Source : medianarodowe.com
La révolution du personnel au sein du réseau social très populaire est achevée. Facebook aura désormais un conseil de surveillance indépendant, qui s’occupera de la modération des contenus sur le portail. Le commentateur polonais Adam Gwiazda rapporte que le conseil d’administration comprend de nombreux militants de gauche, dont une musulmane radicale.
Adam Gwiazda, un commentateur de la vie publique polonaise bien connu en France, nous informe de la création d’un conseil de surveillance spécial sur Facebook. Les médias l’ont déjà baptisé la « Cour suprême » de ce portail, en raison de son indépendance par rapport à la direction du magnat américain des médias sociaux. Elle pourra même annuler les décisions de son propriétaire Mark Zuckerberg concernant la modération du contenu de Facebook et d’Instagram. Ce conseil de surveillance comprendra 20 membres qui devront modérer le contenu du portail conformément à la protection de la liberté d’expression et aux normes internationales en matière de droits de l’homme. Il rassemble, entre autres, d’anciens dirigeants politiques, des journalistes et des avocats de gauche.
L’écrivain yéménite Tawakkol Karman est mise en avant. Dans le passé, elle a reçu le prix Nobel de la paix et a fortement soutenu des mouvements islamiques tels que les Frères musulmans. Elle a également soutenu l’ancien président égyptien Mohamed Morsi, qui a été renversé par un coup d’État en 2013. Elle ne cache pas non plus son soutien au djihad radical.
Ensuite, Afia Asantewaa Asare-Kyei siègera au conseil d’administration. Elle est avocate et se spécialise dans la protection des droits des LGBT en Afrique et dans la critique du féminisme racial. Elle préside l’Open Society Initiative for the West. Elle est la présidente de l’Open Society Initiative for West Africa, branche de l’ONG de George Soros.
Un autre membre important est Pamela Karlan, un professeur de Stanford. Elle se qualifie de « femme juive bisexuelle malveillante », qui soutient le mouvement LGBT. En 2013, sous le président américain Barack Obama, elle était procureure générale adjointe. Elle ne cache pas son mépris pour l’actuel leader américain. Elle a également participé à la mise en accusation ratée de Donald Trump. « La Constitution ne reconnaît pas les titres de noblesse. Il a appelé son fils Barron, mais il ne peut pas en faire un baron », a déclaré Pamela Karlan devant la commission.
Une autre figure intéressante est l’ancien Premier ministre du Danemark, Helle Thorning-Schmidt, qui vient d’un milieu social-démocrate. Elle a à son actif un scandale de fraude fiscale. Au cours de la cérémonie en l’honneur de Nelson Mandela, qui a dirigé le mouvement contre l’apartheid et qui est responsable de l’aggravation de la situation de la population blanche en Afrique du Sud, elle s’est prise en photo avec Barack Obama et David Cameron.
Il y a aussi de la place pour un ami proche de George Soros. András Sajó, qui vient de Hongrie, appartenait autrefois à l’appareil communiste de ce pays. Il est un grand défenseur de l’immigration. Il siège également au tribunal de la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH), où il a accepté de condamner la Hongrie pour l’expulsion de deux immigrants du Bangladesh. Il a également prohibé l’affichage de crucifix en Italie.
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