Comme chacun doit le savoir désormais, cette « pandémie » que nous observons au ralenti a été largement exagérée et a entraîné des décisions disproportionnées qui ne sont cependant que trop réelles et qui ne peuvent être effacées d’un trait. Ce qui se propage actuellement de manière incontrôlable à travers le monde n’est pas tant un virus (c’est secondaire) qu’un manque de bon sens, et des actions qui laisseront le monde tel que nous le connaissons en ruines, à moins que nous ne parvenions d’une manière ou d’une autre à les arrêter. Chaque jour apporte son lot de rebondissements, et tout cela est pour le moins chaotique et déroutant, en particulier tout ce qui sort de la bouche des responsables gouvernementaux, et que les androïdes en état de mort cérébrale qu’on appelle journalistes se font une joie de répéter en boucle dans les médias. Je voudrais donc faire un petit topo sur la situation actuelle.
Le SARS-CoV-2 est un virus dont les effets ne sont pas très différents de ceux de nombreux autres coronavirus tout à fait courants, ou de la grippe saisonnière. Bien qu’une réaction excessive à sa propagation initiale soit pour le moins compréhensible en raison des nombreuses inconnues qui lui sont associées, il est aujourd’hui parfaitement clair qu’il ne présente pas plus de danger que les autres virus susmentionnés. La plupart des gens ne sont pas infectés lorsqu’ils y sont exposés. Parmi les personnes infectées, la plupart présentent des symptômes légers ou n’en présentent pas. Parmi ceux qui présentent des symptômes, seul un très faible pourcentage meurt. Et ceux qui meurent sont presque exclusivement des personnes âgées souffrant de problèmes de santé sous-jacents ; autrement dit, des personnes qui meurent d’une infection – quelle qu’elle puisse être. Nous avons toujours vécu avec de tels virus. Il n’y a aucune raison de paniquer ou d’introduire des mesures destructrices. La seule différence de taille entre ce virus et les autres est sa campagne de relations publiques.
D’après les preuves que nous avons recueillies ces deux derniers mois, le SARS-CoV-2 ne cause pas, et ne peut pas causer à lui seul autant de dégâts. Il ne devient mortel qu’associé à d’autres facteurs. La plupart du temps, il ne se traduit pas par la « maladie » appelée COVID-19. Un de ses effets observés est la diminution de l’oxygénation du sang. Cela ne causera pas beaucoup de problèmes à une personne en bonne santé, mais cela amplifiera tout problème de santé préexistant. Il aura également un effet plus prononcé s’il est associé à d’autres facteurs comme la pollution de l’air, ce qui explique pourquoi Wuhan et le nord de l’Italie ont été si durement touchés. Une grande partie des dommages observés sont dus à l’état de santé déjà précaire de nombreuses personnes, à la pollution et au stress. Et le stress est, bien sûr, ce que les gouvernements et les médias créent 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, depuis des mois, sans aucun sens des responsabilités. Une grande partie des souffrances que nous avons vues ont été directement causées par cette réponse incompétente (ou malveillante ?).
De nombreux experts ont également expliqué que ce virus provenait d’un laboratoire et qu’il ne résultait pas des mauvaises habitudes alimentaires de Chinois mangeurs de chauves-souris, comme voudrait nous le faire croire la propagande occidentale, totalement dénuée de tout fondement scientifique ou même de simple bon sens. Entre autres raisons, si vous trouvez des séquences du VIH dans un coronavirus, vous savez qu’elles ne se sont pas retrouvées là par le biais de mutations aléatoires (à moins que vous ne soyez aussi mal informé sur la microbiologie que la plupart des gens semblent l’être sur le SARS-CoV-2). Je vous laisse le soin de décider lequel des deux laboratoires qui travaillent précisément sur ce genre de choses depuis des années et qui sont donc les coupables les plus probables, si ce n’est les seuls possibles – à savoir Fort Detrick dans le Maryland et le laboratoire de Wuhan – est responsable de cette « fuite ». Mais il ne faut pas oublier que, dans une large mesure, ils ont travaillé de concert sur ces recherches, et que Fauci a injecté des millions de dollars dans les deux laboratoires. Et nous savons que les mesures de sécurité à Fort Detrick étaient si déplorables qu’il a été fermé à l’été 2019 précisément pour cette raison. Je vous laisse réfléchir à l’éclairage que cela jette sur cette situation, à savoir qu’il est quasi certain que le virus est sorti de l’un de ces laboratoires, et absolument pas d’un marché chinois.
