Le commissaire de la FDA, le Dr Stephen Hahn, a annoncé qu’ils étaient sur le point d’examiner les vaccins-à-procédures-accélérées contre le coronavirus en vue de leur approbation avant les élections [américaines – NdT] de novembre.
Selon Arlene Weintraub, qui écrit pour FiercePharma, le vaccin Covid à ARNm de Pfizer sera prêt à être examiné par la FDA en octobre.
Le commissaire de la FDA Stephen Hahn, M.D., sortait tout juste d’une controverse sur l’autorisation d’utiliser d’urgence le plasma des convalescents afin de traiter le Covid-19 lorsqu’il a de nouveau fait des vagues, promettant cette fois sur Twitter que l’agence examinerait les vaccins contre le coronavirus avant l’élection de novembre. Et les dirigeants de Pfizer semblent être en phase avec ce calendrier, puisqu’ils s’efforcent d’achever la phase 3 des essais de leur vaccin.
Le docteur Nicholas Kitchin, directeur principal du groupe de Recherche & Développement sur les vaccins de la société Pfizer, a déclaré mercredi aux Centres pour le contrôle des maladies que le processus de l’essai clinique du vaccin Covid, BNT162b2, développé en partenariat avec BioNTech, est réalisé à plus de 50 pour cent.
Cette nouvelle fait suite à plusieurs commentaires publics du PDG de Pfizer, Albert Bourla, concernant le projet de la société pharmaceutique de faire approuver le vaccin par la FDA en octobre.
M. Hahn s’est exprimé sur Twitter en disant que les évaluateurs de l’agence sont « encouragés par l’augmentation rapide du nombre de candidats » [prêts à jouer les cobayes- NdT] pour les essais cliniques des vaccins Covid-19.
M. Hahn a également indiqué que le comité consultatif sur les vaccins se réunirait le 22 octobre.
Comme nous l’avons déjà signalé sur Health Impact NewsNetwork [réseau qui contient Health Impact News, Medical Kidnap, Vaccine Impact, Coconut Health et Created4Health.org – NdT], les Globalistes s’efforcent depuis des décennies, sans succès, de développer un vaccin à ARNm qui n’a donc jamais été commercialisé.
La bande à Bill Gates, qui comprend notamment Anthony Fauci, Deborah Birx, l’actuel directeur du CDC Robert Redfield et le chef de l’Opération Warp Speed [Opération « vitesse vertigineuse », programme de l’administration Trump pour accélérer la mise au point d’un vaccin – NdT] Moncef Slaoui, ont tous travaillé ensemble pour tenter, sans succès là non plus, de développer un vaccin à ARNm contre le VIH.
La seule raison pour laquelle un tel vaccin non testé et risqué peut être aujourd’hui mis sur le marché repose sur l’autorisation de la FDA d’y recourir dans un contexte urgent de crise sanitaire qui exige qu’une « pandémie » soit en cours pour justifier la « mise en œuvre accélérée » de nouveaux médicaments et vaccins.
Les micro-robots injectables dans le sang ne sont plus une « théorie de la conspiration »
La grande question qui préoccupe de nombreux Américains est de savoir exactement quels seront les ingrédients de ce nouveau vaccin.
L’existence d’ingrédients dangereux dans les vaccins actuellement utilisés est déjà avéré, tout comme l’est la présence d’ADN humain provenant de tissus de fœtus avortés utilisés pour la culture des virus. Voir : Utilisation dans les vaccins de tissu fœtal de bébés de 5-6 mois avortés vivants… pour découper sans anesthésie leur cœur encore battant
Les spéculations quant à ce que ces nouveaux vaccins à ARNm pourraient contenir sont aujourd’hui légion, et en tant que rédacteur en chef de Health Impact News, je reçois chaque jour de nombreux courriels de lecteurs inquiets, et certains contiennent des allégations extravagantes qu’il m’est impossible de vérifier.
Cependant, il existe une technologie dont la mise en place a été annoncée cette semaine, qui ne constitue plus une « théorie », et qui consiste en l’utilisation de micro-robots pouvant être injectés directement dans le flux sanguin, des micro-robots munis de minuscules cellules solaires pouvant être activées par des rayons laser.
Il s’agit d’un prototype éprouvé qui n’est pas encore en circulation, même si le rapport indique qu’ils en ont déjà fabriqué plus d’un million.
