Docilité ou complaisance ?
La servitude s’obtient
parce que le collectivisme matérialiste (ou communisme mondialiste, ou « démocratie ») soit le seul modèle de société admis – aux fins utilitaristes du Capitalisme -,
et d’autre part parce que toute transcendance et valeurs humaines véritables ont disparu – en tout cas combattues.
Ainsi la majorité des gens devenus matérialistes (en trois siècles) adhèrent par défaut à ce Système totalitaire des « droits de l’homme » parce que c’est le seul qu’ils connaissent, et ayant oublié ou ne recherchant pas le sens véritable de cette vie, en lien avec le supramonde.
Pour sortir de ce collectivisme matérialiste où seule la valeur ajoutée de l’humain compte, et non l’humain lui-même, il faut que chacun retrouve son « royaume de dieu » en lui, son intégrité humaine, pour logiquement aller vers une vie plus saine,
car ça ne se fera pas par le collectif, l’Église ayant perdu sa force initiatique – comme on a pu le voir avec cette messe pascale, adoptant les consignes de sécurité de la République.
Très concrètement il faut chercher à s’élever, à reprendre une direction « verticale », en s’imprégnant en lisant les bons livres et ça revient doucement.
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C’est LA question cruciale que vont devoir s’approprier les Gilets jaunes par exemple pour savoir quel monde nous voulons.
Après on peut aussi se mettre au travail sans attendre d’avoir l’autorisation de Salomon ou d’Attali – car qu’est-ce que le confinement par exemple, si ce n’est une volonté de tuer l’esprit, de le soumettre à une cause collectiviste, en reniant tout droit fondamental de l’homme comme la liberté de circuler ?!
Il est la dernière étape vers l’humanité en tant qu’homme universel, spirituellement déraciné, « robotisé » et déshumanisé.
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