L’élite n’attend que le « bon moment » pour déployer sa technologie de « marque de la bête » en vue d’identifier et de contrôler à distance chaque être humain sur la planète, dans une tentative de sceller ainsi leurs plans pour la mise en place effective d’un gouvernement mondial capable de surveiller chacun d’entre nous.
Dans le livre de l’Apocalypse [13: 16-17], il y a un passage qui ne manque pas de retenir l’attention :
« À tous, petits et grands, riches et pauvres, hommes libres et esclaves, elle impose une marque sur la main droite ou sur le front: et que nul ne puisse acheter ou vendre, s’il ne porte la marque… »
Or, voilà que le fondateur de Microsoft, Bill Gates, qui met en garde contre une pandémie mondiale depuis des années, propose par ailleurs ces technologies controversées de marquage pour tous.
En septembre 2019, à peine trois mois avant la première apparition du coronavirus en Chine, ID2020, une société biométrique basée à San Francisco qui compte Microsoft parmi ses membres fondateurs, a discrètement annoncé qu’il entreprenait un nouveau projet qui implique « l’exploration de multiples biométries », technologies d’identification pour les nourrissons » basée sur la « vaccination de ces derniers ».
Des chercheurs du Massachusetts Institute of Technology (MIT) ont développé un « tatouage » de haute technologie qui stocke les données dans un implant invisible sous la peau. La « marque » serait délivrée avec un vaccin, probablement administré par Gavi, l’agence mondiale de vaccination qui relève également de la Fondation Bill & Melinda Gates. MIT News rapporte :
« Les chercheurs ont montré que leur nouvel implant, qui se compose de nanocristaux appelés points quantiques… émet un signal proche de l’infrarouge qui peut être détecté par un smartphone spécialement équipé. »
Cette étude a été financée avant tout par la Fondation Bill et Melinda Gates.
Le magnat de la technologie de 64 ans, et actuellement la deuxième personne la plus riche du monde, l’a révélé hier lors d’une session Reddit « Ask Me Anything » tout en répondant aux questions sur la pandémie de Covid-19.
Gates répondait à une question sur la façon dont les entreprises pourront fonctionner tout en maintenant la distanciation sociale, et a déclaré :
« Finalement, nous aurons des certificats numériques qui montreront qui en a guéri, qui l’a contracté, qui a été testé et qui a été vacciné… »
Les « certificats numériques » auxquels Gates fait référence sont des « TATOUAGES QUANTUM-DO » sur lesquels les chercheurs du MIT et de l’Université Rice travaillent en vue d’établir et de tenir des registres de vaccination. Des scientifiques des deux universités ont en décembre dernier révélé qu’ils travaillaient sur ces tatouages à points quantiques après que Bill Gates les ait approchés en vue de résoudre la problématique – selon lui – de pouvoir procéder à l’identification de ceux qui n’ont pas été vaccinés.
Les tatouages à points quantiques impliquent l’application de micro-aiguilles solubles à base de sucre qui contiennent un vaccin et des « points quantiques », eux-mêmes à base de cuivre fluorescent intégrés dans des capsules biocompatibles à l’échelle du micron. Après la dissolution des micro aiguilles sous la peau, les points quantiques encapsulés présentent des motifs qui peuvent être lus pour identifier le vaccin administré.
Les tatouages à points quantiques seront probablement complétés par une autre entreprise de Bill Gates appelée ID2020, projet ambitieux de Microsoft pour résoudre le problème de plus d’un milliard de personnes qui vivent sans identité officiellement reconnue. ID2020 résout ce problème grâce à l’identité numérique.
Actuellement, le moyen le plus réalisable de mise en œuvre de l’identité numérique consiste à utiliser des smartphones ou des implants de puces RFID . Ce dernier sera l’approche probable de Gates non seulement en raison de la faisabilité et de la durabilité, mais aussi parce que depuis plus de 6 ans, la Fondation Gates finance un autre projet qui intègre des implants de micropuces implantables par l’homme. Ce projet, également mené par le MIT, est un implant de micropuce de contrôle des naissances qui permettra aux femmes de contrôler les hormones contraceptives dans leur corps.
Avec un confinement prolongé de plus en plus difficile à supporter et une avalanche d’informations destinées à maintenir l’effroi parmi la population, il est probable qu’une part importante de celle-ci accepte une vaccination contenant un implant si la propagande leur promet que c’est pour leur bien et que cette vaccination constitue la clé indispensable pour retrouver une vie « normale ».
À partir de là, il ne faut pas sortir de Saint-Cyr pour comprendre que cette même nanotechnologie de suivi peut être appliquée à grande échelle dans l’économie mondiale. Elle pourrait notamment être utilisée pour éliminer l’utilisation de l’argent liquide.
Ces craintes ont pris plus d’importance avec l’interview de Bill Gates sur CBS This Morning. Gates y a déclaré que les rassemblements de foule pourraient être interdits jusqu’à ce qu’un programme de vaccination à grande échelle soit adopté. [L’interview peut être visionnée dans son intégralité ici ].
Tout cela semble être une pure folie quand on se souvient qu’il existe d’autres options pour vaincre le coronavirus qu’un régime vaccinal mondial obligatoire.
Le mois dernier, aux États-Unis, le Dr Anthony Fauci, considéré comme « expert en allergies et maladies infectieuses », a déclaré à un sous-comité sénatorial que plus de 80 % des personnes infectées par le coronavirus « se rétablissent spontanément » sans aucune intervention médicale. On peut donc se demander pourquoi le confinement a été imposé à tous presque partout dans le monde au lieu de le limiter aux malades. Pendant ce temps, le médicament hydroxychloroquine, qui a été dénigré dans les médias bien qu’il ait été désigné comme le traitement le plus efficace contre les coronavirus parmi les médecins dans une grande enquête, commence à faire ses preuves dans différents coins du monde.
La grande question, à ce stade, est donc de savoir quel remède va l’emporter – un vaccin développé à la hâte qui pourrait en fait aggraver les effets de la maladie chez ceux qui la contractent, ou le médicament bon marché à l’efficacité déjà prouvée qu’est l’hydroxychloroquine.
Pour revenir à ID2020, Microsoft a – pour le concrétiser – formé une alliance avec quatre autres sociétés, à savoir : Accenture, IDEO, Gavi et la Fondation Rockefeller. Le projet est soutenu par les Nations Unies et a été intégré à l’initiative des Nations Unies pour les objectifs de développement durable.
Il sera intéressant de voir comment Bill Gates et ID2020 exécuteront tout cela, car de nombreux chrétiens, et étonnamment un nombre croissant de musulmans chiites, sont très opposés à l’idée d’une micropuce et de toute forme de technologie d’identification invasive du corps. Aux États-Unis, certains législateurs et politiciens chrétiens ont même tenté d’interdire toutes les formes de micropuce humaine.
Mais, d’autre part, c’est l’occasion idéale pour Bill Gates de mener à bien les projets car au fur et à mesure qu’on augmente la peur instillée sciemment dans les populations, le grand public devient plus réceptif aux technologies de résolution de problèmes qui freinerait – soi-disant – la propagation du virus.
Sources : Media-Press.Info – PleinsFeux.org – Bio Hack Info
Source: Lire l'article complet de Signes des Temps (SOTT)