Quand j’étais en fac de médecine, je n’ai pas souvenir d’avoir vu un seul africain dans ma promotion d’environ 300. Un japonais, quelques chinois et c’est tout. Ensuite j’ai embrayé sur l’informatique, où il y avait une indienne, très douée, sur 60 élèves. Toujours pas d’africain. Pourtant dans les deux cas la porte était ouverte sur base de méritocratie, c’est à dire avoir réussi au bac à l’époque où il valait encore quelque-chose.
Je ne dis pas qu’il n’existe pas de chercheurs médicaux ou informaticiens africains de talent. Certainement que si, mais je n’en connais aucun, ce qui veut dire qu’ils sont très rares, non seulement en France mais dans le monde. Lorsque j’ai bossé dans la Silicon Valley, je n’ai connu qu’un seul collègue africain. Nigérien pour être précis. Par contre il y avait des indiens en pagaille, comme dans la plupart des départements informatiques européens où j’ai travaillé et où je n’ai rencontré aucun africain en 30 ans de carrière.
Cependant il suffit de voir l’équipe de France de foot pour se rendre compte qu’une discrimination raciale existe au niveau des aptitudes physiques, donc morphologiques. Si tu veux vraiment imposer la diversité raciale et non intellectuelle, pourquoi ne pas commencer par le plus évident ? A quoi servirait un joueur de foot ou de basket dans une équipe de recherche médicale ? Ce sont les études qui font le scientifique, pas sa couleur de peau.
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