Depuis l’annonce par les scientifiques sud-africains de la propagation d’un nouveau variant du covid-19, nommé Omicron et par l’OMS qu’elle définit de « préoccupant », la planète entière se barricade et instaure des restrictions supplémentaires.
La panique généralisée entraîne dans son sillage un chaos économique. Ce vendredi, les bourses mondiales ont dévissé (4,5% à Paris), et le Brent plongé de 10%.
La folie Omicron a également envahi les médias prêts à tout pour dégainer leurs meilleurs virologues qui ignorent tout de cette souche et qui pourtant semblent tout connaître, apeurant les Français sur du vent.
Mais revenons à la réalité, que sait-on au juste sur ce variant en provenance d’Afrique australe ? Et devons-nous en avoir peur ?
Des graphiques racoleurs qui font froid dans le dos
B.1.1.529 nouveau(costaud) variant en approche depuis Afrique du Sud & Botswana
(¹) 32 mutations mélangées
(²) R=10 beaucoup + contagieux(³) Situation France
-virus touchant toutes classes d’âge
-se répand très vite
(car(+incognito(car(+d’asymptomatiques(car(+vaccinés… https://t.co/4RdcPkWrQv pic.twitter.com/SDI4xNzHnm— ᴬˡᵉˣ 【ᆞᆞ!⃝ !⃝】 (@_ecrit) November 26, 2021
32 mutations, plus de virulence, aucun vaccin, ok… mais est-il plus mortel ? Procure-t-il plus de formes graves ? C’est un peu tout ce que tout le monde souhaite savoir.
Dans le flot d’informations toutes préoccupantes, nul ne cherche à voir le bon côté : la vie d’un virus.
En effet, si un virus est en mutation constante, si sa diffusion accélère, c’est tout bonnement car celui-ci perd en virulence, sa contagiosité est comme un baromètre, plus elle est grande, moins le variant présente de danger.
Qu’en est-il d’Omicron ?
Regardons les chiffres que personne ne montre
Par ailleurs, l’Afrique du Sud elle-même ne préconise aucune recommandations spéciales à cause de sa présence sur son territoire, ce qui est étrange si l’on regarde l’état de panique globalisé.
Les chercheurs sur place eux-mêmes évoquent des symptômes grippaux ordinaires, une « maladie bénigne », en tous cas, nul n’évoque une calamité sanitaire.
Plutôt que s’exciter et tout boucler, ne vaut-il pas, au contraire, le laisser se diffuser et chasser le variant Delta, plus létal ?
Un vaccin, un de plus
50 mutations dont 32 sur la protéine spike, dit comme ça, Omicron peut être un cauchemar pour certains et une bénédiction pour les laboratoires.
Moderna comme Pfizer ont d’ores et déjà annoncé travailler sur une formule améliorée, ce, dans un délai de 100 jours, une précipitation qui devrait davantage inquiéter qu’Omicron lui-même.
En réalité, au regard des données disponibles, un nouveau vaccin n’est pour le moment absolument pas nécessaire que pour les labos.
Pour quelles véritables raisons un nonpareil affolement
La détection d’Omicron et la frousse interplanétaire qu’elle provoque et qui ne s’explique pas doit nous alerter.
Les Etats ont-ils des intérêts à créer la zizanie à l’intérieur des cerveaux ? Bien évidemment ; car le travail en cours et qu’ils ont entrepris ensemble sous le prétexte pandémique n’est pas clos, le crédit social (un peu à la chinoise) pas encore activé. Car le sujet est bien ici : le contrôle de nos libertés à l’ère du numérique.
Instaurer une société basée sur la peur de l’autre et le repli sur soi, la restrictions des libertés, prépare les individus à ce contrôle total par son acceptation. Avec l’aide de cette pandémie, le monde entame la restructuration de la condition humaine et le basculement vers le XXIIe siècle.
Source : Lire l'article complet par Réseau International
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