par Marie-France de Meuron.
Analyser, c’est décomposer, considérer un morceau pour lui-même. Or, nous connaissons tous les puzzles qui sont un exemple type que chaque pièce a une valeur mais le puzzle n’a de sens que quand il est entier.
La synthèse, c’est la résultante de la démarche par laquelle on considère l’ensemble d’un complexe, ou l’on cherche ce qui relie les éléments au tout, où l’on considère la relation entre les causes et les effets.
Nous constatons que la médecine actuelle cherche plutôt à cerner un problème pour le « confiner » à un diagnostic bien précis que l’on peut gérer avec des moyens les plus simplifiés possible. Ainsi, les industries pharmaceutiques ont pu prendre un essor pharamineux parce qu’elles ont suivi le mouvement tant qu’elles étaient soutenues par une démarche techno-scientifque. Logiques avec elles-mêmes, elles évoluent selon les appuis qu’elles reçoivent par les courants évolutifs. Ainsi, on passe de la molécule médicamenteuse au vaccin. Si elles n’étaient pas « nourries » par toute une mentalité médicale qui façonne la population selon ses convictions, les pharmas n’auraient pas l’emprise qu’elles prennent confortablement.
Puissions-nous saisir la leçon que veut nous donner la présence du coronavirus et son impact sur nos vies, en prenant connaissance (con-naître = naître avec) des conditions que nous avons créées dans notre organisme pour lui offrir un nid pour sa croissance ?
source : http://mfmeuron.blog.tdg.ch
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