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Campagne de dons Octobre 2022
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par Panagiotis Grigoriou.
Ce pays grec finissant croit parfois encore en ses rares régates locales. Le spectacle est certes beau, au reste face aux fortifications Mycéniennes pratiquement sur la mer, mais qui ne protègent guère… contre les maux du méta-monde occidental. C’est déjà acquis et même digéré. La vermine des valets aux commandes, installés par l’hyper structure criminelle des satanisés fait tout pour plaire à ses maîtres. Ces gens sont voleurs, violeurs, pédocriminels, escrocs, assassins, et pour terminer, leur film brûlera sa pellicule jusqu’au bout, quand ils se déclarent ennemis jurés des Russes. Miasmes d’Athènes et d’ailleurs.
Pendant que le dernier nouveau remplaçant dans l’équipe des Khazars, Harari, déclare que « nous n’avons pas besoin de tant de tant d’humains sur terre », – le vrai sens de la phrase serait plutôt « nous n’avons pas besoin de tant de goyim », le Titanic occidental sent la putréfaction à tous ses ponts du navire enivré.
En paraphrasant à peine Laurence dans sa récente Chronique de Pereslavl, voilà que « ces serviteurs zélés de Schwab et son Harari transhumaniste, d’Ursula la Hyène, de Soros, de BHL, de Glucksmann, de Biden et Macron, tous les monstres de l’occident collectif, ils servent Baphomet, et dans le partage qui s’opère en ce moment, ils vont avec les boucs, c’est une position périlleuse en ces temps apocalyptiques ».
En Grèce… et en local, Baphomet dans son partage… populaire qui s’opère autant en ce moment, tient également du cas d’un certain Ilías Míchos, petit commerçant du centre de la capitale, le bougre est âgé de 53 ans. Cadre et autant rabatteur de suffrages au sein du parti de Mitsotákis, Míchos, serait aux dires de Patoúlis il n’y a pas si longtemps, « un excellent…patriote, un excellent père de famille, un excellent type au sein parti de la Nouvelle Démocratie ». Rappelons que Patoúlis issu du même parti, est tout de même l’actuel président de la Région d’Athènes et autant président de l’Ordre des médecins vaccinistes au pays réel de la Khazarie d’Athènes.
Puis, la femme de ce Míchos est conseillère municipale de Bakoyánnis, maire d’Athènes et neveu de Mitsotákis, tandis que le fils Míchos est casé en tant que jeune journaliste au sein de la presse du Régime. Enfin, ce… père Míchos est proche de l’Église, de son très haut prélat parmi les pourritures de l’Église orthodoxe grecque officielle, il a ses entrées dans la Police des gradés et enfin, quand il s’adresse publiquement à Patoúlis… il l’appelle alors « frère ».
Sauf que depuis cette semaine, son nom défraie la chronique… et cela pour cause. L’histoire est sordide. L’homme de 53 ans a rencontré une jeune fille de 12 ans par l’intermédiaire de sa mère, et qui travaille dans le magasin de Míchos dans un quartier populaire non loin du centre d’Athènes.
La jeune fille de 12 ans travaillait alors au magasin du « bon père de famille » sous le clan des Mitsotákis, car la famille nombreuse de la fille est confrontée à de graves problèmes financiers.
Míchos a donc… si « naturellement » violé le jeune de 12 ans, puis il enregistré son acte criminel sur vidéo, qu’il a posté sur Internet. De là, il a identifié d’autres hommes qui voulaient violer la mineure contre rémunération. La « clientèle » payait chaque fois généralement 50 à 70 euros… d’après le reportage disponible.
Comme on l’a su, plus de 200 violeurs potentiels se seraient « intéressés » à la jeune fille de 12 ans, alors que d’après le témoignage de la victime, dix hommes semblent l’avoir déjà violé. Les rendez-vous avec les clients potentiels – les violeurs, étaient donnés près de la station de métro de Sepólia, alors que les viols ont eu lieu essentiellement dans leurs voitures.
Témoignage de la victime d’après la presse de la semaine. « D’après ce dont je me souviens, les hommes que j’ai rencontrés étaient environ dix. Les rendez-vous étaient arrangés. Ils m’ont emmené dans des chambres et dans leurs voitures. Je ne sais pas exactement où nous étions », a ainsi témoigné le jeune de 12 ans aux autorités. D’après le reportage, Míchos a menacé et fait chanter l’enfant que si elle parlait des horreurs qu’elle avait subies, sa famille serait privée de vivres tandis que la fille, ainsi que ses frères et sœurs, ils seraient alors tués.
Le « bon père de famille » ans aurait même menacé la mineure avec une arme à feu afin de poursuivre dans son crime. Et en sa possession, la Police a retrouvé et confisqué deux pistolets, 572 cartouches, 21 couteaux, une baïonnette, 2 ordinateurs portables et un disque dur.
Certains observateurs des affaires grecques décidément trop courantes, à l’instar du vieux journaliste Hadjáras, estiment que « parmi les 200… aspirants violeurs du cercle de cet ami de Plevrís ministre de la Santé, de Bakoyánnis maire d’Athènes, et de Patoúlis président de Région, on retrouve sans doute une partie de la clientèle politique ainsi drainée de la sorte vers le parti de Mitsotákis. Ce dernier est comme on sait d’ailleurs le grand ami de deux violeurs de jeunes garçons condamnés… mais sortis de prisons, à savoir le cadre du parti Níkos Georgiádis et l’acteur Dimítris Lignádis ».
Pour Hadjáras, « hors de l’aspect pénal de l’affaire, ce qui est inacceptable c’est de ne pas ôter l’éligibilité de ceux ayant été soutenus par les votes sales que leur offrait le proxénète ».
Avec plusieurs jours de retard, le gouvernement a confirmé « que Míchos est membre du parti, et que désormais ce statut lui est tout simplement suspendu ». Le représentant du gouvernement a qualifié « d’inacceptable toute tentative de communication ou d’exploitation politique, visant des personnalités politiques, qui avaient été photographiées avec lui, ignorant manifestement qui il était et ses actes horribles ». Miasmes… sur tous les ponts du navire pourri.
Pour le reste, mais seulement le reste, le pays grec finissant croit parfois encore à ses rares régates locales. Le spectacle est beau, devant les vieilles fortifications Mycéniennes face à la mer, si besoin sous la pleine lune.
Pendant que la presse mainstream minimise si possible les faits et gestes du… « bon père de famille », en pays alors profond, les écoles et les boutiques ferment… car tout le monde n’a pas eu la chance ni le réseau de Míchos et de sa bande à travers ce pays.
La régate locale n’a duré que deux belles journées par vent modéré, notre ami Yórgos qui lui est un vrai père de famille et un entrepreneur plutôt mourant, a pu terminer, retour ainsi supposé à la normale.
Oui, la normale. C’est-à-dire… la nôtre. Nous avons commandé de manière groupée, nous comme tant d’autres villageois en ce Péloponnèse mythique, notre fromage directement au producteur venu de la montagne d’en face, il viendra nous livrer, et il le vent 30% moins cher que les supermarchés. Il faut préciser que le prix des fromages a augmenté de 50% à 80% en un an en Grèce.
Enfin… nous irons chercher notre poisson là où il se trouve à la manière des chats, c’est également ce que nous suggère notre Volodia bien à nous, en ces temps il faut dire bien apocalyptiques.
source : Greek Crisis
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