« Deux policiers ont été condamnés, mercredi 6 mai, en comparution immédiate, par le tribunal correctionnel de Marseille à quatre ans et à 18 mois de prison pour l’arrestation illégale d’un jeune réfugié afghan, ensuite abandonné dans un terrain vague où il affirme avoir été frappé. Ils ont été incarcérés après le prononcé de cette condamnation pour enlèvement et séquestration, faux et violences volontaires. » (Le Monde)
Comment voulez-vous faire aller bien un pays dont le politique ordonne à la police de cogner dur sur les Français, à coups de matraque et de PV, et d’épargner les migrants illégaux, parfois même délinquants ? Le message est clair : le pouvoir profond, qui décide de la police, de la justice et aussi de la politique, est profondément antifrançais et pro-immigration. On le savait, mais la condamnation des policiers marseillais pour avoir secoué un clandestin – pardon, un réfugié – afghan vient encore une fois le démontrer de manière éclatante.
Elle est moche, cette France !
La France marche sur la tête, et c’est la justice qui mène cette danse affolante, diabolique, inepte : le politique a ordonné une répression antisociale contre des millions de Français (les Gilets jaunes) jamais vue depuis la guerre d’Algérie, et il protège en même temps les clandestins qui déforment le visage de notre pays. Tous les clandestins ne sont pas des délinquants, mais le statut de clandestin fait souvent basculer dans la délinquance, dans l’économie parallèle, et parfois dans le crime plus ou moins organisé. Ce n’est pas pour rien que les communautés se reconstituent et se ressoudent parmi les clandestins ; il n’y a qu’à voir les bagarres ultraviolentes entre tribus, que ce soit à Calais ou aux métros Chapelle et Stalingrad (Paris XVIIIe et XIXe).
Le message envoyé par la justice, qui n’a aucune indépendance chez nous, pas la peine de le redémontrer tant ça crève les yeux (ceux des Gilets jaunes en particulier), est simple : agresser les Français est autorisé, voire encouragé, mais on ne touche pas à un poil des immigrés ou des clandestins, et encore moins à Zemmour et Finkielkraut, mais c’est un autre débat. La France, objectivement, n’est pas dirigée par des Français mais par des anti-Français. Si le gouvernement officiel a l’air bien français, le gouvernement officieux ne l’est pas du tout.
« Jamshed S., un Afghan de 27 ans, avait été relâché après un premier contrôle de son titre de séjour de réfugié. Évoquant des invectives en afghan et des doigts d’honneur, les policiers l’avaient rattrapé. Clé de bras et projection violente sur le véhicule, attestent les caméras de vidéosurveillance. “C’est à partir de là que Michel [Provenzano] s’est énervé”, a déclaré la jeune adjointe de sécurité, chargée de procéder au menottage. Au prétexte de consignes destinées à limiter les gardes à vue aux seules infractions au confinement et aux violences graves, les policiers avaient choisi de “l’enlever du secteur”, plutôt que de le présenter pour outrage à “un officier de police judiciaire qui nous aurait ri au nez”. »
Dans l’affaire emblématique qui défraye la chronique du jour, deux CRS ont donc dérapé lors d’une opération de contrôle. Sans tous ces clandestins dehors, protégés par une justice et des associations gauchistes résolument antiracistes, mais racistes contre les Français !, il va sans dire que le plus âgé des deux « sans aucune mention disciplinaire » en 20 ans de métier, celui qui a écopé de quatre ans de prison, n’aurait pas « fait une énorme connerie », selon ses propres mots. Ils ont en effet délocalisé le réfugié à 30 km de Marseille et l’ont un peu secoué, lui cassant son portable pour l’empêcher de photographier la plaque d’immatriculation de la voiture de police. Ensuite les deux CRS ont rédigé une fausse main courante.
Voici maintenant la pointe de l’article du Monde :
« “Vous faites exactement comme les voyous”, lui a opposé la présidente du tribunal. Les trois policiers se sont excusés auprès du jeune Afghan présent à l’audience, l’un d’eux disant même avoir “déshonoré [son] uniforme”. »
Dans cette affaire, l’IGPN a été rapide, efficace, impitoyable, comme jamais dans les affaires de Gilets jaunes blessés, et gravement blessés.
Les cas ont pourtant été relevés, filmés, prouvés : fin 2019, plus de 2500 Gilets jaunes avaient subi des violences policières, et sur ces 2500 faits avérés, 313 sont devenus des procédures acceptées par la police des polices, qui a transmis 200 dossiers à la justice, qui a au final condamné trois membres des forces de l’ordre. Beaucoup de ces affaires sont en cours. Traduction : ça traîne.
« J’ai pété un câble, on a fait une énorme boulette » (Le CRS condamné à 4 ans de prison)
Alors la présidente du tribunal qui admoneste deux policiers chargés à mort par l’IGPN pour avoir outrepassé leurs droits et leur fonction, des policiers qui doivent s’excuser devant un jeune Afghan qui se sait protégé par des lois aberrantes, c’est ça, la France à l’envers, celle du règne de l’antiracisme antifrançais commandité par le pouvoir profond, qui est 100 % socialo-sioniste. On voit chaque jour dans notre vie quotidienne les dégâts de cette idéologie destructrice des valeurs qui fondent toute société raisonnable et vivable. Il est temps que la justice se débarrasse de cette idéologie mortifère.
Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation