Viktor Orbán, Premier ministre de Hongrie.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo :
Récemment, lors d’une rencontre sportive et amicale de soccer entre l’Irlande et la Hongrie chez cette dernière, l’équipe irlandaise a décidé avant le début de la partie de mettre le genou en terre, produisant là le geste nouvellement usuel de soutien au mouvement dit « antiraciste » Black Lives Matter (mouvement qui a attaqué des monuments et des églises catholiques en 2020…). Ce geste de propagande fut de trop pour le public hongrois qui se mit à huer et à siffler les génuflecteurs. Le Premier ministre hongrois, Viktor Orbán, a pris la défense des supporters hongrois en soulignant le fait que le geste symbolique en question ne faisait décidément ni partie de la culture hongroise ni du soccer et que, somme toute, cette affaire étrangère ne concernait pas la Hongrie, selon Catholic Arena :
Si vous êtes un invité dans un pays, comprenez sa culture et ne le provoquez pas.
Ne provoquez pas l’hôte… De notre point de vue culturel, ce système de gestes nous paraît inintelligible, provocateur.
Les supporters ont réagi de la façon dont ceux qui sont provoqués réagissent habituellement à la provocation. Ils ne choisissent pas toujours la forme la plus élégante (de réaction), mais nous devons comprendre leurs raisons… Je suis d’accord avec les supporters.
Cette histoire de se mettre à genoux. Je pense que cela n’a pas sa place sur le terrain. Le sport, c’est autre chose.
C’est un fardeau moral difficile et sérieux, mais chaque nation doit porter ce fardeau d’elle-même. Elles doivent régler cela elles-mêmes.
Planter le genou en terre avant les rencontres sportives nous est étranger. Les Hongrois ne ploient le genou que devant Dieu, leur patrie et lorsqu’ils demandent la main de leur dulcinée. Nous attendons de ceux qui portent l’uniforme national qu’ils se battent et, si nécessaire, qu’ils meurent debout.
Ployer le genou avant un match sportif nous est étranger.
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