Cette époque apparemment orwellienne met chacun d’entre nous à l’épreuve d’une manière ou d’une autre. Il est impossible d’échapper à la peur croissante que beaucoup ressentent face à l’épidémie actuelle de Coronavirus, que ce soit en raison de la menace de la maladie elle-même ; du « confinement » imposé à la population dans le monde entier pour « assurer leur sécurité » ; du nombre croissant de chômeurs et de malades dû au confinement ; des attaques systématiques contre les droits de la personne visant à renforcer la « distanciation sociale » ou des discussions sur l’imposition éventuelle d’un programme d’identification digitale utilisant la vaccination généralisée comme plate-forme pour l’identité numérique. (1)
Ce que je vais partager ici provient de la lecture et de la synthèse d’un grand nombre d’articles de presse et de divers blogs, et surtout de messages personnels provenant des forums de ces même sites Web concernant l’actuelle épidémie de Coronavirus et ses ramifications. Presque tous les participants à ces forums ont contribué à la cristallisation d’informations qui peuvent être utiles à d’autres personnes. Je tiens à remercier toutes ces personnes anonymes pour avoir partagé des parties de leur âme et de leurs luttes qui ont très profondément résonné en moi.
Il y a une question que beaucoup de personnes sur ces forums se sont dernièrement posées : si on en arrive vraiment à ce qui précède et que les choses sont poussées jusqu’aux limites de la raison — ou au-delà — , ai-je une « limite » que je ne m’autoriserais pas à dépasser, quel qu’en soit le prix ?
Lorsque cette question s’est posée à moi la première fois, j’ai eu une réaction très viscérale : j’ai d’abord ressenti une colère écrasante, puis de la tristesse ; puis j’ai ressenti à travers des frissons une libération physique, accompagnée de larmes, et suivie de ce que je ne peux décrire que comme une résolution viscérale selon laquelle il y a vraiment quelque chose, ou certaines choses, auxquelles je ne consentirai pas, même si la punition pour avoir résisté impliquerait de mourir. Mais rien de concret ne s’étant alors présenté à moi, j’ai médité sur les causes de mes réactions.
Ces derniers jours, je me suis rendu compte que j’avais au moins deux limites de ce type. La première : si notre gouvernement (aux États-Unis), qu’il s’agisse d’un État ou d’une collectivité locale, annulait le deuxième amendement et exigeait que les gens renoncent à leurs armes — et menaçait ensuite de les retirer par la force, si nécessaire — je résisterais. Ce serait une violation de la Déclaration des droits ; mais plus encore, ce serait une violation fondamentale du droit divin que chaque être humain aimant et attentionné a de se préserver et de protéger ses proches. Face à une telle tyrannie — si jamais elle se présentait à ma porte — je tiendrais compte des leçons d’Alexandre Soljenitsyne (L’Archipel du goulag) :
« Et comment nous nous sommes enflammés plus tard dans les camps, en pensant : comment les choses se seraient-elles passées si chaque agent de la sécurité, lorsqu’il sortait la nuit pour procéder à une arrestation, n’avait pas su s’il reviendrait vivant et avait dû dire au revoir à sa famille ? Ou si, pendant les périodes d’arrestations massives, comme par exemple à Leningrad, lorsqu’ils ont arrêté un quart de la ville entière, les gens n’étaient pas simplement restés assis dans leur tanière, en pâlissant de terreur à chaque coup porté à la porte d’entrée et à chaque marche de l’escalier, mais avaient compris qu’ils n’avaient plus rien à perdre et avaient audacieusement tendu une embuscade dans le hall de l’immeuble avec une demi-douzaine de personnes munies de haches, de marteaux, de tisonniers, ou n’importe quoi d’autre qui leur fut à portée de main ?… Les organes de l’État auraient très vite souffert d’une pénurie d’officiers et de moyens de transport et, malgré toute la soif de Staline, la machine maudite se serait arrêtée ! Si…si… Mais, nous n’aimions pas assez la liberté. Et plus encore — nous n’avions pas conscience de la situation réelle…. Nous avons purement et simplement mérité tout ce qui s’est passé par la suite. » (2)
Avec cette prise de conscience, j’ai pu identifier la source d’une partie de la colère initialement ressentie. Reconnaître l’existence de cette première limite ne m’a pas rendu triste, elle m’a juste permis de prendre une solide résolution. Je ressentais toutefois encore BEAUCOUP de colère, ainsi qu’une profonde tristesse, voire même une certaine impuissance. Quelque chose d’encore plus profond subsistait.