Voici un article publié par le Daily Mail :
Les scientifiques ont créé une armée de micro-robots, chacun plus petit que la largeur d’un cheveu humain, qui peuvent être injectés dans le corps pour s’attaquer aux maladies.
Cela ressemble à l’intrigue du film de 1966, Le Voyage fantastique, dans lequel un véhicule était miniaturisé puis injecté à un patient. Les scientifiques à l’intérieur du minuscule véhicule ont ensuite détruit le caillot de sang du patient à l’aide d’un pistolet laser.
Les nouveaux micro-robots du monde réel pourraient surveiller l’influx nerveux dans le cœur ou le cerveau, ou même délivrer des médicaments directement dans les organes, selon les scientifiques de l’université Cornell qui ont créé les machines.
Ces minuscules machines entreront dans le corps par une aiguille hypodermique et se déplaceront dans les tissus et le sang humains à l’aide de quatre actionneurs électrochimiques qui fonctionnent comme des pattes ou des « jambes ».
Ce sont les premiers robots mesurant moins de 0,1016 millimètres dans lesquels de l’électronique embarquée est utilisée pour les diriger.
Les pattes, ou « actionneurs », se plient [et se déplient, puis se replient – NdT] lorsqu’elles sont stimulées par la lumière laser, ce qui provoque un mouvement de marche. Un lot de plus d’un million de ces micro-robots a été produit sur une plaquette de silicone de 10 cm.
Les micro-robots sont alimentés par des cellules solaires et sont fabriqués grâce la technique photovoltaïque — utilisée à plus grande échelle dans les panneaux d’énergie solaire.
Note du traducteur : Plus de visuels depuis l’article du Daily Mail :
Le robot microscopique est vu ci-dessous à côté d’un type de créature minuscule appelée paramécie ou Paramecium, un type d’eucaryote unicellulaire, et la technologie laser a été utilisée par les scientifiques pour faire « marcher » de manière effective le micro-robot à ses côtés :
Kelly Macnamara et Laurence Coustal relatent ce qui suit depuis l’AFP de Paris via news.yahoo.com :
Les scientifiques ont créé une armée de micro-robots à quatre pattes, trop petits pour être vus à l’œil nu, qui marchent lorsqu’ils sont stimulés par un laser et qui pourraient être injectés dans le corps en passant par des aiguilles hypodermiques, comme indiqué mercredi dans une étude.
On considère aujourd’hui que la micro-robotique présente un large éventail d’utilisations potentielles, en particulier en médecine, et des chercheurs américains ont déclaré que les nouveaux robots offrent « la possibilité d’explorer des environnements biologiques ».
L’un des principaux défis dans le développement de ces micro-robots de la taille d’une cellule fut de combiner dans une structure aussi petite les circuits de contrôle et les pièces mobiles.Les micro-robots décrits dans la revue Nature font moins de 0,1 millimètre de large — environ la largeur d’un cheveu humain — et possèdent quatre pattes qui sont alimentées par des cellules solaires embarquées.
En projetant une lumière laser dans ces cellules solaires embarquées, les chercheurs ont pu faire bouger les pattes, ce qui a permis au robot de se déplacer.
Le co-auteur de l’étude, Marc Miskin, de l’université de Pennsylvanie, a déclaré à l’AFP qu’une innovation clé de la recherche était que les pattes — les actionneurs — pouvaient être contrôlées à l’aide de dispositifs électroniques en silicone.
« Cinquante ans de miniaturisation électronique ont conduit à des technologies remarquablement minuscules : vous pouvez construire des capteurs, des ordinateurs, de la mémoire, le tout dans des espaces très réduits », a-t-il déclaré. « Mais, si vous voulez un robot, vous avez besoin d’actionneurs, des pièces mobiles. »
Les robots sont des prototypes qui démontrent la possibilité d’intégrer l’électronique avec les pièces qui aident le dispositif à se déplacer, a déclaré M. Miskin, ajoutant qu’ils s’attendent à ce que la technologie se développe rapidement.
« La prochaine étape consiste à construire des circuits sophistiqués : pouvons-nous construire des robots qui ressentent leur environnement et y réagissent ? Et pourquoi pas de minuscules machines programmables ? Pouvons-nous les rendre capables de fonctionner sans intervention humaine ? »
M. Miskin a également déclaré qu’il envisageait l’utilisation de robots pour des applications biomédicales, ou des applications dans la science des matériaux, comme la réparation de matériaux à l’échelle microscopique.
