Le post-confinement sera un post-humanisme… sauf si…

Le post-confinement sera un post-humanisme… sauf si…

par Liliane Held-Khawam.

Puis je vis une bête sortir de la mer. Elle avait dix cornes et sept têtes ; elle portait une couronne sur chacune de ses cornes, et des noms insultants pour Dieu étaient inscrits sur ses têtes. La bête que je vis ressemblait à un léopard, ses pattes étaient comme celles d’un ours et sa gueule comme celle d’un lion. Le dragon lui confia sa puissance, son trône et un grand pouvoir. L’une des têtes de la bête semblait blessée à mort, mais la blessure mortelle fut guérie. La terre entière fut remplie d’admiration et suivit la bête. Tout le monde se mit à adorer le dragon, parce qu’il avait donné le pouvoir à la bête. Tous adorèrent également la bête, en disant : « Qui est semblable à la bête ? Qui peut la combattre ? » La bête fut autorisée à prononcer des paroles arrogantes et insultantes pour Dieu ; elle reçut le pouvoir d’agir pendant quarante-deux mois. Elle se mit à dire du mal de Dieu, à insulter son nom et le lieu où il réside, ainsi que tous ceux qui demeurent dans le ciel. Elle fut autorisée à combattre le peuple de Dieu et à le vaincre ; elle reçut le pouvoir sur toute tribu, tout peuple, toute langue et toute nation. Tous les habitants de la terre l’adoreront, tous ceux dont le nom ne se trouve pas inscrit, depuis la création du monde, dans le livre de vie, qui est celui de l’Agneau mis à mort. « Écoutez bien, si vous avez des oreilles pour entendre ! Celui qui est destiné à être prisonnier, eh bien, il ira en prison ; celui qui est destiné à périr par l’épée, eh bien, il périra par l’épée. Voilà pourquoi le peuple de Dieu doit faire preuve de résistance et de foi. » Apocalypse 13, 1-11

*

Des milliardaires autoproclamés dieux qui détiennent le pouvoir absolu planétaire sont en voie d’achever ce qui restaient d’agents commerciaux locaux, et de mettre un terme à l’humanité telle qu’elle a existé depuis des millénaires. Le concept mis patiemment en place depuis plus de 70 ans est en voie de faire tomber les derniers pans de la société humaine au sens classique.

Les États sont tombés depuis belle lurette. Les politiques au pouvoir ne sont rien d’autre que les administrateurs-délégués de la gigantesque société anonyme que se partage une poignée d’individus. Une information passée presque inaperçue est celle où une entreprise quasi insignifiante avant la crise des subprimes avait alors été appelée avec quelques autres du genre pour récupérer les actifs pourris qui ont soufflé la planète finance. Depuis, le petit outsider, sorti de nulle part, a été si adoubé par l’ensemble des États de la planète que le 24mars 2020, celui-ci fut nommé par la Réserve fédérale pour gérer son vaste programme d’achat de dette d’entreprise en réponse à la crise de Covid-19 ! Et pour ce faire, la Fed ne se fixe aucune limite!

Du coup, Larry Fink, le patron de Blackrock est un des membres de l’élite divinisée. Cet homme supervise à lui tout seul (enfin officiellement, il se pourrait très bien qu’il ne soit que l’homme de paille d’individus qui ont intérêt à garder l’anonymat… pour l’instant), non seulement le nouveau corporate slush-fund de la Fed (potentiellement 4,5 trillions de dollars), mais également la gestion de 27 trillions de dollars de l’économie mondiale (même avant la nomination en mars). En tant que plus grand gestionnaire d’actifs au monde, BlackRock gérait déjà 7 trillions de dollars pour ses clients-investisseurs mondiaux, ainsi que 20 trillions de dollars pour ses clients via son logiciel de surveillance des risques financiers (appelé Aladdin).

Et le site Counterpunch.org de poursuivre : » Avec 27 trillions de dollars sous diverses formes de gestion, BlackRock domine les secteurs de la finance, des assurances et de l’immobilier. Ce pouvoir financier largement consolidé peut être sans précédent, mais avec BlackRock impliqué dans pratiquement toutes les grandes entreprises de la planète (y compris les médias), même les concurrents de BlackRock (si ce mot s’applique encore) ne disent rien de la nomination de Fink.

