Par Robert Bibeau
This article and this book are available on this webmagazine in English-Italiano-Spanish-Portuguese : 3.07.2019.Nationale-English-italian-Spanish-Portuguese
L’internationalisme prolétarien s’impose dans la politique mondiale, indice évident des profondes transformations de l’économie, de la politique et de l’idéologie des sociétés vivant sous le mode de production capitaliste moribond. Cependant les prolétaires révolutionnaires doivent faire le post-mortem du courant de pensée réformiste national-socialiste qui tante une résurgence en ces temps de crise profonde. Il faut tirer des leçons de cette répudiation du nationalisme réactionnaire. Dans cet ouvrage nous proposons d’autopsier la politique gauchiste à propos des luttes de libération nationale au XXe siècle, l’époque du triomphe du national-socialisme-gauchiste dans le mouvement ouvrier qu’ils ont liquidé. Le prolétariat n’a pas de patrie et la guerre nationaliste pour le droit des bourgeois à contrôler leur État national (démocratique, fasciste ou socialiste) et à spolier la plus-value locale ne nous conduit pas au combat prolétarien pour renverser le mode de production capitaliste. En phase impérialiste toute lutte de libération nationale est réformiste ou réactionnaire. Afin de démontrer cette thèse nous présentons et commentons les textes de Mattick, Souyri, MacNally, Luxemburg et de l’Ouvrier Communiste.
142 pages • 15,5 € • EAN : 9782343114743
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Source: Lire l'article complet de Les 7 du Québec