L’implant de l’esprit versus l’implant de la puce
par Oscar Fortin
Ce que nous vivons, comme Humanité, met à jour les deux grandes options qui la déchirent. D’une part, il y a l’humanité que l’on veut libre et responsable, en tout et partout, et, d’autre part, il y a l’humanité que l’on veut soumise et entièrement contrôlée.
Nous pouvons y reconnaître les grands promoteurs d’un Nouvel Ordre mondial (NOM) tout comme les promoteurs d’un monde multipolaire, fondé sur les libertés fondamentales des peuples et des personnes. On ne peut plus ignorer ces deux grands concepts d’Humanité qui n’ont cessé de se révéler tout au long des siècles passés et des croyances qui s’y exprimèrent, tout au long de ces mêmes siècles.
Cette image de ces deux humanités me renvoie à cette autre image de la lutte entre le « bien » et le « mal« , entre le bon « Dieu » et le bon « Diable« . Dans les deux cas, ils se présentent, non pas sous l’angle du mal, mais plutôt sous l’angle du bien. Tous les deux veulent sauver l’humanité, le premier en la rendant toujours plus consciente et responsable, en y inscrivant, sous l’inspiration de son « Bon Dieu » un « esprit nouveau » de nature à l’orienter elle-même, vers un monde nouveau et une vie nouvelle. Alors que le second, sacrifiant cette conscience d’Humanité, en la substituant par une « puce », faisant de la personne un « robot » qui saura répondre, sans résistance, aux commandes qu’il recevra de son « bon Diable ».
Il faut dire que l’actualité, telle que nous la vivons sous le régime du Corona virus, met en évidence un personnage qui se révèle être le grand artisan d’un NOM, transformant les personnes en individus, les peuples et nations, en masses, lesquels seraient soumis aux ordres et commandes d’ordinateurs fort puissants programmés selon les intérêts et les volontés du « bon Diable ». Ce personnage qui émerge de plus en plus dans les médias ne serait nul autre que l’homme aux 75 milliards de dollars et dont le nom n’est nul autre que Bill Gates. Dans un article récent, on en faisait le personnage qui répondait aux chiffes de la Bête (666) dont parle l’Apocalypse de l’apôtre Jean. C’est que son dernier brevet porte le numéro 060606 et que le contenu de ce brevet recoupe bien le contenu de ce que nous en dit l’Apocalypse.
Nous sommes devant des faits qui nous interpellent profondément. Il en va, non seulement de notre vie et de notre mort corporelle, mais également de nos libertés fondamentales, de notre propre conscience et de notre capacité de répondre aux défis que nous rencontrons.
Deux grandes voies se présentent devant nous : celle de l’humanisme qui se reconnaît dans la liberté, la responsabilité et la conscience qui en est les guides. Cet humanisme va trouver ses diverses sources tant dans la nature même de la personne humaine qu’à travers diverses expériences de vie. On ne peut, pour des considérations religieuses, passer sous silence la vie et le message d’un grand humaniste en la personne de Jésus de Nazareth. Il est né à Bethléem et a vécu et prêché en Galilée. Tant son message que son vécu ont porté sur la valorisation de la personne humaine, sur la fraternité et la solidarité, sur l’attention à accorder aux plus misérables, aux laissés pour compte, etc.… Ce genre de prédication et de témoignage en a rassasié plusieurs tout en devenant, également, une menace pour les grands et puissants de son temps. Toujours est-il que ses principaux adversaires, entre autres, les grands-prêtres, scribes et pharisiens, firent tout pour que Pilate l’arrête, le torture et le condamne à mort sur une croix. Une histoire que nous connaissons tous et toutes d’à travers le monde. Il n’est pas le seul à avoir subi un tel supplice pour avoir valorisé les grandes valeurs de la personne humaine. Qu’on pense à Gandhi, à Nelson Mandela, et à bien d’autres.