En mettant la main sur cette portion incroyable de la planète finance, Blackrock est en voie de s’approprier le dollar lui-même! Rappelons que le billet vert a offert à l’élite de la haute finance le cumul de privilèges régaliens grâce à la création de de la monnaie contre les dettes.  C’est aussi par le dollar US que l’élite anglosaxonne a pu coloniser le monde de manière soft, puis le globaliser par une construction systémique extrême avec ses outils/produits fintechs.

Blackrock a fait encore plus fort que les banques. Malgré le privilège de la création monétaire, les banques étaient régulièrement exposées à des risques du genre de pénurie de devises, de liquidités, ou de retraits massifs de cash par les clients, etc. Blackrock n’assume aucun risque quant aux pertes. Son site est très clair à ce sujet. En revanche, il bénéficie entièrement des privilèges des propriétaires des titres en tant que leur représentant. Il est à 100% gagnant quoiqu’il fasse. Et un de ses premiers gains et non des moindres est son pouvoir décisionnel au niveau de toutes les entreprises dans lesquelles il est présent. Quand vous détenez les dettes d’une banque, ou d’un média, vous avez intérêt à obéir aux desiderata de votre créancier si vous ne voulez pas finir à l’office des faillites et au chômage. Voici le pouvoir réel d’un des dieux milliardaires qui ont privatisé la planète!

Cautionnement

Le 3 avril, le Conseil fédéral suisse demande donc au Parlement de relever à 40 milliards de francs au total le crédit d’engagement existant, soit 20 milliards de plus (AWP/ATS). Que dit le site du CF au sujet du cautionnement? Voir ICI

La Suisse, toujours à la pointe de l’anticipation du Nouveau Monde néo-soviétique a modifié sa loi dès 2006 (à rajouter quelques années de préparation…) pour faire cohabiter ce genre de mesures avec l’économie de marché

Alors la question qui tue est la suivante : y a-t-il encore un marché ? Peut-il y avoir encore des agents économiques indépendants? La réponse est clairement NON à plus ou moins brève échéance, les représentants des États, devenus bien autoritaires depuis quelque temps se chargeront des derniers survivants par une fiscalité à géométrie variable.



Nous avions fait la démonstration de au-moins 3 choses dans le décidément bien nommé Coup d’État planétaire:

    1. Il n’existe plus de marché libre depuis belle lurette. Les gros acteurs ayant concentré les processus et les outils de production planétaire.
    2. Les tout grands groupes ne sont plus organisés qu’en firmes-réseaux. Ils font appel à des sous-traitants qui eux assument les coûts et les risques.
    3. Les sous-traitants indépendants étaient déjà en voie de liquidation (PME, artisans, agriculteurs, éleveurs, propriétaires fonciers, etc.). Nous avions même fait référence à une guerre livrée par le supranational contre les bourgeois locaux. Eh bien avec ce virus tombé à point nommé, et l’étrange confinement généralisé, les derniers indépendants dotés d’auto-financement vont couler malgré un carnet de commandes très bien garni ! Ne ratez pas la vidéo ci-dessous qui montrent comment on demande aux fermiers de quitter leur exploitation (sous-titrage en français disponible).


Le verrouillage de la demande alimentaire est globalisé. Plus aucun pays ne décide tout seul. Dans un mouvement concerté on avait interdit la vente de semences et de plantons en ne les considérant pas comme biens de 1ère nécessité. En Suisse, sous la pression populaire, les mesures ont été assouplies…

En Suisse, la situation « extraordinaire » décrétée par le Conseil fédéral ce lundi 16 mars permet aux magasins et aux commerces qui proposent des denrées alimentaires de rester ouverts, mais interdit les manifestations publiques et privées, dont les marchés en plein air. Une mesure qui pénalise les agriculteurs et producteurs suisses. Ils traversent cette période avec des difficultés. L’interdiction des marchés en est une de plus. (Source ICI). Une mesure sanitaire qui fait suite à des manquements de protection de la population et du personnel soignant sur lesquels nous ne reviendront pas.

