La VITAMINE C [par Alain Scohy]
Curieusement, les pays francophones sont les plus réfractaires à la vitamine C.
Les américains en consomment régulièrement (mais sans doute surtout chimique et pas suffisamment), et beaucoup de pays dans le monde sont conscients du problème. Ce sont les marins des siècles passés qui avaient mis en évidence les besoins en vitamine C, avant et pendant le 19ème siècle. Tout ceci a été ensuite occulté par un certain Louis PASTEUR. Ce dernier voulait promouvoir absolument sa théorie du MICROBISME — pour contrecarrer le Pr. Antoine BECHAMP et ses travaux sur les MICROZYMAS (voir fin d’article) — et son génie du marketing publicitaire a fait le reste.
Le MICROBISME considère que toute maladie est causée par un micro-organisme (la vilaine « petite bébête »), de même qu’un tas de fumier est évidemment fabriqué par les mouches qui tournent autour !
Un très grand nombre d’individus, nourrissons, enfants, adultes et vieillards sont aujourd’hui victimes de la méconnaissance qui en résulte pour les besoins en vitamine C. Car il faut bien prendre la mesure du problème. Tout d’abord, prendre conscience que la vitamine C n’est pas — contrairement à son “appellation” qui n’est nullement contrôlée — une vitamine. Elle n’en a ni la formule chimique, ni les propriétés très particulières. La vitamine C est un ALIMENT essentiel à la vie et à la santé, à ranger à côté des protéines ou des lipides nobles.
Contrairement aux posologies couramment indiquées sur les boites ou conseillées par les pharmaciens ou les médecins, il faut en prendre de grosses quantités : dix, quinze, vingt grammes par jour ou même plus selon les problèmes que l’on rencontre.
Il n’est pas possible de déceler le moindre effet pervers à QUATRE KILOS par jour (soit l’équivalent de 8000 cp à 500 mg). Contrairement aux bruits que l’on fait courir, la vitamine C n’a aucun effet nocif. En particulier, elle n’énerve pas, bien au contraire. Elle a tendance à apaiser, et il faut même se méfier en cas de prise importante : vous risquez de vous endormir au volant. En cas d’insomnie par contre, la prise de 2 ou 3 grammes au moment du coucher ou d’un éventuel réveil intempestif en cours de nuit peuvent suffire à vous faire dormir, sans le moindre effet néfaste comme les somnifères ou autres tranquillisants.
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