Je ne vois toujours pas en quoi la destruction de l’économie des pays arrange la dette bancaire ?
Oui, en ruinant, on endette des gens moyens pour en faire des prolétaires pauvres, attachés à un espace limité, voire de complets esclaves. Et on s’empare des biens nationaux et privés, comme en ex-Rhodésie. Mais c’est un calcul à court terme.
Si tout le monde plonge dans la misère, personne n’achètera rien, même si les spéculateurs richissimes achètent dix voitures et cinq cents paires de grolles par tête de salaud.
Et puis vivre sur une île, c’est amusant deux mois. Ensuite Paris, Berlin, Moscou, c’est irremplaçable ; mais devenues des villes grises et bolchevico-décapitalistées, la vie des magnats sera monotone.
Avec des populations mal nourries et pas instruites, donc pas très saines, pas très belles, ennuyeuses, infréquentables !
Et à qui ces richards pourront-ils voler les idées, les inventions, les entreprises qui marchent, les jolies filles, les braves garçons et garçons braves ?
Du calcul de cloporte qui fuit la lumière.
Il faut penser le monde à leur place.
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