de nouveau on filtre le moucheron pour faire avaler le chameau
le plaquenil ( c) peut tuer versus les patients malades du coronavirus, guérissent grâce aux soins prodigués
le plaquenil ( c) n’est pas un bonbon et lorsqu’il est associé a l’azythromycine il peut provoquer des trouble du rythme cardiaque voir un arrêt cardiaque
ok parfait c’est documenter et c’est ici ;
https://www.rfcrpv.fr/chloroquine-p…
en usant de phamaco-prudence on peut priver les patient d’hydroxychloroquine
( cette même pharmaco-prudence n’a privé personne de gardasyl , ni de distilbène , soit dit en passant )
sauf que sa prescription associée a un ecg et un dosage du potassium quotidiens permet de traiter les patients dans des unités hospitalières ne nécessitant pas d’équipements lourds sur des durées très raisonnable ( 6 a 10 jours )
pas de quoi bloquer l’ensemble du secteur hospitalier
sauf que c’est aussi oublier que des patients malades de ce coronavirus meurent malgré l’ensemble des soins de hautes technicités qui leurs sont prodigués
sauf que c’est aussi oublier que des patients malades de ce coronavirus meurent, ne pouvant accéder à l’ensemble des soins de hautes technicités qui auraient pu les sauver
sauf que c’est aussi oublier que le ratio bénéfice/risque est sans conteste en faveur du traitement préconisé par le Pr Raoult
sauf que c’est aussi oublier que le ratio efficacité/couts est sans conteste en faveur du traitement préconisé par le Pr Raoult
sauf que c’est aussi oublier que tout traitement présente un risque d’échappement et d’intolérances chez un nombre limité de patients, le refuser pour ce seul fait, revient d’attendre une thériaque, privant ainsi d’une chance réelle de guérison l’ensemble
sauf que c’est aussi oublier que mener des testes cliniques en double aveugles dans une période d’urgence n’est pas en soit une option éthique, sachant qu’aucun traitement n’est a ce jour disponible hormis de prodiguer des soins de hautes technicités dont le but est de palier a des détresses physiologiques
sauf que c’est aussi oublier que la vie n’est pas constituée de certitudes, et que le doute doit pouvoir rester en dehors du champs des actions a mener
Le docteur a le choix entre tenter de sauver un homme, au risque de le tuer, ou bien de le laisser doucement mourir
Dr Ludwig Rehn, a su lui, prendre la décision
lisez bien : http://icardio.ca/fr/articles/histo…
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