Euthanasie, suicide assisté : vers l’extermination des inutiles

Décidément, les nazis ne sont pas là où l’on croit, où les tenants du Système nous disent qu’ils sont. Les nazis sont là, au pouvoir, mais déguisés en démocrates, en amis de l’humanité, en pourfendeurs du mal. En général, ce sont eux qui désignent les faux nazis.

Leur dernière lubie, après le vaccin qui tue, l’inflation qui rend pauvre et le changement de sexe qui rend fou, c’est l’élimination des déprimés, des trop vieux, des trop chers pour la société. Exactement ce que prédisait le mage Jacquadit.

« Mais dès qu’on dépasse 60/65 ans, l’homme vit plus longtemps qu’il ne produit et il coûte alors cher à la société. (…) En effet du point de vue de la société, il est bien préférable que la machine humaine s’arrête brutalement plutôt qu’elle ne se détériore progressivement. » (Jacquadit, 1981)

Comme par hasard, dès qu’un truc est lancé du pouvoir d’en haut, ça retombe sur les gens avec le relais complaisant des médias et des people. Par exemple, le dernier Pedo Almodovar, le réal espingouino-LGBT, c’est un film sur le suicide assisté.

D’ailleurs, l’actrice fétiche de Pedo, Kika, s’est suicidée en 2021. Dans la vraie vie, on voit arriver sur nos écrans de plus en plus de promo pour le départ avancé. Ici, on a Odette, qui part dans la joie. Faut dire qu’elle a une maladie grave et irréversible. On dirait qu’elle en fait un peu trop dans le genre je ris de la mort, mais on peut comprendre.

C’est mieux de mourir de vieillesse au milieu des seins, pardon, des siens, ou pendant son sommeil à la maison, plutôt qu’à l’hosto ou à l’Ehpad. On a vu un docu mais on le retrouve plus sur une animatrice, assez marrante, dans un Ehpad prototype farci de nonagénaires. Chaque matin elle tentait de relancer un peu le goût de la vie, avec une revue de presse, des mots croisés, des devinettes (pour la mémoire), mais tout le monde faisait la gueule, et il manquait toujours un pélot qui avait clamsé pendant la nuit. Beaucoup étaient désabusés, on ne peut pas les prendre pour des cons non plus, ils disent qu’ils s’ennuient, qu’ils attendent la mort. Mais de là à ce qu’on arrête brutalement la machine humaine…

Cela n’arrête pas les néonazis du Système qui enfoncent le clou : « L’euthanasie permettrait d’économiser 1,4 milliard d’euros par an » affirme le Dr Pascale Favre, auteur d’une note de la Fondapol, un think tank néolib décomplexé.

Ce calcul savant a été fait sur la base du coût des derniers mois de vie, qui grèvent le plus les comptes publics. En gros, enfoiré d’inactif, plus tu meurs tôt, moins tu coûtes aux actifs. Si ça se trouve, la culpabilité de vivre aux crochets des autres va accélérer leur dégradation physique et mentale.

Quand les humanistes de la Fondapol seront vieux, on verra s’ils sont aussi pressés qu’on les élimine d’un shoot de Nembutal. Attali, qui posait en 81 la question des plus de 70 ans, en a aujourd’hui 81. Qu’est-ce qu’il attend ? Ah, il se trouve peut-être encore utile. D’accord, mais à quoi ? À qui ?

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Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation