Le 23 avril 2020, le groupe médical américain AYTU Bioscience ont fait l’annonce d’une percée scientifique importante. En partenariat avec le Centre médical Cedars-Sinai, leurs recherches concluaient qu’il était possible de soigner les gens atteints de Coronavirus par l’injection d’une puissante lumière ultraviolette de type UVA à l’intérieur des poumons tuant une variété de virus, incluant les Coronavirus.
Le jour d’après, le 24 avril 2020, Trump présente son intérêt pour cette technique médicale en conférence au côté du Dre. Deborah Birx qui l’a très mal pris.
En effet, Deborah Birx est membre du conseil d’administration de la Global Fund, une fondation massivement financée par la fondation de Bill Gates dont la majorité des investissements sont dédiés à la recherche et la commercialisation mondiale de vaccins.
En conférence, Trump a mentionné sarcastiquement que cette nouvelle percée médicale pouvait agir comme un désinfectant. Contrairement à la pensée maintenant populaire, Trump n’a jamais dit d’ingérer du désinfectant à qui que ce soit. L’idée a été inventée de toute pièce par les médias.
Malgré tout, en seulement quelques heures, des milliers de fausses nouvelles à propos de Trump circulaient déjà.
Le 24 avril au matin, l’Agence France-Presse a publié une tribune mensongère sur les propos du président américain qui fut rapidement reprise par Le Journal de Montréal, TVA Nouvelles, Radio-Canada, La Presse, Le Devoir et plusieurs autres médias subventionnés.
Une « injection » de « désinfectant » pour combattre le coronavirus? Des déclarations de Donald Trump jeudi ont consterné la communauté scientifique et de nombreux spécialistes ont accusé le président américain d’être irresponsable en faisant cette suggestion « dangereuse. »
Aucun des articles ne mentionne les rayons ultraviolets ni l’étude de AYTU BioScience.
Ce n’est pas la première fois que la médecine utilise la technologie UVA comme désinfectant. Certains hôpitaux de Chine sont même dotés de robots à antennes UVA capables de désinfecter une pièce entière en seulement 3 minutes.
Malgré tous ces faits, même Jeff Yates, le « spécialiste des fausses nouvelles » de Radio-Canada a partagé la fausse nouvelle.
Le 19 Avril 2020, Susan Wojcicki, la Présidente Directrice Générale de Youtube, a déclaré que toutes les recommandations médicales ne provenant pas de l’Organisation Mondiale de la Santé sont censurés de Youtube.
Malgré que les recherches de AYTU Bioscience ont été cliniquement testées comme efficaces , une journaliste du New York Times nommée Davey Alba a déposé une plainte contre leur vidéo Youtube expliquant les concepts fondamentaux de leur découverte.
À la suite de cette plainte, leur vidéo fut supprimée de Youtube.
L’histoire ne s’est pas arrêté là. Le compte Twitter de AYTU BioScience a également été suspendu avant d’être réinstauré quelques heures plus tard.
Twitter vient de suspendre le compte de la société de biotechnologie cotée en bourse AYTU BioScience qui a créé une nouvelle approche de traitement COVID-19 utilisant la lumière UV dans les poumons dont Donald Trump parlait.
Plusieurs journalistes tentent de faire croire à leurs téléspectateurs que le Dre. Deborah Birx est malaisée à cause des propos de Trump en lien avec le désinfectant. En réalité, le malaise du Dre. Deborah Birx tient son origine des conflits d’intérêts qui l’entourent. Elle n’a pas été nominée par Donald Trump, mais par le parti démocrate en Janvier 2014. De plus, sa licence médicale a expiré en décembre 2014.
Deborah Birx est accusée d’avoir présenté des statistiques de prédiction du Coronavirus incohérentes à la Maison Blanche. Il s’agissait d’une prédiction totalement erronée publiée par l’IHME, un institut entièrement fondé par la fondation de Bill Gates. Ce dernier est aussi dédié à la commercialisation mondiale d’un vaccin contre le Coronavirus.
L’hydroxychloroquine est un médicament connu du milieu scientifique aux propriétés anti-inflammatoires. Il s’agit d’un dérivé de la chloroquine, un médicament qui fut fortement utilisé pour traiter la malaria dans les années 50.
De nombreuses études, dont celle de l’infectiologue français Didier Raoult démontrent l’efficacité de l’hydroxychloroquine à vaincre le Coronavirus.
Étrangement, ce n’est pas la première fois que les médias québecois font une couverture négative de ce médicament pourtant très connu.
Aux États-Unis, les Centres pour le Contrôle et la Prévention des Maladies affirment sur leur site qu’il n’existe aucun médicament contre le COVID-19. Pourtant, selon l’historique de leur site web, cette page a été modifiée.
Avant le 26 avril 2020, la fédération recommendait l’utilisation de plusieurs médicaments pour vaincre le virus du COVID-19 dont le Remdesivir, l’Hydroxychloroquine, la Chloroquine et plusieurs autres. Aujourd’hui, cette page n’existe plus.
Si le monde est vraiment en crise, pourquoi les gouvernements et les médias de masse censurent et négligent-ils autant toutes alternatives à la vaccination mondiale?
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