De nombreux pays ont également découvert récemment qu’ils avaient des cas de COVID-19 depuis au moins novembre dernier, bien avant que la pandémie ne débute « officiellement » en Chine. À travers le monde, des médecins se souviennent de « cas étranges de grippe » ou de pneumonie en novembre-décembre. Des tests de dépistage d’anticorps réalisés sur des personnes qui ont été malades pendant cette période se révèlent positifs au SARS CoV-2. Certains échantillons provenant d’autopsies pratiquées durant cette période se révèlent également positifs. Ainsi, ce virus semble avoir circulé partout, de la Chine à l’Iran, de l’Europe aux États-Unis, à la fin 2019. Beaucoup d’entre nous qui ont été malades pendant cette période et qui ont remarqué que leurs symptômes étaient vraiment étranges pour une grippe ordinaire, font désormais le lien et réalisent ce dont ils ont probablement souffert. Et devinez quoi ? Il n’y a pas eu de confinement, nous nous sommes rétablis et tout a continué normalement. Beaucoup d’entre nous, comme moi, ne sont même pas allés chez le médecin. La panique qui a suivi n’a pas été déclenchée par le virus (qui circulait déjà depuis des mois) mais par l’OMS, par les gouvernements à qui elle a fait des recommandations, et par les médias qui amplifient et répètent servilement toutes les déclarations officielles sur le sujet.
Le confinement, la distanciation sociale et les masques ont été introduits pour « aplanir la courbe » afin d’éviter un engorgement des hôpitaux. La plupart des hôpitaux étant vides depuis six semaines, cet objectif a été atteint, et il n’y a plus de raison de poursuivre ces mesures. Les mesures ne stoppent pas – ne peuvent pas stopper – la propagation d’un virus. Par contre, elles peuvent détruire – et elles le font – la vie des gens, tant directement qu’indirectement, et continueront à le faire pendant des années. Elles constituent également une violation des droits de l’homme et des libertés fondamentales. On nous a dit que le 11-Septembre a eu lieu parce que les terroristes « enviaient nos libertés ». Eh bien, ils n’ont plus rien à nous envier désormais. Nos libertés ont disparu. Et si vous pensez que ce n’est que « temporaire », vous n’avez tiré aucun enseignement de l’Histoire.
Les pays qui n’ont pas été placés sous « quarantaine » (Suède, Biélorussie, Corée du Sud, Japon, Taïwan) montrent clairement que leurs chiffres ne sont pas différents de ceux des pays mis sous « quarantaine ». (Notez que « quarantaine » est un mot qui désigne la restriction des mouvements et des droits des personnes infectées. La restriction des mouvements et des droits de personnes en bonne santé s’appelle généralement le fascisme). Parmi ces cinq pays, on va dire que la Suède s’en sort moins bien que les quatre autres. Toutefois, elle s’en sort mieux que l’Italie, la France, le Royaume-Uni, l’Espagne, les Pays-Bas ou la Belgique. En même temps, elle ne détruit pas délibérément son économie, ne harcèle pas sa population et ne prive pas les gens de leurs droits fondamentaux. La Biélorussie gère très bien la situation, sans aucune restriction. Les affirmations selon lesquelles notre situation aurait été bien pire sans « quarantaine » sont donc totalement infondées.