Cet Humanisme fait appel à la responsabilité de chaque personne, à l’éveil des consciences conduisant à plus de solidarité et de fraternité. Dans le cas de ce Jésus, cet humanisme ouvre la porte à une transformation de la condition mortelle de notre passage sur cette terre à une condition de vie au-delà du temporel. Sur ce dernier point, il nous faut croire ceux et celles qui en furent les témoins. Malheureusement, on ne peut pas aller voir. À quelques exceptions près, peu nombreux sont ceux qui viennent nous en parler, une fois partis pour un autre monde. Si les personnes, dans le quotidien de leur vie, nous parlent par ce qu’elles font, nous croirons en elles. Je pense que ça vaut pour les personnes qui ont cru et agi en conformité avec cet « esprit » nouveau d’une Humanité consciente et responsable y sacrifiant leur propre vie. La foi et la bonne foi sont la source d’une conscience vraie et responsable.
Pour conclure et, m’en tenant à mes deux personnages, je dirai simplement ceci :
Dans le cas de l’humanisme de Jésus, l’appel à la conscience de chacun et chacune est fondamental. La personne n’est pas soustraite à sa conscience, pas plus qu’à ses responsabilités humaines et sociales. C’est tout le contraire. Elle se doit d’assumer ses responsabilités à l’endroit d’elle-même et des autres. Il y a toutefois un « implant » qui s’inscrit dans la personne humaine et c’est cette présence de l’esprit de ce Jésus et celui de tous ceux et toutes celles qui l’ont suivi. Nous avons tous et toutes des expériences de communion d’esprits qui nous accompagnent dans ce que nous vivons et faisons. C’est dans ce sens qu’il faut comprendre les deux textes qui suivent.
Jean 15:4 ^
Demeurez en moi, et je demeurerai en vous. Comme le sarment ne peut de lui-même porter du fruit, s`il ne demeure attaché au cep, ainsi vous ne le pouvez non plus, si vous ne demeurez en moi.
Jean 15:5 ^
Je suis le cep, vous êtes les sarments. Celui qui demeure en moi et en qui je demeure porte beaucoup de fruits, car sans moi vous ne pouvez rien faire.
Pour les croyants, il s’agit d’une présence de l’esprit de ce Jésus et, pour les personnes non croyantes, mais de bonne foi, il s’agit de la présence d’un esprit qui surgit naturellement de la conscience humaine. En somme, un « esprit » qui renforce la nature humaine et lui révèle la voie à suivre pour se sauver lui-même et sauver l’HUMANITÉ.
Dans le cas de l’humanisme de Bill Gates, l’appel à la conscience est substitué par des implants qui sauront dicter ce qu’il faut faire ou ne pas faire. Il n’est pas question d’en discuter ou d’en négocier les termes.
« Microsoft a breveté une technologie malintentionnée, qui à l’aide de capteurs implantés, surveille l’activité du corps et du cerveau. Les humains obéissants seront récompensés par un versement de crypto-monnaie, dès qu’ils auront accompli le travail qui leur était assigné.
Le brevet, WO | 2020 | 060606 a acquis sa notoriété et le surnom de « World Order 2020 666. » D’après la description de l’appareil en question, il s’agit d’un « système de crypto-monnaie, » et Microsoft explique qu’il est ‘capable’ d’exploiter les données de l’activité corporelle pour extraire des bitcoins en retour de l’accomplissement du travail assigné
MON DERNIER MOT
L’Humanité dure dans le temps, mais les « porteurs d’humanité » ne durent pas dans le temps. Depuis des, hommes et femmes se succèdent les uns après les autres sans que l’on sache pour autant le sort de ces derniers. Aujourd’hui, nous sommes présents et demain nous n’y serons plus. Ce lendemain est pourtant bien important pour y comprendre un peu mieux ce que nous faisons sur cette planète terre.
source : http://humanisme.blogspot.com
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