Puis je me suis souvenu de ce que beaucoup ont dit à propos des vaccinations forcées.
Avant de continuer, je dois vous donner quelques informations personnelles sur le contexte. Je suis titulaire d’une maîtrise en microbiologie et en génétique. J’ai obtenu ce diplôme alors que je travaillais dans un laboratoire de niveau II sur les risques biologiques dans le cadre d’un programme de niveau doctoral. Ce laboratoire était spécialisé dans la lutte contre l’anthrax. J’ai travaillé de concert avec la division des risques biologiques d’un important laboratoire national. Mon projet a été financé par une agence à trois lettres et a finalement été approuvé par un ancien élu de haut rang.
Pendant cette affectation, j’ai vécu de nombreuses expériences qui m’ont convaincu que le domaine de la guerre biologique n’était tout simplement pas pour moi. Je suis parti avec un master et je suis retourné en toxicologie environnementale, le domaine dans lequel je travaille encore actuellement. Mais ce que j’y ai appris a été absolument crucial dans le cadre de ma compréhension ultérieure et actuelle.
La colère accompagnée d’un sentiment d’indignation justifiée ont immédiatement fait surface lorsque j’ai pensé aux vaccinations obligatoires. D’où venait cette colère ? Était-elle justifiée ?
À l’instant où cette question a surgi, la colère et la détermination ressenties et les vagues d’aversion qui se sont élevées — certaines envers moi-même — m’ont servi d’affirmation positive personnelle : les vaccinations imposées sont un mal plus que digne de résistance, parce que je crois avoir accumulé suffisamment de connaissances et de bagage technique au cours des vingt dernières années d’études intenses pour comprendre ce que sont réellement les vaccinations : elles sont une violation non seulement du corps humain, mais aussi de la souveraineté personnelle — et par-dessus tout, elles constituent une attaque fondamentale, parasitaire et intentionnellement invasive, non seulement du corps physique, mais elles constituent aussi une atteinte de la compréhension consciente du fonctionnement réel du système immunitaire humain. (Pour une discussion approfondie sur la vérité des vaccins et sur ce qu’ils sont — et ne sont pas — je recommande vivement le livre du Dr Suzanne Humphries, Dissolving Illusions – Disease, Vaccines, and The Forgotten History (3) [« Dissoudre les illusions – La maladie, les vaccins et l’histoire oubliée », ouvrage non traduit en français – NdT]).
Le bénéfice supposé des vaccins a profondément été ancré non seulement chez les médecins, mais aussi parmi les masses grâce à un endoctrinement progressif et systématique des étudiants en médecine, forcés d’apprendre par cœur et de régurgiter des tonnes et des tonnes de matériel au lieu de faire preuve d’esprit critique et de capacité à résoudre les problèmes. Pour tenter ensuite de résoudre les maladies de leurs patients, ils appliquent ce qu’ils ont assimilé sans jamais effectuer la moindre enquête personnelle sur les professeurs qui les ont formés, ni sur la manière dont ont été acquises les connaissances qui leur ont été enseignées, ni sur la manière dont — et par qui — elles furent officiellement adoptées de manière dogmatique — pas plus qu’ils ne s’interrogent sur les lacunes de leurs enseignements lorsque leurs « connaissances appliquées » ne leur sont d’aucun secours.
Et ces imbéciles arrogants, convaincus de savoir mieux que moi, veulent m’administrer de force leurs fichues vaccinations pour nous garantir à tous une « sécurité » grâce à ce sophisme appelé « immunité collective » ? À quoi bon l’immunité collective lorsque les vaccins mêmes qui vous sont administrés font de VOUS un agent infectieux possible ? (4, 5, 6, 7)
L’enfer
Un peu plus de contexte. J’ai eu une enfance très difficile, comme beaucoup d’entre nous. Mes parents étaient très jeunes lorsque je suis né. Mon père ne voulait pas de moi et ne me consacrait jamais de temps. Il était aussi alcoolique et violent. Mais de cette enfance, j’ai beaucoup appris. Parce que je devais être capable de m’adapter aux réactions de mon père lorsque j’étais à ses côtés, j’ai appris la nécessité d’être en permanence dans l’instant présent. Pour éviter les coups et les cris, je devais savoir quoi faire pour être « en sécurité » en sa présence. J’ai appris que, sous peine d’en pâtir, mon attention ne devait jamais vaciller, pas même une fois. C’était comme si je vivais aux portes de la mort, toujours au bord du vide, et pour éviter de tomber, j’ai dû apprendre à m’accrocher à mon propre « Je suis ».
