En 2010, la Fondation Gates a financé l’essai d’un vaccin expérimental contre la malaria de GSK, qui a tué 151 nourrissons africains et a causé des effets indésirables graves, dont la paralysie, des convulsions fébriles et des crises d’épilepsie, à 1 048 des 5 049 enfants.
Au cours de la campagne MenAfriVac 2002 de Gates en Afrique subsaharienne, les agents de Gates ont vacciné de force des milliers d’enfants africains contre la méningite. Entre 50 et 500 enfants ont développé une paralysie. Les journaux sud-africains se sont plaints : « Nous sommes des cobayes pour les fabricants de médicaments ».
L’ancien économiste principal de Nelson Mandela, le professeur Patrick Bond, décrit les pratiques philanthropiques de Gates comme « impitoyables » et « immorales ».
En 2010, M. Gates s’est engagé à verser 10 milliards de dollars à l’OMS en promettant de réduire la population, en partie, grâce à de nouveaux vaccins. Un mois plus tard, M. Gates a déclaré lors d’une conférence Ted Talk que les nouveaux vaccins « pourraient réduire la population ». En 2014, l’Association des médecins catholiques du Kenya a accusé l’OMS de stériliser chimiquement des millions de femmes kenyanes réticentes à l’aide d’une fausse campagne de vaccination contre le « tétanos ».
Des laboratoires indépendants ont trouvé une formule de stérilité dans chaque vaccin testé.
Après avoir nié les accusations, l’OMS a finalement admis qu’elle développait les vaccins contre la stérilité depuis plus d’une décennie.
Des accusations similaires ont été portées par la Tanzanie, le Nicaragua, le Mexique et les Philippines.
Une étude de 2017 (Morgensen et al. 2017) a montré que le populaire DTP (le vaccin diphtérique, tétanique et poliomyélitique) de l’OMS tue plus d’Africains que la maladie qu’il prétend prévenir. Les filles vaccinées ont souffert d’un taux de mortalité dix fois supérieur à celui des enfants non vaccinés.
Gates et l’OMS ont refusé de rappeler le vaccin mortel que l’OMS impose à des millions d’enfants africains chaque année.
Les défenseurs de la santé publique mondiale accusent M. Gates de détourner l’agenda de l’OMS des projets dont il est prouvé qu’ils permettent de lutter contre les maladies infectieuses : eau potable, hygiène, nutrition et développement économique. Ils affirment qu’il a détourné les ressources de l’agence pour servir son obsession personnelle, à savoir qu’une bonne santé n’est possible qu’avec une seringue.
En plus d’utiliser sa philanthropie pour contrôler l’OMS, l’UNICEF, la GAVI (Alliance Globale pour les Vaccins et l’Immunisation) et le PATH (Programme de Technologie Appropriée en Santé), M. Gates finance des sociétés pharmaceutiques privées qui fabriquent des vaccins, ainsi qu’un vaste réseau de groupes de façade de l’industrie pharmaceutique qui diffusent une propagande trompeuse, développent des études frauduleuses, mènent des opérations de surveillance et des opérations psychologiques contre les hésitations des vaccins et utilisent le pouvoir et l’argent de M. Gates pour faire taire la dissidence et contraindre à la conformité.
Dans ces récentes apparitions non stop dans « Pharmedia », Gates semble heureux que la crise du Covid-19 lui donne l’opportunité de mettre en place ses programmes de vaccins du tiers-monde sur les enfants américains ».
Traduction : Sott.net
Source : message de @robertfkennedyjr sur Instagram
Source: Lire l'article complet de Signes des Temps (SOTT)