par Vanessa Beeley et Robin Philpot.
Alors que l’Armée arabe syrienne réussit à libérer la région d’Idlib des forces d’occupation composées de groupes terroristes (Front Al Nosra, notamment) et de troupes turques, dans les grands médias on présente cette libération comme une catastrophe humanitaire. Vanessa Beeley, grande journaliste qui était sur le front à Idlib, rétablit la vérité.
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Cette guerre livrée à la Syrie depuis 2011, rappelle Vanessa Beeley, est une invasion et une occupation menées par des groupes terroristes financés et soutenus notamment par Washington, Londres, Paris mais aussi par la Turquie et Israël. Libérer le territoire syrien n’est ni plus ni moins la seule façon de faire respecter le droit international et de rétablir la paix.
Elle signale la présence sur le territoire syrien de l’Ambassadrice américaine Kelly Croft ainsi que d’autres diplomates américains, tous en train de saluer les groupes de soi-disant rebelles. Il s’agit là d’une violation flagrante du droit international car les autorités syriennes n’ont pas été consultées.
Si, au sujet d’Idlib, les médias sont en train de diffuser le même film qu’il y a quelques années à Alep – tragédie humanitaire causée par « le régime syrien » – la réalité est tout autre. La libération a provoqué de la joie au sein du peuple syrien, où la vie a repris et les routes ont été ouvertes.
Ayant visité Idlib, elle a noté à quel point les fameux « Casques blancs » collaboraient étroitement avec les terroristes. Les bureaux et quartiers généraux étaient souvent dans les mêmes immeubles.
Vanessa Beeley termine l’entrevue en soulignant l’étroite alliance militaire dans les événements actuels entre la Turquie et Israël.
Source: Lire l'article complet de Réseau International