L’exemple des supermarchés globalisés ayant des droits supérieurs à ceux des producteurs indépendants locaux fait partie de la politique des ambassadeurs de la Finance supranationale. Une mesure politique, comme bien d’autres, qui précipite la destruction du tissu économique locale.

Cet exemple suisse illustre parfaitement le genre de mesures discriminatoires qui ne suscitent même plus une levée de boucliers dans l’opposition. Pourtant, à l’heure où le Conseil fédéral tient en mains l’ensemble des leviers du pays, crise sanitaire oblige, il est bon de rappeler que pareille décision est anticonstitutionnelle puisqu’à la fin les supermarchés récupèrent le chiffre d’affaires des PME.

Autoriser le commerce des grands acteurs dans des lieux fermés, et empêcher le commerce de petits acteurs dans des lieux ouverts, au nom d’une épidémie virale!, pose un problème essentiel quant à la participation d’une autorité suprême à une logique de concurrence déloyale.

Constitution suisse: Art. 96 Politique en matière de concurrence

    1.  La Confédération légifère afin de lutter contre les conséquences sociales et économiques dommageables des cartels et des autres formes de limitation de la concurrence.
    2.  Elle prend des mesures :

a. afin d’empêcher la fixation de prix abusifs par des entreprises ou des organisations de droit privé ou de droit public occupant une position dominante sur le marché ;

b. afin de lutter contre la concurrence déloyale.

La destruction totale et finale du marché en tant que « Lieu théorique où se rencontrent l’offre et la demande : Exemple, le marché de la voiture d’occasion » (Larousse).  Par des aides publiques directes et indirectes (exonération fiscale pex), l’économie de marché, réellement inscrite dans nombre d’accords européens et internationaux est la plus grande fake news jamais diffusée! Oui, les 4 libertés de circulation ont été approuvées, mais à ce jour, elles ont servi à détruire le tissu économique locale et à hypertrophier les quelques grands champions de la City-Wall Street. Ami lecteur, vos libertés de circulation à vous en tant que citoyen sont agonisantes, et en voie de s’éteindre si vous ne détenez pas un laisser-passer à but professionnel.

Finie donc l’économie de marché basée sur la Loi de l’offre et de la demande. Le père de cette loi, Alfred Marshall,  affirme que la confrontation de l’offre et de la demande, dans un marché concurrentiel, permet de prédire à la fois le prix et les quantités de biens échangés (produits manufacturés, matières premières, obligations, actions ,…) (cf. toupie.org)

Il est très clair quant aux conditions nécessaires et suffisantes qui permettent son déploiement théorique pour trouver un point d’équilibre théorique entre le prix pour lequel les vendeurs sont disposés à fournir la même quantité de biens que les acheteurs veulent acquérir. Jusque-là tout le monde peut valider. Sauf que cette loi ne s’arrête pas là. La même loi prévoit que : La concurrence doit être parfaite (atomicité de l’offre et de la demande, produits identiques, information rapide et complète de tous les acteurs, etc.)(toupie.org).

Afin de rendre le fonctionnement du marché fiable et « prédictible », Marshall demande à ce que le marché permette à une multitude d’agents économiques d’y évoluer dans des conditions équivalentes sur l’ensemble du territoire concerné. Par conséquent, dans une économie globalisée, les règles du jeu devraient être identiques à TOUS les intervenants, petits ou gros, chinois-africains-américains. Les processus et conditions de financement seraient les mêmes pour tous. Avec les myriades de distorsions soigneusement distillées dans les « normes » et « standards » qui favorisent les gros et écrasent les petits, la superstructure qui représente la finance globale a détruit toute possibilité de libre-concurrence !

Et ce n’est toujours pas tout !

Les PME survivantes parce que exceptionnellement talentueuses et dynamiques sont et seront toujours plus débitrices non plus du marché financier local, lui aussi impuissant, car vampirisé par les banques centrales et donc en fin de vie, mais de l’État. Et qui finance les États ?… La finance globale. Celle-là même qui détient les méga-entreprises qui ont profondément muté en firmes-réseaux. Grâce à cette organisation systémique, celles-ci vont partir à l’assaut de la planète cueillir à bon compte des contrats de coopération locale super alléchants.

En se constituant en firmes-réseaux avec des entreprises indépendantes locales ou internationales, ces entreprises vont se dénationaliser et se déterritorialiser pour mieux intégrer les partenaires planétaires[1]. Elles génèrent ainsi des myriades d’interactions autour du globe. Ce faisant, elles façonnent une identité multiculturelle, non liée aux nations. Les difficultés d’intégration liées à la mondialisation de l’économie et relevées il y a quelques années sont réduites d’autant. Un territoire virtuel corporatisé et monolangue émerge. Shimon Pérès, dans un entretien se demandait pourquoi les Européens n’adoptaient pas une langue commune…

Grâce à la dénationalisation des territoires, et leur corporatisation, la théorie des avantages comparatifs va se transformer en une mainmise sur des avantages publics, et des ressources productives locales (humaines incluses). Des théories convergent vers une mise à disposition par le secteur «public » d’incroyables conditions pour attirer le business des Firmes globales. C’est comme cela que les pôles de compétences ou « competitive clusters » vont être ancrés dans les territoires. Inspiré de la théorie des avantages comparatifs de Ricardo, Michael Porter qui propose de « rassembler sur une même zone géographique et dans une branche d’activité spécifique, une masse critique de ressources et de compétences procurant à cette zone une position-clé dans la compétition économique mondiale » (techno-science.net) »

[1] « Comment la SNCF a créé des centaines de filiales pour mieux préparer le démantèlement du transport ferroviaire », Stéphane Ortega, Bastamag.net, 5 juillet 2017

Extrait de Coup d’Etat planétaire

Les firmes-entreprises globales ont besoin de petites et moyennes structures pour se développer? Qu’à cela ne tienne, l’argent public est là. C’est avec cette vision que nous déchiffrons la fameuse Loi Pacte. Selon le ministre de l’Économie et des Finances, Bruno le Maire :

« La Loi Pacte est d’abord une loi pour les PME et pour l’emploi. Cette loi balaie très large pour lever tous les verrous de l’économie française ». Et de confirmer que c’est « une loi « Macroniste » dans sa philosophie et ses équilibres ». Cette loi qui a été définitivement adoptée le 11 avril 2019 va coûter 1,1 milliard d’euros en 2019 et 1,2 milliard en 2020, « financés en intégralité par la revue des aides aux entreprises ». Son apport économique est attendu sur le long terme. Elle devrait générer selon le Trésor « un gain d’un point de PIB supplémentaire sur le long terme : 0,32 point en 2025 et un point au-delà ».[1]

[1] « Toute la Loi Pacte en 10 points clés », La Tribune, juin 2018

Extrait de Coup d’État planétaire

Et quels sont les domaines privilégiés par cette loi?  Toujours selon la Tribune, un axe concernera la protection des secteurs stratégiques : « la procédure d’autorisation préalable d’investissements étrangers en France sera renforcée et élargie aux secteurs des semi-conducteurs, le spatial, les drones, l’intelligence artificielle, la cybersécurité, la robotique et le stockage des données massives. »

Deux choses à retenir de cette loi, elle va élargir les autorisations pour que des investisseurs étrangers viennent s’installer en France. Ensuite, regardez les secteurs qui en sont touchés : Ceux qui vont vous prendre en charge à chaque instant de votre vie dès que vous aurez fini avec le confinement réel !

Car, le confinement réel ne cessera que lorsque le confinement virtuel pourra prendre la relève.

Plus vous appartiendrez à une population résistante, et plus votre confinement sera sévère et long. Plus vite vous accepterez le principe d’être tracé à tout moment, de ne plus utiliser le cash, de vous impliquer dans les collectifs pour la défense du climat, de la décroissance, et autre promotion de la théorie du genre, plus vite vous sauterez à pieds joints dans le Nouveau Monde.

