Nommer l’ennemi a déjà été tenté par des gens beaucoup plus organisés que nous : ça ne marche absolument pas, ça aboutit au résultat inverse, ça renforce cet ennemi-là au dernier degré.
Pourquoi ? Parce que cet ennemi-là est très particulier, tout ce qui le tue le rend plus fort, parce que son identité est inversée, ce n’est pas l’amour de soi mais la haine des autres : son identité c’est l’antisémitisme.
Mais il y a beaucoup plus grave que ça : cet ennemi est invulnérable parce que son arme principale est elle aussi inversée : le messie juif c’est le nôtre, c’est notre bien moral le plus précieux.
Ce « bien » moral c’est l’inversion de la morale naturelle -celle qui rejette la promotion LGBTx, la pédophilie, l’inceste- par l’inversion des derniers (juifs, femmes, LGBTx, immigrés, migrants, etc.) en premiers et des premiers (mâle blanc productif et reproductif, typiquement : le gilet jaune) en derniers.
C’est cette morale ultra-toxique et seulement elle qui a transformé ces ennemis en ultra-premiers messiques intouchables parce que ultra-derniers génocidés par les ultra-premiers ariens.
C’est pour ça que les nommer ne peux pas marcher : ça sera toujours perçu comme le Mal Absolu, ça sera toujours perçu comme l’attaque d’un premier -d’un mâle blanc occidental de 62 ans- sur les derniers-d’entre-les-derniers.
Leur arme principale c’est nous, c’est notre sémitisation mentale, notre mise en esclavage par la morale inversée du messie juif : c’est ça qu’il faut nommer en premier.
Utilisons l’arme de l’ennemi pour en sortir : passons de la morale messique LGBTx ultra-toxique du « il n’y a ni homme ni femme », à la morale du « il n’y a ni premiers ni derniers » c’est à dire à la morale naturelle de la responsabilité humaine ethnique.
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