La « Lettre à nos gouvernants » publiée en avril dernier et soumise aux militaires à la retraite qui l’ont signée à hauteur de plus de 27000 a fait couler un peu d’encre alors qu’elle ne faisait que poser un constat, celui du délitement de la France d’ailleurs partagé par une large majorité de la population et confirmé par le porte-parole du gouvernement, puis demandait aux pouvoirs exécutif et législatif d’agir pour enrayer cette descente aux enfers.
Huit mois plus tard, quoi de neuf ? Force est de constater que le délitement se poursuit.
On observe même qu’il s’aggrave au travers de la gestion de la mal nommée crise sanitaire qui est plus politique que sanitaire au regard de la dangerosité de l’ennemi qu’est le virus qui ne justifie pas les mesures liberticides excédant les Gaulois pas réfractaires du tout mais au contraire bien dociles.
Si le pronom personnel répété trois fois « Qui ? » a entrainé des réactions incompréhensibles et même disproportionnées avec la suspension de Cassandre par exemple, on peut aujourd’hui se poser de nombreuses questions et un jour il sera demandé « Pourquoi ? ». Le tout-puissant Bill Gates fait déjà l’objet d’une plainte devant la Cour de Justice Internationale et Monsieur Emmanuel Macron Président de la république aujourd’hui immunisé par le passe présidentiel devra rendre des comptes au peuple français en répondant aux questions suivantes :
–Pourquoi il a refusé le contrôle des frontières et interdit aux médecins de ville de soigner leurs patients, en contradiction flagrante avec la planification sanitaire établie en cas de pandémie ?
–Pourquoi certains médicaments peu onéreux qui avaient fait la preuve de leur efficacité contre le virus ont été interdits (hydroxychloroquine, ivermectine, artimisia, zinc…) et même confisqués (en Martinique) y compris aujourd’hui après plus d’un an de pratique notamment dans plusieurs pays (Sénégal, Madagascar, Inde…) alors qu’il avait déclaré que nous étions en guerre ?
–Pourquoi avoir autorisé et même imposé certains produits (comme le Rivotril) c’est-à-dire l’euthanasie à des milliers de personnes âgées décédées par ailleurs dans des conditions inhumaines en n’ayant même pas pu se faire accompagner par leurs plus proches ?
-Pourquoi ces « Conseils de défense sanitaires » à répétition et dans le secret le plus total alors que ce qui concerne notre santé devrait au contraire être traité dans la plus grande transparence ?
–Pourquoi cette obsession de « vacciner » ou plutôt de forcer la population à se faire injecter un produit à la composition inconnue, à l’efficacité très relative et aux effets indésirables de plus en plus nombreux et qu’on nous cache, en tout cas pour l’instant et pour ceux du court terme ?
–Pourquoi vouloir faire vacciner en période de pandémie alors que c’est normalement interdit ?
–Pourquoi ces innombrables mensonges par des chiffres non faux mais falsifiés et confirmés par de non moins nombreuses mesures dont la contradiction le dispute à l’inefficacité ?
–Pourquoi cet acharnement et cet ostracisme envers des personnes qui refusent cette injection thérapie-génique entrainant une division profonde parmi les Français ?
–Pourquoi cette coercition envers un peuple privé de nombreuses libertés fondamentales au motif d’un virus qui en 2020 avait la dangerosité d’une « grippette » et en 2021 d’un rhume ?
–Pourquoi avoir imposé par une médiatisation outrancière la peur à une population qui apprend qu’en 2020 seuls 2% des patients en réanimation l’étaient à cause du Covid ?
Au risque de lasser le lecteur, cet inventaire bien incomplet devrait permettre à de nombreux Français d’ouvrir enfin les yeux au regard des abus de pouvoir dont ils sont l’objet.
Il y en a un qui est d’autant plus insupportable qu’il s’exerce vis-à-vis des militaires sommés de se soumettre, aux noms de la discipline et de l’obéissance, paravents pour l’occasion d’une servilité coupable de la part de la hiérarchie à tous les niveaux. Car la responsabilité personnelle de chaque décideur sera un jour engagée en particulier parce que l’illégalité d’un ordre ne requiert nullement son exécution mais au contraire permet de s’en dispenser.
Il n’est bien sur pas question d’appeler quelque militaire que ce soit à l’indiscipline ou pire à la rébellion. Mais si les militaires sont des citoyens ayant des sujétions particulières, ils ont aussi des droits dont celui à l’information d’autant qu’un soldat ne peut ni mentir ni se mentir, surtout s’il est un chef, au motif que c’est sa vie et surtout celle de ses subordonnés qui peut être engagée.
Les militaires sont aussi des électeurs qui se doivent de se déterminer selon un consentement et aussi une opinion éclairée. Ils sont donc fondés à se montrer en ce domaine des résistants curieux d’options diversifiées.
De nombreux moyens sont à leur disposition pour se déterminer. Ils les trouveront en particulier auprès de véritables résistants qui eux peuvent se déclarer publiquement comme certains maires courageux, acteurs en responsabilités mais de plus en plus contraints dans l’exercice de leurs fonctions.
Le Collectif des Maires Résistants récemment fondé peut constituer une structure tout-à-fait adaptée pour accueillir, à titre privé bien sûr, les militaires de tous grades qui souhaiteraient s’affranchir de la pensée dominante et oppressive au vu de prochaines échéances électorales. Il est possible de les contacter sur leur site :
(Cliquez sur l’image ci-dessous pour accéder au lien)
Général (2S) André Coustou
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