En ces temps de Corona, j’écoute souvent le conseil des Monty Python : « Prends la vie du bon côté« . Ce nuage noir est bordé d’un liseré d’argent. Tandis que le virus rôde au dehors, les ados daignent passer plus de temps avec leurs parents ; les épouses sont à la maison et vous mijotent des petits plats au lieu de traîner avec de beaux étrangers dans des cafés classe, nous n’avons pas à planifier des vacances chères sur des îles lointaines, il y a plus de temps pour lire ou pour jouer aux dames avec les gosses. Les habitudes forcément plus modestes (pas de resto, pas de soirée) s’accordent avec le Carême, cette sombre période qui précède Pâques. On peut tenir un bon moment avec ce Carême calme à la maison, style année 1956.
Malgré mon âge, la maladie ne me fait pas peur du tout. On ne meurt qu’une fois, et c’est inévitable. C’est l’interférence des gouvernements à la main lourde, ce qui nous pèse vraiment sur la nuque. C’est le confinement, et non la maladie ce que je redoute. Considérez l’exemple d’Israël, ce projet pilote des Maîtres du discours.
Source: Lire l'article complet de Réseau International