Mauvais axe d’attaque des Identitaires sur le choix présidentiel d’humilier la France aux JO avec Aya qui reprend du Piaf, un enterrement en live de la culture nationale dans le gros multiculti afrocentré.
Aya, chanteuse paralympique
Avec le slogan « Ici c’est Paris, c’est pas Bamako », ils se prennent évidemment des accusations de racisme dans la gueule, et même d’« archéo-racisme ». Or, le problème avec Nakamura, c’est pas la couleur de peau, c’est la soupe mondialiste. Le combat, il faut le porter sur les valeurs, la culture, l’artistique, pas la peau. On dira donc, pour mettre tout le monde d’accord, sauf notre ministre des JO paralympiques, perchée dans son baobab de l’avenue de France, qu’Aya est plus naze que noire.
La chanteuse, soutenue par la bouée de plomb Oudéa-Castéra, a répliqué à ses adversaires dans son style fautif chatoyant :
Le style fautif est un nouveau style où qu’on a droit d’faire des fautes d’ortho. Heureusement, hormis la décadente Macronie, Aya a des soutiens dans les médias mainstream antiracistes macronistes (3 pléonasmes pour le prix d’un). Mais devant le scandale, certains bien-pensants commencent à s’interroger…
Marion monte au front en axant son attaque sur la langue d’Aya. On avait avant le franglais, maintenant on a l’afroançais (c’est notre barbarisme du jour).
En vérité, si Aya était blanche, comme dirait Aurélien Marq (disciple de Causeur) sur X :
« Si Aya Nakamura était Blanche, tout le monde reconnaîtrait volontiers que ses textes sont d’une pauvreté affligeante, et qu’elle se ridiculise à force d’accumuler les fautes dans ses tweets. Mais là, ce constat factuel devient une affaire d’état. C’est le privilège Noir. »
Et voilà une pierre noire de plus dans le jardin des JO de Paris 2024, qui, rappelons-le, débutent dans 135 jours, 135 longues journées pour Oudéa-Castéra, qui n’en loupe pas une.
Voilà une chanteuse !
Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation