par Marie-France de Meuron.
Eh bien, parce que, tel un empereur, il conquiert le monde entier, avec une puissance imposante et une grande vélocité. Comme l’explique un théoricien professionnel du complot, « COVID-19 va saisir vos droits et détruire notre économie ». Il possède ses armes propres et ses caractéristiques corpusculaires observables au microscope. En face de lui, qui rencontre-t-il, qui sommes-nous?
L’épreuve s’avère multiple, complexe et compliquée pour ceux qui sont confrontés à cette entité virale, interpellés par son expansion tentaculaire. Les capacités d’agir et de réagir dépendent de maints facteurs, selon les situations économiques et politiques soumises de plus aux idéologies des peuples et de leurs gouvernements, aux moyens sanitaires des nations et aux capacités immunitaires des individus.
Nous sommes noyés dans une foison de constats, de compte-rendus, de tergiversations, de décrets rapportés par les médias qui font forcément un tri selon des critères propres à leurs tendances. Ainsi, la population est secouée par de grandes vagues que d’aucuns cherchent à contenir donc à… confiner.
Cet empereur met en évidence nos façons de réfléchir et de ressentir son offensive dans nos corps. De quoi est-il réellement coupable et de quoi les populations, les services sanitaires et les gouvernements sont-ils responsables (= répondent-ils) de ce qu’ils perçoivent et de ce qu’ils en font ?
Les médias dominants focalisent l’attention des lecteurs sur le nombre de morts, de confinés, de détectés et d’hospitalisés ainsi que sur les moyens mis en place par les gouvernements. Ou encore sur les investissements engagés dans la recherche pour une nouvelle molécule ou un vaccin. Le seul traitement médicamenteux officiellement présenté est discuté et disputé.
Comme nous sommes dans une civilisation de chiffres issus de l’économie avec lesquels on peut jongler tout en restant assis dans une salle de réunion, les dirigeants servent aux peuples des annonces sonnantes et trébuchantes pour gérer les conséquences économiques du confinement, alors qu’il manque de finances déjà dans maints domaines. À noter en outre qu’il ne s’agit pourtant que d’une mesure d’hygiène et non d’une thérapie. De plus, le confinement retire aux individus de nombreuses libertés de créer leurs réponses à l’empereur, soit en développant leurs forces propres, soit en fréquentant des cabinets de thérapies diverses, soit en vivant des rencontres de joie et d’affection.
À cela s’ajoute que le confinement peut étouffer les aînés dans leurs homes et l’on dira qu’ils sont morts du virus couronné simplement parce que le test s’avère positif, sans tenir compte que la tristesse et le stress diminuent fortement l’immunité dans des états de santé déjà bien entamés. Dans d’autres lieux, en Inde par exemple, des travailleurs journaliers vont mourir de carences alimentaires.
Un joli jeu de mot : « On ne change pas un confinement qui marche« . (le confinement, lui, a le droit de se mouvoir!) Ainsi, les navigateurs sont priés de rester chez eux, au lieu de développer leurs poumons, de faire travailler leurs muscles et de se nourrir de soleil. Ils n’ont donc pas le droit de se renforcer pour affronter le virus qui pourrait se présenter sur leurs chemins.
Dans le même ordre, le semi-confinement a mis au tapis de nombreux clubs et écoles de sport à Genève. En temps normal, on arme plutôt les soldats pour partir au front!
Ce n’est pas seulement sur terre et sur l’eau que des personnes valides sont empêchées de s’activer: le secteur aérien joue aussi son avenir car du fait du confinement, il doit retenir ses forces vives, source de santé : « La branche est clouée au sol par le coronavirus ». En utilisant l’explication « du fait du coronavirus« , on octroie à cet empereur des énergies quantiques d’action à distance! En réalité, ce sont bien les décrets qui sont la cause de l’interdiction de voler.
Un autre impact sur la vie : « Des fermiers britanniques contraints de jeter du lait« . Des milliers de litres de lait frais sont jetés, cela signifie beaucoup de forces vives sacrifiés à des décisions politiques.
Les gouvernements se sentent en droit d’édicter des décrets mais ne sont pas conscients de toutes les frustrations et castrations qui s’ensuivent, pour toute l’intensité humaine qui est concernée et blessée. Les problèmes peuvent en outre concerner des secteurs connectés à de nombreuses ramifications. Prenons l’exemple des transports publics qui représentent des employés fidèles et efficaces, au service de personnes qui ne savent pas se déplacer autrement.
En fait, ce Covid 19 ne serait-il pas un miroir qui renvoie des images aux humains? Par exemple, le fait d’attirer tant l’attention qu’on en néglige non seulement de nombreux autres facteurs de maladie mais aussi une situation économique avec la menace d’un krach boursier. Ou encore, le virus fait le vide là où il sévit de même que le confinement supprime des manifestations de Gilets Jaunes ou de grévistes.
Et pourtant, l’être humain est un merveilleux micro-univers, bien plus puissant qu’un micro-organisme. Il peut donc trouver en lui de quoi négativer un corpuscule qui n’est même pas une cellule entière! Pour cela, il faut qu’il développe des dimensions scientifiques nouvellement découvertes, plus spécialement dans les champs électro-magnétiques et quantiques. Il est notable qu’en science, une découverte n’advient jamais en solitaire et que des observations se rejoignent de différents endroits. Ainsi, concernant le Covid 19, il est fortement suspecté le champ des 5G qui inonde Wuhan. Il s’ajoute bien sûr aux champs électromagnétiques des nombreuses installations dans beaucoup de domaines.
De ce fait, cette piste mériterait de recevoir des investissements davantage que dans des vaccins qui sont de plus en plus remis en cause.
Dans l’article traduit de l’anglais (merci Google!), il nous est rapporté des études fort originales dans le monde vibratoire :
« Le professeur Markus Buehler du MIT conçoit de nouvelles protéines à l’aide de l’intelligence artificielle. Il a récemment traduit la protéine de pointe du nouveau coronavirus (SARS-Cov-2) en son pour visualiser ses propriétés vibratoires, ce qui pourrait aider à trouver des moyens d’arrêter le virus…. »
L’article se termine par une réflexion qui peut nous mener très loin :
« Nous pensons que l’analyse du son et de la musique peut nous aider à mieux comprendre le monde matériel. L’expression artistique n’est, après tout, qu’un modèle du monde en nous et autour de nous. »
Ainsi, l’être humain pourrait reprendre sa souveraineté sur un virus découronné!
source : http://mfmeuron.blog.tdg.ch
Source: Lire l'article complet de Réseau International