Les chercheurs ont déclaré qu’ils étaient capables de produire les composants des robots de façon simultanée, ce qui signifie qu’ils pourraient en fabriquer plus d’un million par tranche de silicone de 10 cm.
Les pattes sont faites de platine d’une épaisseur de plusieurs nanomètres qui se plient lorsqu’elles sont stimulées par la lumière laser, créant ainsi le mouvement de marche.
Leur vitesse moyenne a été calculé à environ une longueur de leur taille par minute, selon l’étude, ajoutant que cela était « comparable à la vitesse de déplacement des micro-organismes biologiques ».
Selon l’étude, les robots peuvent survivre à des environnements très acides et à des variations de température de plus de 200 degrés Kelvin (-73 degrés Celsius).
Tout ceci fait partie du programme prévu par le Forum économique mondial pour le « transhumanisme » et leur « 4e révolution industrielle ».
Voir nos articles précédents sur ce sujet :
Des « personnes ciblées » grâce à l’électronique ou aux métaux implantés
Les personnes dites « ciblées » constituent un segment croissant de la société composé d’individus qui estiment être ciblés, harcelés et même torturés par une technologie ciblée. Le déploiement de la technologie 5G est considéré comme la prochaine étape importante pour contrôler les personnes par le biais de technologies nocives.
Les « personnes ciblés » sont généralement considérées par le public comme mentalement dérangées ou hyper-paranoïaques, et la plupart ont du mal à trouver des interlocuteurs capables de les prendre au sérieux.
Note du traducteur : pour plus d’informations sur les « personnes ciblées », voir la deuxième note du traducteur et le témoignage de l’auteur dans cet article : Fraude ou médecine ? Ces concoctions bizarres et profondément dangereuses que l’on appelle encore « vaccins »
Comme on peut l’imaginer, il est généralement très difficile de vérifier leurs affirmations. Beaucoup d’entre eux m’envoient des courriels me suppliant de publier leurs histoires.
Beaucoup d’entre eux se retrouvent sur un site web appelé Citizens Against Harmful Technology [Les citoyens contre les technologies nocives – NdT]
Health Impact News a dans notre article de 2019 couvert l’histoire d’une personne qui en a été victime : « Les nanotechnologies et le nouveau réseau 5G vont-ils devenir le système d’armement le plus puissant que le monde ait jamais vu ? » [en anglais – NdT].
Dans cet article, nous avons rapporté le témoignage de l’ancienne religieuse catholique Sœur Keri Burnor, qui a témoigné dans le cadre des audiences du Tribunal international de Justice naturelle.
Keri Burnor était une religieuse catholique romaine lorsqu’elle a été agressée sexuellement par un prêtre. Elle a porté plainte au pénal contre le prêtre en 2001. Il a été déclaré non coupable.
Elle n’a pas compris pourquoi le procureur a été dans l’incapacité de travailler de manière adéquate pour obtenir une condamnation. Alors qu’elle enquêtait sur la collusion entre le procureur, le juge, l’Église catholique romaine, le Vatican et les membres de l’abbaye de St. Joseph dans le Massachusetts où l’agression sexuelle a eu lieu, elle a ouvert une boîte de Pandore du mal systémique émergeant de l’état profond. L’État profond fait référence à la structure du pouvoir financier qui contrôle les gouvernements du monde entier.
Face à sa défaite au tribunal, Keri Burnor n’a pas reculé et a commencé à prendre position pour aider les personnes qui avaient été maltraitées par le clergé.
Finalement, son travail avec d’autres victimes d’abus sexuels dans l’Église catholique romaine et les informations qu’elle a rassemblées sur les activités de l’ordre des jésuites et leur infiltration dans la structure de commandement de l’armée américaine l’ont amenée à être interviewée dans plusieurs émissions de radio sur Internet.
Elle a documenté ses découvertes sur son site Web et a parlé ouvertement de ce qu’elle savait être la vérité. Elle est alors devenue une « personne ciblée » et à partir de ce moment-là, ses activités ont été surveillées.
Au final, elle aura fait face à plus de dix tentatives de meurtre à l’aide de nanotechnologies, de systèmes de transmission d’énergie à haute fréquence, de substances radioactives, d’armes sonores et de diverses autres armes.
Voici un enregistrement de son témoignage [en anglais – NdT] :
Source de l’article initialement publié en anglais le 5 septembre 2020 : Vaccine Impact
Traduction : Sott.net
Source: Lire l'article complet de Signes des Temps (SOTT)