Drahi TV voulait faire passer l’aristo Villepin pour un vilain antisémite, c’est raté. La chaîne de désinformation continue a dû faire de plates excuses à ses téléspectateurs, et à Dominique.
Aujourd’hui il en faut peu pour passer dans le camp des nazis, mais ce faisant, les médias mainstream accusateurs sont en train de le renforcer en y envoyant tout le monde, ou presque. On y retrouve, pêle-mêle, de plus en plus de socialistes et de nationalistes. Et si c’était le sionisme qui créait le socialisme version nationale ?
Si Villepin n’a pas parlé de « finance juive internationale », il a bien dénoncé la « domination financière », ce qui est quand même tabou, malgré le mot « juive » en moins. Bientôt, on ne pourra plus dire « finance ». On ne pourra plus parler d’« argent » !
Pourtant, certains juifs eux-mêmes revendiquent l’appellation. Parce qu’à un moment donné, la vanité dépasse la prudence.
Le chaînon manquant entre Villepin et BFM :
« Soyons honnêtes avec nous-mêmes, chers juifs. Nous contrôlons les médias. Nous avons tellement de mecs dans les bureaux de direction (…) que c’en est presque obscène. «
Paru dans the times of en 2012 :https://t.co/GrGDwwlfy9 pic.twitter.com/ABZwnQYNeJ
— mioCco (@mioCco) November 27, 2023
Beaucoup de journalistes redoutent la question de la finance internationale, ils n’en parlent jamais, ça peut rimer avec « fais ton carton, coco ». Même chez les opposants au régime actuel, on reste prudent, on l’a vu chez la Glucksmann avec la sortie pétocharde de Caverivière sur le lobby breton. Il est vrai qu’il avait face à lui deux banquiers, Minc & Attali.
Didier Maïsto a repris l’antienne de l’humoriste, toujours sur le mode ironique, c’est-à-dire dansant d’un pied sur l’autre :
Hier, j’ai appris que messieurs Bouygues, Bolloré, Arnault, Pinault, Pigasse, Saadé, Lagardère, Safa, Baylet, tous propriétaires de médias en France, étaient juifs.
Eh bien croyez le ou non, je ne le savais pas.
— Didier Maïsto (@DidierMaisto) November 28, 2023
Pour rassurer ces messieurs, la précision s’impose : dans la finance internationale, il y a une finance juive et une finance protestante, pour des raisons historico-religieuses. La finance catholique, par définition, est peu représentée en haut lieu.
Depuis la faillite monstre de Lehman Brothers en 2008, lâchée par la Banque centrale américaine et épuisée par son bras de fer avec Goldman Sachs (sans oublier le pillage de JP Morgan Chase, la superbanque qui pèse aujourd’hui le PIB de la France et qui pendant 20 ans a été dirigée par le super escroc Madoff), on ne peut pas dire que la finance juive a gagné, mais elle a marqué des points sur la finance protestante. Au-delà de cette concurrence capitaliste, politiquement, ces banques sont plutôt alliées dans le grand hard power américain.
On n’oublie bien sûr pas les autres grandes banques d’affaires Rothschild et Lazare, qui font fantasmer tout le monde. Donc quand on parle de finance juive internationale, on doit parler des banques d’affaires juives, et pas des protestantes, voilà tout, car les banques juives ne recouvrent pas tout le milieu. Nécessairement, le mot « juives » fait entrer dans une autre catégorie cognitive, mais ça, c’est le problème des journalistes et des politiques pétochards.
Ils ont peur de quoi ?
De la finance juive ? LOL.
Patrick, le financier producteur de dette
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