On trouve des pépites, quand on cherche bien, ou que le hasard (appelé Dieu par les croyants) les met sous nos pas, sur Twitter. La censure massive qui s’est abattue depuis l’opération mondialiste baptisée covid n’a pas pu tout nettoyer, pour reprendre le mot de Bruno Patino, l’apparatchik rebelle placé par les forces occultes à la tête d’Arte.
Nous savons sur E&R que covid est le nom d’une opération de changement de régime(s), pour passer de la démocratie à la dictature, celle du Big Tech, du Big Pharma, des Lobbies, de la Banque (qui engraisse sur la dette), avec le consentement des gouvernements corrompus. Une dictature qui était déjà en germe mais qui ne pouvait pas se dire officiellement. Aujourd’hui, elle se révèle sans complexe.
Nous savons aussi que la « pandémie de covid » n’est qu’un masque augmenté médiatiquement (et en laboratoire) sur les grippes saisonnières, qu’elles soient de métropole ou d’Outre-mer, pour ce qui nous concerne, nous Français.
Nous savons aussi que beaucoup de personnes mortes estampillées du virus ont été ajoutées à la colonne covid pour les besoins de la cause oligarchique, afin de mettre la pression sur les vivants et amener le troupeau dans l’enclos prévu – depuis longtemps – à cet effet.
Maintenant, découvrons ensemble cette nouvelle pépite, qui donne un écho certain à la situation actuelle. En matière de journalisme, la vérité se situe souvent dans le passé. Voici le thread (la déclinaison de messages courts) en question.
« Est-ce que vous connaissez le scandale traversé par Sanofi Pasteur avec son vaccin contre la dengue appelé Dengvaxia ? Franchement, ça mérite qu’on y jette un œil. Très riche en enseignements…
Après 20 ans de recherche et beaucoup de millions investis, Sanofi publie en 2015 un article dans le prestigieux New England Journal of Medicine : une étude sur 30 000 enfant démontre l’efficacité d’un nouveau vaccin contre la dengue.
C’est une excellente nouvelle car la dengue est transmise par les moustiques, son taux de létalité est de 2,5 %, jusqu’à 20 % pour la dengue hémorragique. Une campagne de vax aux Philippines permettrait de sauver des milliers de vies et prévenir 10 000 hospitalisations sur 5 ans.
À l’époque, le Dr Scott Halstead de Washington, spécialiste de la dengue depuis des décennies, décortique l’étude de Sanofi… et manque de tomber de sa chaise. Il décèle une dangerosité du vaccin : « the plasma leakage syndrome » = des hémorragies internes.
Il alerte 6 journaux scientifiques, et adresse même une vidéo au gouvernement philippin. Il lance une alerte… qui ne sera pas entendue.
En juillet 2016, l’OMS donne son accord pour les enfants de 9 à 16 ans, la campagne qui avait déjà commencé, se poursuit.
Sauf que… en novembre 2017, soit 16 mois après l’avis favorable de l’OMS, Sanofi publie de nouveaux résultats : WARNING CATASTROPHE les doutes sont confirmés. Pas de risque pour ceux qui ont déjà eu la dengue, mais risque hémorragique pour ceux qui ne l’ont jamais eue. »
Naturellement, nous avons vérifié cette histoire, et parce que nous sommes bien lus dans les territoires hors métropole, nous avons retrouvé le Dengvaxia, toujours présent, sur mesvaccins.net. Dès l’intro, l’avertissement est clair :
Ce vaccin n’est pas recommandé pour les voyageurs d’une zone non endémique vers une zone endémique. Il n’est pas recommandé pour les résidents de La Réunion et de Mayotte. Pour les personnes qui vivent en Guadeloupe, en Martinique ou en Guyane, la vaccination n’est pas recommandée mais peut toutefois être proposée à celles apportant une preuve documentée d’une infection confirmée virologiquement.
Nous nous sommes arrêtés au chapitre des « contre-indications » :
Hypersensibilité à la substance active, à l’un des excipients mentionnés à la rubrique « Composition » ou survenue après une administration antérieure de Dengvaxia ou d’un vaccin contenant les mêmes composants.
Sujets présentant un déficit de l’immunité cellulaire congénital ou acquis, y compris les sujets ayant reçu des traitements immunosuppresseurs tels qu’une chimiothérapie ou une corticothérapie par voie générale à fortes doses (par exemple 20 mg ou 2 mg/kg de prednisone pendant au moins 2 semaines) au cours des 4 semaines précédant la vaccination.
Sujets présentant une infection par le VIH symptomatique, ou asymptomatique accompagnée de signes d’altération de la fonction immunitaire.
Femmes enceintes (voir rubrique « Grossesse »).
Femmes qui allaitent (voir rubrique « Allaitement »).
Mais après les contre-indications, il y a les « mises en garde et précautions d’emplois »…
Les sujets sans antécédent d’infection par le virus de la dengue ou pour lesquels cette information n’est pas connue ne doivent pas être vaccinés car un risque accru d’hospitalisation pour dengue et de dengue cliniquement sévère (principalement dengue hémorragique de grade 1 ou 2) a été observé chez ces sujets au cours du suivi à long terme des études cliniques (voir rubrique « Effets indésirables »).
En l’absence de documentation d’une infection antérieure par le virus de la dengue, un antécédent d’infection doit être confirmé par le bais d’analyses sérologiques avant la vaccination. Pour éviter la vaccination de sujets faux positifs, seules les méthodes d’analyses avec une performance adéquate en terme de spécificité et de réactivité croisée selon l’épidémiologie locale de la maladie doivent être utilisées.
La revue trimestrielle XXI a publié un gros sujet sur cette histoire, sujet repris par France Culture.
En 2016, le site topsante.com publiait :
En 2017, Top Santé commence à douter :
En 2019, il n’y a plus de doute :
Ceci explique peut-être pourquoi Sanofi ne s’est pas vraiment lancé dans la course aux vaccins contre le « covid » (même s’il vient d’annoncer en préparer un pour la fin d’année)…
Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation