Le natio, celui du maquis qui sent le parfum qui lui rappelle qu’il est chez lui, attend d’être séquestré par ce genre d’individu, ces indigènes descendants d’allogènes jetant l’anathème sur les locaux, parce qu’il a toujours une cave pour les héberger jusqu’à leur prêter un Bic s’ils souhaitaient écrire eux-mêmes le journal de l’Histoire et qu’il n’a qu’un adage qui se prête à l’hospitalité : « Fais comme chez toi sans oublier que tu es chez moi. »
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