Alors pourquoi ressentir tant de colère, de tristesse et d’impuissance lorsque j’envisage la possibilité que les vaccinations pourraient devenir obligatoires ou inévitables ?
Parce que je sais ce que sont les vaccins, et que je connais les objectifs des personnes qui les promeuvent ; je sais aussi que celles qui sont chargés de nous les imposer ont accepté sans jamais remettre en question ce qu’on leur a demandé de croire. Mais je sais aussi que ces mêmes personnes — bienveillantes pour la plupart — ne tenteraient jamais de nous imposer leur volonté si elles avaient dès le départ été correctement informées. Cet aspect est une source de grande frustration qui engendre chez moi un sentiment d’impuissance. Que peut-on faire lorsque ceux qui vous entourent sont formés à ne pas remettre en question ce qu’ils sont censés apprendre ? Mais aussi ceci : est-ce vraiment leur faute ? Ou est-ce la faute du système qui les a formés, aussi bien que celle de ceux qui l’ont conçu ?
La colère que je ressens, cependant, est réelle ; j’ai passé un temps considérable à essayer de comprendre non seulement les vaccins, mais aussi la réalité en général, tout comme j’ai tenté de comprendre comment nous en sommes tous arrivés à ce point précis de notre histoire.
Je ne dois mes connaissances qu’à moi-même. Mais qu’une bande de psychopathes force des personnes par ailleurs bienveillantes à m’imposer leurs programmes malveillants, peut-être jusqu’à ma mort, tout ça parce que les médias et les systèmes éducatifs corrompus leur ont fait croire à des mensonges fondamentaux sur la réalité, à des mensonges qu’ils considèrent comme l’évangile de la vérité ? Des programmes malveillants qu’ils m’imposeraient pour notre soi-disant « mieux-être » à tous, alors que je connais la vérité grâce au temps et aux efforts que j’y ai consacré ? Et tout cela parce que ces personnes par ailleurs bienveillantes n’ont jamais pensé — en dépit du malaise qu’elles ont pu ressentir inconsciemment — à remettre en question ce qui leur a été dit, tant est qu’elles aient vraiment une âme et se soient autorisées à chercher la vérité au lieu de rester enfermées dans leurs esprits programmés ?
Je m’y opposerai de tout mon être. Je maintiendrai le cap et me dresserai face au néant.
Et je le dis du plus profond de mon être.
C’est ce que je suis.
Je ne dois qu’à moi-même de savoir ce que je sais. Je ne mérite pas d’avoir affaire à des personnes à ce point désinformées, sachant que sous d’autres augures, elles auraient pu bénéficier de ce que j’ai à enseigner.
Est-ce cela « se forger une âme » ? Découvrir une vérité qui soit à ce point réelle qu’elle ne peut être contestée, et d’être obligé de l’abjurer au risque même d’en mourir ? Est-ce à cela que ressemblait la vérité pour Giordano Bruno lorsqu’il lui fut impossible de la nier ou de l’abjurer avant d’être brûlé vif ? Parce que si c’est le cas, alors je me retrouve dans la même situation, en ce moment même.
J’ai acquis cette vérité, et personne ne pourra me l’enlever, même dans la mort si on doit en arriver là.
Mais je sais aussi ceci : s’ils viennent me chercher, je ferai face avec la même détermination que celle de Gandalf affrontant le Balrog dans les mines de la Moria. Je n’hésiterai pas. Chaque instant sera vécu en pleine conscience. Je tenterai de faire mieux que Gandalf, et de ne pas relâcher ne serait-ce qu’un instant ma vigilance — raison pour laquelle l’ennemi de Gandalf a pu l’entraîner avec lui dans l’abîme. Mais même alors, et en raison de sa nature intrinsèque et pour être resté fidèle à ses convictions et à lui-même, Gandalf est ensuite revenu de l’abîme plus sage et plus fort.
Je crois qu’un chemin peut s’ouvrir, qu’une porte peut devenir visible, qu’un lieu où l’on pourra trouver abri et nourriture peut se présenter à nous si l’on est capable — même dans les moments les plus difficiles — de maintenir en permanence une présence à Soi. Cette conviction est présente dans chaque fibre de mon être. Mais je sais aussi que maintenir une telle vigilance à ce niveau de réalité pourrait ne pas être possible. Mais qu’importe : cela ne signifie pas que l’on doit renoncer à essayer. Et si vous échouez ? Si vous êtes resté fidèle à vous-même et aux vôtres, et si vous avez dans la vie donné le meilleur de vous-même, alors cela n’a pas d’importance. Vous avez cristallisé votre âme.
