§. Le Bacille Couronné de la Cinquième a décidé de lever à moitié la punition, mais sous réserve d’être bien sage, de bien mettre son petit masque, et de bien respecter les gestes barrières. Le geste barrière est la Quenelle du pouvoir.
§. Nous étions déjà dans un vaste asile d’aliénés où les patients ambulatoires gesticulaient et vociféraient tous seuls dans les rues, les restaurants, les gares, comme autant de monades ignorant l’existence des autres, voilà maintenant qu’ils se baladent avec des masques chirurgicaux sur leurs gueules de confinés, preuve que leur solipsisme se complique d’une psychose paranoïaque.
§. Ne nous inquiétons pas de cet épisode délirant, il en restera toujours quelque-chose, quelque chose de plus soumis, de plus étriqué, de plus… charlie. Charlie puis Confiné telle est l’évolution du symptôme, qui part du rectum hollandais pour finir dans la fiente macrocosmique.
§. Supporter l’humiliation de cette séquestration collective est d’un lâche ! La « féminazisation » c’était ça ! Devenir des larves humides, bien pensantes, tremblant à l’idée de choper une grippe, et obéissant ad cadaver à la Matrice. Mais la servitude naissante deviendra pire que la mort !
§. – Que la politique de confinement constitue un sabordage volontaire des « économies » des pays concernés ;
que ce sabordage économique mondial n’est nullement consécutif à des nécessités sanitaires, mais répond à un plan machiavélique ;
que ce plan est l’œuvre non pas du « capitalisme », mais de la fraction du capital financier dominante dans la « sphère spéculative » ;
que c’est cette fraction du capital financier usuraire qui dicte la politique mondiale ;
voilà les quatre points essentiels qu’il leur importe absolument que nous ne comprenions pas.
§. Mes zidées lors de ce confinement pénitentiaire sont revenues, les mignonnes, à leur coruscante jeunesse. Oncques ne fus plus nazbol !
§. Cependant qu’un puissant intellectuel trotskiste écrit que « le programme du confinement c’est du national-socialisme », un autre imbécile, mais de l’autre bord, écrit sur cette mise aux arrêts de rigueur : « Première étape : mise en place du bolchevisme » !
Hitler vs Lénine ! Les deux figures concurrentes du Mal absolu, chez les absolus débiles.
Shoah vs Génocide communiste ! La saine émulation de l’indépassable dans l’horreur ! Dans l’horreur de la vérité, qui humilie les doctrines qui sont nulles ! Ils ne s’arrêteront donc jamais ? Même à l’agonie les deux grands crétinismes titrés ne désarment pas.
§. En dépit du fait que le concufinage pénitentiaire ait été international, une palme revient à l’Ex-France pour son côté indubitablement…, et …, et même …, si je puis me permettre, (je laisse remplir les pointillés, je n’ai pas envie d’aller respirer les relents confinés sous les robes d’audience du gynécée de l’Injustice.)
Aucun pays n’a été aussi bestial dans l’interdit, et les PORC (Patrouilleurs Officiels du Respect du Confinement) s’en sont donnés à cœur joie : La France bat tous les records en matière de racket et de brutalité envers la population. À Béziers, un père de famille a été tué… Félicitons les Valeureux alter-féministes de la Revue élémentaire qui ont très tôt zemmourisés ! Il faut prendre modèle sur le système raélien, puisque nous sommes devenus les Palestiniens de l’Europe.
§. « Ces événements nous dépassent, feignons d’en être les organisateurs ». Ainsi les Etats-tumeurs du Cancer bancaire généralisé, font comme s’ils avaient la haute main sur les choses, et la première chose qu’on fait pour apprivoiser les choses qu’on ne maîtrise pas, c’est de leur donner un nom.
Dieu, votre dieu hébraïque, après avoir mis son Adam dans le Jardin avec toutes les autres bestioles créées, lui intima de commencer par leur donner un nom.
« L’Éternel Dieu forma du sol tous les animaux des champs et tous les oiseaux du ciel. Il les fit venir vers l’homme pour voir comment il les appellerait, afin que tout être vivant porte le nom que l’homme lui aurait donné. L’homme donna des noms à tout le bétail, aux oiseaux du ciel et à tous les animaux des champs. » (Genèse 2:19-20).
On voit que nommer, c’est dénommer, c’est dominer.
Et les dieux savent, si les Sachants qui nous infligent la trivialité de leurs faciès vulgaires dans le poste dominent intellectuellement la situation ! Déjà Covid 19, ça rassure, on sent que c’est étiqueté, classé, nomenclaturisé ! On respire plus à l’aise, et c’est toujours ça, avec une maladie asphyxiante. On aussi les Pics, les diagrammes, les paliers pour souffler un peu, et les distances barrières au-delà desquelles la Mort rôde, tenue en respect par nos PORC bien aimés, et qui nous ont à l’œil, car nous ne valons pas chers.
