Ceci est une informations exclusive non encore publiée et inédite.
Les forces de défense CBRN (Chimique, biologique, radiologique et nucléaire) de la Fédération de Russie en Italie ont confirmé la thèse d’une attaque biologique qui n’est pas due au SRAS-nCov-2 mais à un autre vecteur. Le COVID-19 dont le vecteur existe est une diversion masquant l’usage d’une véritable bioarme.
Le COVID-19 n’est pas le vecteur d’une bioattaque mais un écran de camouflage cachant l’usage d’un autre vecteur inconnu, lequel ne serait pas chimique mais bien biologique.
Les thèses sur un usage éventuel du gaz Sarin sont totalement écartées par les équipes CBRN russes. Les premières conclusions de l’enquête des spécialistes russes à Bergame ont déclenché une alerte à la guerre biologique à Moscou.
La Stampa et les grands journaux italiens ont reçu l’ordre de mener une campagne extrêmement négative contre l’aide militaire russe à l’Italie. Les grands médias italiens tirent à boulets rouges contre l’aide russe, qualifiée d’intervention militaire ostentatoire dans un pays de l’Otan, et mettent fortement en doute son efficacité.
Nos sources soulignent qu’il faut absolument éviter de céder à la multiplication des fausses pistes dont une grande partie émane des grands médias dits dominants dont la battement médiatique sur le COVID-19 ainsi que l’action de certains gouvernements visent plus à brouiller les pistes. Ce qu’il faut retenir selon les mêmes sources est que le SRAS était au début des années 2000 bien plus létal (~10%) que le SRAS-nCov-2 et que les mesures prises par un nombre grandissant de gouvernements visent en priorité la création d’un climat favorable à l’injection d’immenses quantités de monnaies fiat (de 2 à 8 trillions de dollars USD) pour sauver le marché financier et boursier mondial et la mainmise du dollar sur fond d’une guerre de pétrole mené via l’Arabie Saoudite visant à terrasser économiquement des pays producteurs de brut comme l’Iran (cible prioritaire), le Venezuela, la Russie, la Chine, l’Algérie et le Nigeria.
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