par Marie-France de Meuron.
À première vue, ils sont bien distincts. Pas besoin d’un microscope pour voir une tique ! Il vaut toutefois la peine de développer une seconde vue : les deux apprécient le corps humain ! La tique a une arme en forme de trompe piqueuse qui réalise la piqûre et qui, afin de ne pas retomber immédiatement, est équipée de petites accroches qui s’ancrent dans la peau. Le coronavirus n’a rien à lui envier puisqu’il possède une couronne dont les spicules font saillie pour pénétrer dans une cellule !
À quoi cela mène de connaître leurs systèmes de connexion aux structures humaines ? C’est en connaissant les détails qu’on peut trouver des modes d’opposition à leurs assauts.
Comme nous sommes dans un monde très matérialiste où tout doit être vérifiable, on oublie qu’il faut des appareils pour ce faire et qu’ils ne sont pas encore tous inventés. Voilà pourquoi, on devrait toujours avoir en tête la notion qu’il existe des inconnues, avec des solutions latentes, autrement dit que notre monde est infini.
Une piste nous est proposée par cette dernière découverte concernant la tique et plus précisément son attraction pour certains corps : « les tiques sentent les champs électromagnétiques, et vont avoir tendance à se diriger vers eux ». Le site de Futura-Sciences nous l’explicite tant pour l’être humain que pour de nombreuses espèces animales : « Dans le monde microbien aussi, des bactéries possèdent des cristaux de magnétite qui sont des sortes de boussoles permettant d’orienter la nage de la cellule en fonction des lignes du champ magnétique. La magnétite est présente chez de nombreux animaux, y compris dans le cerveau humain ».
Alors que le système énergétique humain est connu depuis des siècles par les médecines alternatives, certains courants de science conventionnelle s’y intéressent actuellement avec l’aide de technologies bioélectroniques. Selon la dynamique financière en cours, deux multinationales se sont investies dans ce type de recherche. Alors que ce champ complexe nécessiterait une perception globale, l’intention se focalise déjà sur l’une ou l’autre application et ne prend pas le temps d’étudier l’effet sur l’ensemble des circuits qui seraient concernés par un implant local. Toutefois, on pressent que cette nouvelle façon d’aborder le corps pourrait incarner une nouvelle médecine « au détriment des traitements habituels et des vaccins », une belle lutte en perspective…!
D’autres scientifiques se penchent sur l‘impact des champs électromagnétiques sur des travailleurs. Certains individus très réceptifs peuvent les ressentir facilement alors que d’autres peuvent en souffrir une fois qu’une pathologie est clairement installée.
En affinant la recherche du monde énergétique sur les organismes vivants, des chercheurs isolés ont mesuré les effets de « la stimulation des émissions de photons et d’électrons de la surface de l’objet mesuré, quand celui-ci reçoit de courtes impulsions électriques ». L’appareil GVD (qui est l’évolution donnée à l’instrument mesurant l’effet Kirlian connu depuis 1930) permet de mesurer l’émission dite optoélectronique stimulée d’un objet biologique. En langage visible, cette émission présente une certaine aura de la personne. L’examen de cette aura permet de détecter s’il y a des dysharmonies et à quels troubles organiques ils correspondent.
Ainsi, on peut très bien concevoir que, selon les analyses faites avec les tiques, la découverte de certains troubles énergétiques d’un individu va permettre de comprendre pourquoi un virus a pu s’installer dans certains organismes et pas dans d’autres. Ce mode de procéder permet d’effectuer des tests qui peuvent concerner plusieurs systèmes, diverses pathologies et diverses failles, ce qui réduit les démarches diagnostiques dont les prix sont toujours plus inacceptables pour le bon fonctionnement de notre économie. De plus, on peut mesurer l’effet des traitements en cours, dans leurs efficacités ou leurs effets secondaires, ce qui peut amener un gain de temps marqué sur le chemin d’une amélioration voire de la guérison.
illustration : La magnétoréception du pigeon voyageur reste un mystère
source : http://mfmeuron.blog.tdg.ch
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