Des virologistes et des médecins du monde entier nous ont avertis que le port du masque, outre qu’il n’a que peu ou pas d’effet sur la propagation de ce virus, est hautement néfaste. Il nous prive d’oxygène, ce qui entraîne toutes sortes de problèmes de santé, ce qui, ironiquement, engendre certains symptômes similaires à ceux du SARS-CoV-2. Les déchets que nous exhalons, y compris les virus, sont ré-inspirés lorsqu’on porte un masque. Ainsi, notre charge virale augmente, et nos virus latents (présents en abondance dans notre organisme) s’amplifient et se réveillent. Vous pouvez en fait tomber malade à cause de virus présents dans votre corps à l’état latent mais que le port d’un masque a réveillés. Le port du masque vous isole également de l’environnement normal et affaiblit donc votre système immunitaire, vous rendant plus vulnérable à toutes sortes de virus, ainsi qu’à d’autres menaces pour votre santé. Ces problèmes s’amplifient également mutuellement. Un manque d’oxygène affaiblit votre système immunitaire. Un système immunitaire affaibli offre une meilleure chance aux virus latents de se propager et de se multiplier, et ainsi de suite. Et bien sûr, les personnes les plus touchées sont les personnes âgées dont le système immunitaire est déjà affaibli, surtout celles qui ont des problèmes respiratoires. Autrement dit, les personnes que nous devrions essayer de protéger le plus.
Le comptage des cas et des décès COVID-19 s’avère l’un des procédés les plus frauduleux jamais observés, et les chiffres sont aberrants. Les tests sont extrêmement imprécis. Les chiffres des décès sont gonflés, car on inclut toute personne suspectée (même vaguement) d’être infectée, y compris celles souffrant de crises cardiaques qui sont simplement suspectées d’être atteintes de coronavirus. Aucun test n’est nécessaire. Il suffit simplement de « présumer » qu’untel a été infecté. Et puisque de nombreux hôpitaux reçoivent plus d’argent pour les patients COVID que pour tout autre patient, et puisque les institutions gouvernementales encouragent les médecins à inscrire « COVID-19 » dans les dossiers médicaux chaque fois que cela est possible, il n’est pas surprenant que les chiffres soient loin d’être précis ou significatifs. Et tout cela à dessein, comme cela a été prouvé à de nombreuses reprises et confirmé par des agences et des responsables gouvernementaux. Pourtant, malgré toutes les manipulations visant à augmenter la menace apparente du SARS-CoV-2, le virus ne paraît toujours pas significativement pire que la grippe. Il semble très probable que, si les données étaient correctement rapportées, le nombre de décès « dus » au COVID-19 serait nettement inférieur à celui des décès « dus » à la grippe.
Les mesures prises sous couvert de « lutte contre un virus » (prétexte fallacieux, parce que les mesures en question ne permettent pas d’atteindre cet objectif – elles ne font que ralentir la propagation du virus) et de « sauver des vies » (aucune preuve que ce soit le cas) sont dans de nombreux cas tellement bizarres, illogiques et destructrices que les gens feraient bien de réfléchir à la question de savoir si cela relève vraiment de l’incompétence pure, et à partir de quand il faut soupçonner une intention malveillante. L’économie est en lambeaux, ce qui signifie la hausse des prix des denrées alimentaires et de nombreux autres produits de première nécessité, la perte de millions d’emplois, la destruction et la diminution de la production alimentaire, la famine, la pauvreté, l’interruption de l’éducation, la fermeture des petites entreprises et donc des moyens de subsistance de nombreuses personnes, la violence domestique, l’augmentation de l’alcoolisme, des suicides, et bien plus encore. Les dommages psychologiques que subissent d’innombrables personnes ne font que commencer et perdureront pendant des années. Toute une génération d’enfants sera bousillée par quelque chose de si incroyablement stupide et en même temps de si inutile qu’il est difficile de comprendre comment une telle chose a pu se produire.
