Un gouvernement (mondial avec son joli lieu Jérusalem comme capitale) gouvernant par la peur ne peut engendrer que des millions de morts, dépressifs et angoissés.
La peur au sens large (anxiété, angoisse, pensées négatives…) passe des neurones du cerveau à ceux du ventre, et provoque plus ou moins l’envie de consommer, de se rassurer.
Alors l’acte de consommer, s’il n’est pas contrecarré par une intention plus saine/plus raisonnable, devient synonyme d’échappatoire, une issue pour l’esprit angoissé, qui trouve à se rassurer dans l’effet anxiolytique (et dopaminant) associé au produit consommé : alcool, tabac, porno – et j’en passe.
En fait on ne devrait pas parler de « peur » mais plutôt d’anxiété, diffuse : par exemple, l’ennui est une forme d’anxiété – en fait tout ce qui est négatif.
Donc c’est l’anxiété (à conscientiser) qui fait consommer : quand on consomme, on s’ennuie moins car on a l’esprit occupé – la clope par exemple.
Et forcément, la drogue la plus efficace pour dissiper ce sentiment quand il devient trop fort, et partout disponible, c’est l’alcool.
Le problème c’est qu’un verre en appelle un autre, et plus il y a de verres, moins il y a de Raison, donc impossible de se reprendre en main pour le moment. Il faudra attendre de dé-saouler.
Le confinement est le prétexte idéal pour créer une situation dans laquelle les gens qui n’étaient pas malades pourraient le devenir (addictifs), et ceux qui l’étaient déjà le seront encore davantage !
Le conditionnement collectif par la peur a donc son corrélat dans l’affaiblissement personnel de son moral et de sa santé et donc de sa résistance immunitaire…
Ce qui est à l’opposé soi-disant ben-éfique de cette mesure moyen-ageuse nommée confinement !
Certains ou certaines ne ressortiront plus de chez eux et ce sera pas à cause du virus.
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