À ceux qui s’intéresse au cas de la Suède qui ne confine pas, nous pouvons répondre que ce pays avait banni le cash, et qu’il se prévaut d’une économie « tout numérique ». Les Suédois sont même un peuple très attiré par les implants, puces RFID, pour remplacer espèces et cartes de crédit. Pas besoin de confinement donc. Ils marchent vers le Nouveau Monde.

Le post-confinement du COVID-19 correspond à une économie post-marché car nationalisée par le crédit, et à une société post-humaine car de plus en plus trafiquée au niveau de son génome et de sa connexion à l’IA. Le tout au service des dieux milliardaires.

À un journaliste de Science & Vie qui lui demande : « Quelle sera l’utilité des humains dans un tel monde ? Que ferons-nous de milliards d’humains sans valeur économique ? », Harari, star des stars du moment, professeur tout de même à l’Université hébraïque de Jérusalem, répond : « Nous ne savons pas. Nous n’avons pas de modèle économique pour une telle situation. Ce pourrait bien être la plus grande question économique et politique du 21e siècle. »[1].

[1] « Sapiens, une brève histoire de l’humanité », Science et Vie,  https://www.science-et-vie.com/sapiens-une-breve-histoire-de-lhumanite

En ce vendredi saint, nous serions incomplets en ne précisant pas que le premier vol intellectuel remonte aux positivistes-matérialistes-scientistes, souvent dépressifs d’ailleurs, qui ont volé la place d’un Créateur de l’univers. On peut supposer que leurs disciples honnêtes ne pensaient pas que, in fine, la lignée accoucherait d’une génération d’illuminés qui se prend pour des dieux et se propose d’évacuer les bouches inutiles. (Ce dernier paragraphe se réfère à des mots et des idéologies démontrables et sourçables)

Liliane Held-Khawam

source : https://lilianeheldkhawam.com

Source: Lire l'article complet de Réseau International

À propos de l'auteur Réseau International

Site de réflexion et de ré-information.Aujourd’hui nous assistons, à travers le monde, à une émancipation des masses vis à vis de l’information produite par les médias dits “mainstream”, et surtout vis à vis de la communication officielle, l’une et l’autre se confondant le plus souvent. Bien sûr, c’est Internet qui a permis cette émancipation. Mais pas seulement. S’il n’y avait pas eu un certain 11 Septembre, s’il n’y avait pas eu toutes ces guerres qui ont découlé de cet évènement, les choses auraient pu être bien différentes. Quelques jours après le 11 Septembre 2001, Marc-Edouard Nabe avait écrit un livre intitulé : “Une lueur d’espoir”. J’avais aimé ce titre. Il s’agissait bien d’une lueur, comme l’aube d’un jour nouveau. La lumière, progressivement, inexorablement se répandait sur la terre. Peu à peu, l’humanité sort des ténèbres. Nous n’en sommes encore qu’au début, mais cette dynamique semble irréversible. Le monde ne remerciera jamais assez Monsieur Thierry Meyssan pour avoir été à l’origine de la prise de conscience mondiale de la manipulation de l’information sur cet évènement que fut le 11 Septembre. Bien sûr, si ce n’était lui, quelqu’un d’autre l’aurait fait tôt ou tard. Mais l’Histoire est ainsi faite : la rencontre d’un homme et d’un évènement.Cette aube qui point, c’est la naissance de la vérité, en lutte contre le mensonge. Lumière contre ténèbres. J’ai espoir que la vérité triomphera car il n’existe d’ombre que par absence de lumière. L’échange d’informations à travers les blogs et forums permettra d’y parvenir. C’est la raison d’être de ce blog. Je souhaitais apporter ma modeste contribution à cette grande aventure, à travers mes réflexions, mon vécu et les divers échanges personnels que j’ai eu ici ou là. Il se veut sans prétentions, et n’a comme orientation que la recherche de la vérité, si elle existe.Chercher la vérité c’est, bien sûr, lutter contre le mensonge où qu’il se niche, mais c’est surtout une recherche éperdue de Justice.

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