En même temps, bien sûr, les riches deviennent encore plus riches, comme toujours, et les parasites habituels profitent de cette crise. Personne n’est « sauvé », nous subissons tous de nombreux préjudices, tandis que les politiciens, les banquiers et les PDG nous dépouillent, comme à leur habitude. Pourtant, beaucoup de gens, dans une surprenante dégradation de leurs fonctions cognitives, applaudissent à leur propre destruction. Tout ce qui ne va pas dans notre système, tout ce contre quoi les gens protestent depuis des années, a été amplifié de façon exponentielle, mais nombre de gens acquiescent à cette folie totale et la soutiennent. Apparemment, tout ce que vous avez à faire pour pousser le monde entier au suicide collectif est de répéter les mêmes mensonges chaque jour et de dire aux gens que le but est de « sauver des vies ». Nul besoin que ça ait l’air rationnel. Il n’est pas nécessaire de véritablement sauver des vies pour que l’astuce fonctionne. Apparemment, l’expression « sauver des vies » a tout d’une incantation magique qui rend n’importe quoi non seulement acceptable mais aussi hautement souhaitable, peu importe le nombre de vies que cela détruit en réalité. La pensée critique des gens a été anéantie par des décennies de programmation mentale et de conditionnement, et ils seront heureux de creuser leur propre tombe, gratuitement.
Les solutions proposées sont tout aussi fallacieuses que les raisons avancées pour le confinement planétaire. Un vaccin contre le coronavirus est une impossibilité, pour de nombreuses raisons. Le virus mute beaucoup trop vite pour que quiconque puisse fabriquer un vaccin. Nous n’avons pas non plus de vaccins contre les autres coronavirus, car leur fabrication s’avère tellement complexe que jusqu’à présent, nul n’y est parvenu. Nous n’avons pas non plus de vaccin contre le rhume, d’ailleurs. Et ce nouveau virus est évidemment moins connu et moins étudié que tous les « anciens » virus. Tout vaccin annoncé contre le SARS-CoV-2 fera certainement plus de mal que de bien (si vous pensez qu’il peut avoir un quelconque « bénéfice » en premier lieu), et il est très peu probable que des essais cliniques sérieux soient effectués. Mais il rapportera beaucoup d’argent à ceux qui sont déjà riches, et c’est vous qui paierez. Avec votre argent, avec votre santé et avec votre liberté si la vaccination devient nécessaire pour voyager, acheter des produits et pratiquer des activités du quotidien.
On observe bien une certaine résistance à toute cette hystérie, et elle grandit de jour en jour. De même que les tentatives pour l’étouffer. Les pouvoirs en place sont en surchauffe, faisant tourner à plein régime la machine à censurer toute information vitale et à persécuter quiconque ose dire la vérité sur ce qui se passe. Google (y compris YouTube) mène l’une des plus grandes campagnes de censure de l’Histoire de l’humanité, tout comme Fakebook. Les efforts qu’ils déploient pour vous dicter ce que vous êtes autorisé à voir, lire ou croire sont effarants. La vérité, ou même les opinions émises par certaines personnes, sont clairement plus dangereuses à leurs yeux qu’un hippopotame en furie.
Peut-être que le plus grand obstacle à une résistance efficace à cette folie est que trop de gens ont subi un tel lavage de cerveau qu’ils soutiennent activement leur propre destruction, même si pour le reste d’entre nous, l’horreur de la situation crève les yeux. Comme nous l’avons vu, même de nombreux médias alternatifs ont adopté une attitude illogique, prenant position contre les droits de l’homme fondamentaux, la dignité, la liberté et tout ce qui définit une vie normale, dans l’idée totalement erronée qu’ils aident quelqu’un (qui, au juste ?). Bref, cette situation est proprement hallucinante.
Dans les prochains mois, nos sociétés et nos vies vont subir des changements spectaculaires. L’orientation de ces changements dépendra en grande partie de la capacité des gens à réaliser que ce qui se passe actuellement n’est pas du tout dans leur intérêt, à prendre conscience de la trahison de leurs gouvernements, et à décider qu’il est peut-être grand temps de « se mettre en colère ».
Nous verrons si le COVID-19 sera suivi du FURAX-20. Si ce n’est pas le cas, le STUPID-21 nous tuera probablement tous.
Article initialement publié en anglais le 16 mai 2020.
Source: Lire l'article complet de Signes des Temps (SOTT)