Ce qui est fou dans la « crise » COVID-19, c’est la facilité avec laquelle l’État et ses médias effraient le public et manipulent des citoyens mal informés pour les amener à embrasser la décapitation économique et sociale.
Aveuglé par des titres effrayants basés sur des spéculations irrationnelles – ensuite révisés à la baisse et publiés en page C-23 des journaux d’entreprise demandant un renflouement – le peuple américain a adopté des mesures autoritaires supposées être imposées pour gagner une bataille contre un ennemi invisible.
Nous avons maintenant dépassé le point de non-retour. Les dommages économiques et sociaux infligés ont déjà fait payer un lourd tribut et cela va s’aggraver à mesure que les bureaucrates de la santé, les gouverneurs d’État et un président remarquablement ignorant et ses apparatchiks exigent que nous restions emprisonnés chez nous, effrayés par un micro que l’État et ses médias ont rendu fictionnellement comme une Gorgon of Doom (gorgone insatiable) et inévitable du destin.
The COVID-19 crisis has been engineered by Bill Gates from seasonal flu in order to crash the global economy, normalise authoritarianism, and further the elites’ goal of one world government. https://t.co/UVoOTB6OZE
— Barbara McKenzie (@BarbaraMcK42) April 3, 2020
Tweet : Barbara McKenzie: La crise de la COVID-19 a été provoquée par Bill Gates à partir de la grippe saisonnière afin de faire chuter l’économie mondiale, de normaliser l’autoritarisme et de promouvoir l’objectif des élites d’un seul gouvernement mondial. stovouno.org
COVID-19 : Bill Gates : une crise mondiale due à la grippe saisonnière
Bill Gates conçoit de sang-froid une crise pandémique due à la grippe saisonnière, mettant l’économie mondiale dans une impasse et causant d’immenses…
Scott C. Tips, président de la Fédération nationale de la santé, écrit:
En février 2020, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) – jamais connue pour son exactitude ou sa cohérence – a déclaré une « pandémie » pour le coronavirus et a affirmé que le taux de mortalité pour la nouvelle maladie à coronavirus maintenant désignée par COVID-19 était de 3,4%, alors que celui de la grippe saisonnière était de 0,1%. Bien sûr, les médias ont publié ces chiffres et ont fait des gros titres effrayants dans le monde entier, affirmant que ce nouveau virus était beaucoup plus mortel que la grippe saisonnière. Le problème avec la déclaration de l’OMS, cependant, c’est qu’elle a appliqué deux formules différentes pour les deux virus. Pour la maladie COVID-19, par exemple, ils n’ont tout simplement pas compté les cas bénins de COVID-19 qui se sont résolus d’eux-mêmes ; en revanche, ils l’ont fait pour la grippe saisonnière. Si l’OMS appliquait la même formule aux cas de grippe saisonnière qu’aux cas de COVID-19, alors la grippe saisonnière se révélerait plus véridique, étant deux fois plus mortelle que le virus COVID-19.
En d’autres termes, l’OMS mondialiste – essentiellement un groupe de relations publiques pour les grandes entreprises pharmaceutiques transnationales et ce qui devrait être considéré comme le complexe industriel de la santé – est engagée dans une fraude massive.
La campagne d’expansion et de propagande de COVID-19 n’est pas simplement un plan de relations publiques pour les grandes entreprises pharmaceutiques et leurs vaccins très douteux et souvent mortels. Elle sert également de couverture aux mesures autoritaires que l’élite dirigeante a mis en place depuis des décennies, des mesures destinées à surveiller et à contrôler tout ce que vous faites. Les hélicoptères d’Orwell scrutant les fenêtres des chambres à coucher à la recherche de délinquants sexuels – ou les drones à la recherche des racailles de vaccins infectés et suspectés – sont désormais une dure réalité.
Here French historian Mathilde Larrère compares the current political context with Orwell’s famous dystopia, 1984, thanks to a subtle pun based on the disease’s name (Covid 19) https://t.co/hm40OQnics
— Zalasta (@Zalasta) April 4, 2020
Tweet : Zalasta sur la photo COVID-19…84 de Mathilde Larrere:
Ici, l’historienne française Mathilde Larrère compare le contexte politique actuel avec la célèbre dystopie d’Orwell, 1984, grâce à un jeu de mots subtil basé sur le nom de la maladie (COVID-19)
Le 11 septembre n’a pas suffi. La portée du quotient de peur et des mesures autoritaires de cet événement sous faux drapeau a été limitée et finalement étouffée. La perspective féerique de terroristes habitant dans des grottes et préparant des attentats à la bombe sale dans des jardins d’enfants et d’autres actes diaboliques avait une efficacité limitée et une durée de vie relativement courte.
Cependant, un virus invisible dépeint comme une pandémie au même titre que la peste noire est bien plus efficace qu’un ennemi de dessin animé comme Oussama ben Laden dans l’effort continu pour déplacer le bétail – comme nos dirigeants nous considèrent – dans la direction souhaitée.
En plus d’une surveillance et d’un contrôle « intelligent » de la population, la panique du virus est manipulée pour couvrir et rejeter la responsabilité du saccage de l’économie.
« L’économie était déjà en train de vaciller. Le faux boom stimulé par une décennie de méthamphétamine monétaire se transformait probablement en un effondrement avant même le virus », écrit Keith Weiner.
Les vrais coupables qui poussent à l’effondrement économique – la classe financière mondialiste et les fascistes de l’entreprise – veulent attribuer les coups de frein économiques et le renversement d’un château de cartes déjà précaire à un virus qui, jusqu’à présent, n’est guère pire que la grippe saisonnière, si c’est le cas.
Il est maintenant évident qu’une population qui fait l’objet d’une propagande poussée acceptera volontiers ce qui équivaut à une assignation à résidence sans limite de durée et aux exigences autoritaires absurdes de l’État – ne sortez pas, n’allez pas à l’épicerie ou à la pharmacie, ne portez pas de masques de bricolage en t-shirts et de filtres de chaudière, dénoncer vos voisins si vous suspectez une infection, condamner les préparateurs comme des amasseurs égoïstes, etc.
Notre avenir ne fait plus aucun doute. Les monstres psychopathes du contrôle nous guident vers le totalitarisme mondial. Henry Kissinger l’a récemment préconisé dans le War Street Journal, à la suite d’un appel similaire lancé par l’ancien « très honorable » chancelier de l’Échiquier, Gordon Brown.
Henry Kissinger calls for a New Post-Covid World Order: https://t.co/YDHiUAhF4D pic.twitter.com/f0OTgjiYl6
— Aphorist ? (@People1stPlanet) April 6, 2020
Tweet : Aphorist 2People1stPlanet:
Henry Kissinger appelle à un nouvel ordre mondial post-Covid :
Un virus a accompli ce que la guerre contre la terreur fabriquée n’a pas pu faire – nous conduire sans un bêlement de protestations vers les rochers de la destruction économique et sociale.
Kurt Nimmo
Article original en anglais : COVID-19: A Pretext for World Government and Totalitarianism, le 7 avril 2020.
Traduit par Maya pour Mondialisation.ca
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Kurt Nimmo écrit sur son blog, Another Day in the Empire, où cet article a été publié à l’origine. Il est un contributeur fréquent de Global Research. https://kurtnimmo.blog/2020/04/06/covid-19-a-pretext-for-world-government-and-totalitarianism/
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