Le « Gandalf de la Moria » m’a enseigné des leçons qui dépassent le cadre ce que je viens de partager.
La première de ces leçons est la suivante : mon plus grand ennemi, c’est moi.
Je me dois d’être présent à moi-même à chaque instant. C’est à moi de discerner la vérité, à tout moment. Je dois apprendre à comprendre et à vivre ma présence en tant que « Je suis », et à faire confiance à mon savoir inné. Si je suis toujours au contact de mes pensées, je ne me trahirai pas. Si je reste vigilant, aucun ennemi ne peut pénétrer dans mon espace, jamais — et je suis le seul à blâmer pour tout manque de vigilance.
Mais je sais aussi ceci : personne n’est jamais parfait, surtout dans ce monde. Être éternellement vigilant est une tâche colossale et impossible dans cette réalité. Je sais que je peux échouer. Et c’est alors que je dois maîtriser la seule chose qui m’apparaît comme la plus difficile à faire lorsque j’échoue à quelque chose : je dois apprendre à me pardonner. Toujours.
Et la dernière chose que j’ai tout récemment apprise : je ne peux espérer ni savoir tout ce que je dois savoir ni connaître tout ce que je dois affronter, si je le fais seul. J’ai besoin de partager avec d’autres personnes engagées sur le même chemin que moi, des personnes habitées par la même vigilance et qui partagent la même quête de Vérité. Et la Vérité est ce que je dois, et ce que nous devons, toujours essayer de discerner, à chaque instant. Toujours, et à jamais.
Cette connaissance, je l’ai acquise moi-même. Et pourtant, je ne sais pas si elle est exhaustive.
J’ai conscience d’avoir parsemé dans les passages ci-dessus de nombreux « Je », et c’est particulièrement vrai lorsque je dis encore et encore que la connaissance dont je dispose, « je l’ai acquise ». Pour certains, cela peut ressembler à une démarche égocentrique — et ce pourrait être le cas — sauf que tout ce que j’ai appris pour moi-même, j’ai tenté de le partager avec les autres. Absolument tout.
Vous souvenez-vous de cette vidéo après le 11-Septembre, lorsque Colin Powell a présenté au monde une fiole en disant qu’elle contenait de l’anthrax et a accusé l’Irak de détenir des armes biologiques de destruction massive pour y justifier une intervention ? L’Amérique a envahi l’Irak sur la base de ces affirmations.
Après la deuxième invasion de l’Irak (la première étant la première guerre du Golfe), la seule chose que les inspecteurs des Nations unies ont finalement trouvée concernant les « agents de guerre biologique » était des fioles de Bacillus thuringiensis, une « bactérie liée à l’anthrax ». Ce qui est vrai : elle appartient à la même famille d’organismes que le Bacillus cereus, souvent trouvé comme agent causal d’intoxication alimentaire. Mais : Le Bacillus thuringiensis est depuis longtemps utilisé comme agent agricole, souvent pulvérisé pour détruire les mites et autres insectes qui infestent certaines cultures. Et sous cette forme, il est — la plupart du temps — inoffensif pour l’homme. Les bellicistes étatsuniens et britanniques n’y ont jamais trouvé de bactéries militarisées ; toute l’invasion était basée sur un MENSONGE. Mais puisque le Bacillus thuringiensis est lié à l’anthrax, personne ne s’en est soucié — même si la menace n’existait pas. (8)
Cette série d’événements m’a non seulement fait prendre conscience des mensonges, mais aussi de ma propre implication : j’ai matériellement bénéficié du mème « L’Irak possède des armes biologiques », dans la mesure où j’ai obtenu mon diplôme en raison même de la prétendue « menace irakienne ». C’est grâce à cette Maîtrise que j’occupe mon emploi actuel. Croyez-moi quand je vous dis qu’à cause de cela, j’ai toujours du mal à me regarder dans le miroir. Je suis ce que je suis, en partie à cause d’un mensonge. Et l’assumer s’avère littéralement très difficile.
Malgré tout, je me suis après cela efforcé de partager mes connaissances sur ce fiasco avec d’autres personnes sur Internet, et avec quiconque voulait bien m’écouter. Je le fais toujours dès que je le peux. Mais entre temps, vers 2012, je suis tombé très malade. Après avoir consulté un médecin, ils ont découvert une lésion précancéreuse à l’arrière de ma gorge. En outre, j’avais du mal à garder les aliments que j’avalais et après avoir mangé certains d’entre eux, des cloques de sang apparaissaient souvent sur mon corps et dans ma bouche.