§. Néanmoins, ces Abîmes de science n’arrivent pas à masquer que tout est minable, bricolé, mensonger ! La question philosophique qui demeure est celle ci : les États dans leur essence sont-ils comme les personnels qui les constituent, des cloportes narcissiques prétentieux ? Le Tout est-il simple addition des parties ? Où bien est-ce la nature décomposée de l’État qui détermine les politiques pourries des cloportes ? Il semble que oui, n’est ce pas, car TOUS, font la même politique. Des hommes aussi dissemblables que Trump ou Tas de saindoux avarié ou Microvirus….
§. Cependant, une micro dimension personnelle existe ! Sous la pression de sa maigre Cougar, Microlax a rendu visite au druide Raoul pour danser la Cloroquinte ! Le pédophile Daniel Nous-sommes-tous-des-juifs-allemands s’en est même étranglé de rage.
C’est peut être cette rencontre du troisième type, qui a provoqué cet appel politique de science fiction : Macron avec nous ! Pourquoi pas ? La fin justifie les moyens. Si on aperçoit une fente, une faille chez l’ennemi, il faut l’agrandir. C’est sûrement de bonne politique, et mon ignorance des arcanes du pouvoir est abyssale, mais l’incendie de Notre-Dame a éteint en moi toute espèce de relativisme moral.
§. Il est vital pour le Virus de se dupliquer et pour cela il fait fonctionner la cellule vivante à son service en s’emparant de sa production d’énergie. N’est-ce pas la définition du capitalisme spéculatif et parasitaire ?
Si le Virus est microscopique, l’infection est macronocosmique.
Mais il ne faut pas voir le virus seulement comme une entité microscopique venue du fond de l’infiniment petit pour nous faire mourir en grand. Elle est auto-produite par la société capitaliste en décomposition, par sa mutation animaliste qui pousse à se ressinger.
§. On ne distingue plus sur les plateaux, les médecins des flics, et ces derniers des journalopes. Toute cette gendarmerie qui éructe dans le poste, on l’entend moins qu’on ne la respire, elle porte jusque dans les salons confinés son ordure.
Cette pègre n’est pas là pour lutter contre la pandémie mais pour en répandre la psychose. Je la regarde comme bien pire que le virus, car elle se nourrit de lui et s’engraisse de ses victimes.
§. En vérité je vous le dis, mes frères, celui qui sait où il est, dans quel monde, et de quelle bolge sort le pouvoir, ne pourra jamais marcher dans la combine du Virus couronné.
« C’est pas possible, les gouvernements ne peuvent pas souhaiter ainsi le malheur de leurs peuples ! » Libre aux saints innocents de vouloir s’accrocher à leur innocence. Celui qui ne voit pas l’État terroriste, les gouvernants violemment haineux contre leurs peuples, mérite de périr. Il y a une unité dialectique entre la populace-pour-la-mort et son État euthanasique.
§. Cette sous-humanité terminale qui a sombré dans la peur de la mort, c’est d’un humour sinistre ! On entendrait presque ricaner le diable, mais un diable dont le seul projet serait de tendre un miroir au simio-humain créé à l’image de son dieu… à moins que ce ne soit le contraire.
§. Je n’ai pas d’autre commentaire à faire, que celui-ci, qui est vulgaire : on nous baise dans toutes les grandes largeurs et tout sera pire qu’avant. Quand on est entré dans l’Engrenage on en sort plus. C’est une absolue certitude.
Stéphane Audoin-Rouzeau, historien de la guerre de 1914-1918, écrit dans Media-part-du-gâteau : « Nous ne reverrons jamais le monde que nous avons quitté il y a un mois ».
Soyez certains qu’il dit vrai.
§. Pourquoi Nano et Thermite, hilares, ont-ils foutu le feu aux poutres ?
Si Charlie fut la première partie de la soirée dansante du Bataclan, l’incendie de la Grande Cathédrale a été l’ouverture tellurique de l’enfermement des gueux dans leurs chaumières.
§. Gradation
Les simples pensent que le pouvoir est dépassé par la pandémie
Les demi-habiles, qu’il fait passer leur profit avant nos vies
Les habiles, que le pouvoir apprenti-sorcier, en profite pour mettre un point une thanatocratie.
À partir de cette conscience on distingue deux autres classes d’esprit, divergeant sur la cause finale de cette géopolitique extinctionnaire.
Les Croyants, qui pensent qu’on nous tue sciemment pour réduire la population de 2 ou 3 milliards de gueux surnuméraires, à court terme.
Le spirituel, qui pense que le pouvoir accélère la dépersonnalisation du fascisme connectique, pour arriver au mental collectif totalitaire par la macération cellulaire. _ Et celui-là sait que la mortalité actuelle n’aura aucun effet significatif sur la massa perditionis, dont le pullulement reste plus que jamais nécessaire au pouvoir de la Caste maudite.
Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation