L’agenda de vaccination mondial de Gates : un win-win pour Big pharma et l’idéologie de la vaccination obligatoire
Les vaccins, pour Bill Gates, constituent une philanthropie stratégique qui alimente ses nombreuses entreprises liées aux vaccins (y compris l’ambition de Microsoft de contrôler une entreprise mondiale d’émission d’identifiants de vaccination) et lui confère un contrôle dictatorial sur la politique de santé mondiale — un fer de lance du néo-impérialisme des multinationales.
L’obsession de Gates pour les vaccins semble alimentée par sa conviction messianique qu’il est destiné à sauver le monde par la technologie et une détermination démiurgique à expérimenter avec la vie d’êtres humains inférieurs.
Promettant une part de 450 millions sur les 1,2 milliards destinés à vaincre la polio, M. Gates a pris le contrôle du groupe consultatif technique national indien sur l’immunisation (NTAGI) qui a rendu obligatoire l’administration de 50 doses de vaccins contre la polio (tableau 1) par le biais de programmes dédoublés d’immunisation des enfants avant l’âge de cinq ans.
Les médecins indiens attribuent à la campagne de M. Gates une épidémie dévastatrice de paralysie flasque aiguë non due à la polio (NPAFP) qui a paralysé 490 000 enfants au-delà des taux attendus entre 2000 et 2017 (http://polioeradication.org/wp-content/uploads/2016/07/FRR2008-2012_May2008_ENG_USformat.pdf).
En 2017, le gouvernement indien a mis fin au programme de vaccination de M. Gates et a demandé à ce dernier de quitter l’Inde avec sa politique de vaccination. Les taux de NPAFP ont chuté précipitamment.
En 2017, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a admis à contrecœur que l’explosion mondiale de la polio est principalement due à une souche vaccinale.
Les épidémies les plus effrayantes au Congo, en Afghanistan et aux Philippines sont toutes liées aux vaccins. En fait, en 2018, 70% des cas de polio dans le monde étaient liés à une souche vaccinale.
En 2009, la Fondation Gates a financé des tests de vaccins expérimentaux contre le HPV, développés par Glaxo Smith Kline (GSK) et Merck, sur 23 000 jeunes filles dans des provinces indiennes éloignées. Environ 1200 d’entre elles ont souffert d’effets secondaires graves, notamment de troubles auto-immuns et de troubles de la fertilité. Sept sont mortes. Les enquêtes du gouvernement indien ont accusé les chercheurs financés par Gates d’avoir commis des infractions éthiques généralisées : pressions exercées sur les villageoises vulnérables pour qu’elles participent à l’essai, intimidation des parents, falsification des formulaires de consentement et refus de soins médicaux aux jeunes filles blessées. L’affaire est maintenant devant la Cour suprême du pays.
« Nous servons de cobayes aux fabricants de médicaments »
En 2010, la Fondation Gates a financé un essai de phase 3 du vaccin expérimental de GSK contre la malaria, qui a tué 151 nourrissons africains et a causé des effets indésirables graves, dont la paralysie, des convulsions fébriles et des crises d’épilepsie, chez 1 048 des 5 949 enfants.
Au cours de leur campagne MenAfriVac 2002 en Afrique subsaharienne, les agents de Gates ont vacciné de force des milliers d’enfants africains contre la méningite. Environ 50 sur 500 enfants vaccinés ont développé une paralysie. Les journaux sud-africains se sont plaints : « Nous servons de cobayes aux fabricants de médicaments ». L’ancien économiste en chef de Nelson Mandela, le professeur Patrick Bond, décrit les pratiques philanthropiques de Gates comme « brutales et immorales ».
En 2010, M. Gates s’est engagé à verser 10 milliards de dollars à l’OMS en disant: « Nous devons faire de cette décennie la décennie des vaccins ». Un mois plus tard, M. Gates a déclaré dans une conférence Ted que les nouveaux vaccins « pourraient réduire la population ».
En 2014, l’Association des médecins catholiques du Kenya a accusé l’OMS de stériliser chimiquement des millions de femmes kenyanes réticentes à l’aide d’une campagne de vaccination contre le « tétanos ». Des laboratoires indépendants ont trouvé une formule de stérilité dans chaque vaccin testé. Après avoir nié les accusations, l’OMS a finalement admis qu’elle avait développé les vaccins de stérilité pendant plus de dix ans. Des accusations similaires ont été émises par la Tanzanie, le Nicaragua, le Mexique et les Philippines.
Une étude de 2017 (Morgenson et. al. 2017) a montré que le très répandu vaccin DTC de l’OMS tue plus d’enfants africains que les maladies qu’il prévient. Les filles vaccinées par le DTC ont subi un taux de mortalité dix fois supérieur à celui des enfants qui n’avaient pas encore reçu le vaccin. L’OMS a refusé de rappeler le vaccin mortel qu’elle impose à des dizaines de millions d’enfants africains chaque année.
Des défenseurs de la santé publique de par le monde accusent M. Gates de détourner l’agenda de l’OMS
Des défenseurs de la santé publique de par le monde accusent M. Gates de détourner l’agenda de l’OMS des projets qui ont fait leurs preuves en matière de lutte contre les maladies infectieuses : eau potable, hygiène, nutrition et développement économique.
La Fondation Gates ne consacre à ces domaines que quelque 650 millions de dollars sur son budget de 5 milliards de dollars. Ils affirment qu’il a détourné les ressources de l’agence au profit de sa philosophie personnelle selon laquelle la bonne santé ne vient que par la seringue.
En plus de se servir de sa philanthropie pour contrôler l’OMS, l’UNICEF, la GAVI et PATH, M. Gates finance une société pharmaceutique privée qui fabrique des vaccins, et fait en outre don de 50 millions de dollars à 12 sociétés pharmaceutiques pour accélérer le développement d’un vaccin contre les coronavirus.
Dans ses récentes apparitions dans les médias, M. Gates semble convaincu que la crise du Covid-19 lui donnera désormais l’occasion d’imposer ses programmes coercitifs de vaccination aux enfants – et aux adultes – américains.
Traduction : Antipresse, reprise par Cogiito
Source: Lire l'article complet de Signes des Temps (SOTT)