La Russie considère la crise connue sous le nom du COVID-19 comme une guerre biologique et chimique. L’envoi de forces russes spécialisées dans le combat NBCR (Nucléaire, Biologique, Chimique et Radiologique) en Italie sous le commandement d’un général-major indique l’extrême importance que Moscou accorde à ce type de menaces.
Les forces russes stationnées sur la base de Pratica di Mare près de Rome planifient avec l’état-major italien une « marche » de 600 kilomètres qui devrait leur faire atteindre Bergame où se trouve l’un des foyers de contamination COVID-19.
Outre la lutte contre le vecteur biologique (le SRAS-nCov-2), les spécialistes militaires russes ont pour objectif de déterminer si oui ou non d’autres vecteurs chimiques ou biologiques auraient pu aggraver la situation sanitaire au nord de la péninsule italienne. Les russes suspectent l’usage d’un vecteur chimique aggravant sous couvert de pandémie.
La Pologne fait tout son possible pour entraver le couloir établi par les forces aérospatiales russes vers l’Italie. Des avions de combat de l’Otan multiplient les tentatives d’interception des avions cargo russes vers l’Italie.
Le monde a définitivement changé. Cela ce passe en Italie, un pays de l’Otan où se trouve des bases militaires US disposant de dizaines de têtes nucléaires.
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