtres humains et une exploitation odieuses de ces morts. Cela ne s’arrêtera pas à ce stade. La seconde phase sera plus insidieuse, beaucoup plus vicieuse dans les méthodes employées. La matrice opératoire sera basée sur une thématique de crise économique et d’une poursuite de la guerre. Il n’y aura bientôt plus assez de gens capables de discerner avec le recul nécessaire ce qui se passe autour d’eux. De ce que l’on est en train de leur faire subir sans qu’ils en aient la moindre conscience. A l’évidence, 1984, le fameux roman dystopique d’Orwell était un peu schématique, systématique et optimiste sur l’extraordinaire capacité de manipulation du pouvoir.
Le site que vous êtes en train de parcourir ne prétend point à la vérité ou du moins à une certaine forme de vérité puisqu’il s’est fait lui aussi manipuler par la grande opération en cours. Par conséquent, il vous est demandé d’être extrêmement vigilant et de recourir systématiquement au bon sens, si ce dernier n’a pas été encore entamé par l’insanité ambiante ou la corruption. L’enjeu est énorme. Il ne s’agit plus seulement d’une guerre pour gagner les cœurs des foules mais d’une nouvelle programmation mentale de masse. Le verbe zombifier n’est pas loin. Les zombies on les voit ruer autour de nous. Ils ne réfléchissent plus. Ils consomment et se font confiner. Demain il se feront massacrer avec le sourire.
» De quel droit avez-vous vous asservi les gens alors qu’ils étaient nés libres? » Ali Ben Abi Taleb, quatrième Calife de l’islam, 7ème siècle après Jésus Christ.
Avertissement
La photographie d’illustration ne se veut pas péjorative ou offensante pour les asines que nous aimons et respectons au plus haut point. L’auteur milite d’ailleurs pour la réintroduction de l’âne commun ou equus asinus dans l’ensemble des zones urbaines.
Source: Lire l'article complet de Strategika 51