Un soir, après avoir mangé des chips de maïs et constaté que toute la peau de mon palais s’était détachée, j’ai décidé de consulter un docteur en médecine chinoise au lieu d’un médecin occidental conventionnel. Elle m’a regardé et m’a dit une seule chose : arrêtez de manger du maïs. C’est ce que j’ai fait. Et j’ai guéri, complètement. C’est alors que j’ai commencé à effectuer des recherches.
J’ai découvert que des gènes codant pour la résistance bactérienne ont été greffés dans le génome du maïs OGM, dont le plus important se compose de la toxine du Bacillus thuringiensis — et que cette toxine est désormais directement impliquée dans un certain nombre de maladies, en particulier dans les troubles du système immunitaire. Et voilà que j’en étais affecté…
…moi, ma santé ruinée par le Bacillus thuringiensis,
…qui constituait le sujet de ma thèse de maîtrise.
Tu parles d’un réveil.
J’ai ensuite commencé à explorer la science au-delà de tout ce que j’avais appris, et à relier entre eux des points qui ont formé un tableau d’ensemble qui m’a dégoûté. Parallèlement, j’ai entrepris de désapprendre tout ce que je croyais savoir, une condition sine qua non pour connaître la vérité. Mais je m’y suis attelé, et depuis lors, j’ai toujours cherché à partager tout ce que j’apprenais avec tous ceux qui étaient prêts à m’écouter. Et cela continue encore aujourd’hui : je partage sur Internet tout ce que j’ai appris sur l’anthrax, mais aussi sur les vaccins, les OGM et sur tout les sujets connexes. (9, 10)
Et maintenant ? Sachant ce que je sais, que puis-je faire pour ce monde et pour ces gens qui soignent les autres au quotidien mais qui sont programmés pour croire aux mensonges ?
C’est simple. Je peux prier.
Je peux prier pour que tous ceux qui dans ce monde sont empreints d’amour, et animés d’une intention et d’une âme pures soient sensibilisés à la Vérité, quelle que soit la manière par laquelle ils veulent et peuvent la recevoir.
Je peux prier pour que la Vérité soit ensuite présentée sous des formes acceptables pour ceux qui voudraient la connaître, et qu’elle le soit d’une manière qui ne viole pas leur libre arbitre.
Je peux prier pour que toutes ces âmes pures qui, vie après vie, ont été trompées par des forces négatives, reçoivent en ce bas monde la vérité que leur « moi meilleur » a toujours essayé de leur transmettre.
Je peux prier pour que tout le mal répandu par ceux qui ont égaré l’humanité se dissipe et que les vérités qu’ils ont cachées soient accessibles à tous ceux qui veulent les découvrir.
Je peux prier pour que tous les déséquilibres survenus au fil des millénaires soient corrigés de la meilleure façon possible pour toutes les parties concernées.
Et je peux également prier pour que tous ceux d’entre nous qui sont aujourd’hui éveillés et conscients de tous ces déséquilibres réalisent ceci : l’humanité dans son ensemble se tient aujourd’hui sur le seuil d’une transition qui part du « Je. Suis. » pour s’élancer de façon collective vers une nouvelle chanson de l’être — et cette chanson dit ceci :
Je. Suis.
Nous sommes.
Notes :
- https://www.globalresearch.ca/coronavirus-causes-effects-real-danger-agenda-id2020/5706153
- https://www.goodreads.com/work/quotes/2944012-arhipelag-gulag-1918-1956
- https://www.dissolvingillusions.com/
- https://www.greenmedinfo.com/blog/herd-immunity-flawed-science-and-mass-vaccination-failures
- https://articles.mercola.com/sites/articles/archive/2019/03/12/vaccine-herd-immunity.aspx
- https://www.pnas.org/content/115/5/1081 ; Infectious virus in exhaled breath of symptomatic seasonal influenza cases from a college community
- Rapid Identification of Measles Virus Vaccine Genotype by Real-Time PCR
- https://21stcenturywire.com/2018/01/21/wmd-america-inside-pentagons-global-bioweapons-industry/
- https://articles.mercola.com/sites/articles/archive/2011/10/06/dangerous-toxins-from-gmo-foods.aspxhttps://watchers.news/2012/10/10/study-gmo-toxins-found-nearly-pregnant-women-unborn-babies/
Cet article a initialement été publié en anglais le 21 avril 2020 : Sott.net
Source: Lire l'article complet de Signes des Temps (SOTT)