L’immigration massive mal balisée
C’est ce qui se produira si on ne fait rien pour l’empêcher
Et si le Québec devenait tout d’un coup un pays majoritairement hindou, est-ce qu’on se sentirait encore chez nous ? Est-ce qu’on le serait ? Non !
Et si le Québec devenait tout d’un coup un pays majoritairement arabe, est-ce qu’on se sentirait encore chez nous ? Est-ce qu’on le serait ? Non !
Et si le Québec devenait tout d’un coup un pays majoritairement africain, est-ce qu’on se sentirait encore chez nous ? Est-ce qu’on le serait ? Non !
Pourtant, c’est un changement qu’on est en train de laisser se produire, sans que personne ne semble s’en rendre compte, sans que personne ne semble en percevoir les signes avant-coureurs devenus pourtant si évidents à détecter pour qui sait observer le moindrement.
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Car nous assistons à une immigration de remplacement accéléré de la nation fondatrice du pays, par des ethnies éloignées qui n’ont à peu de choses près rien en commun avec ce que nous représentons ou défendons. C’est un accroissement migratoire défigureur, dénatureur, qui remplace par autre chose, par des masses de non-Nous, et de non-nés ici. Le tiers-monde envahisseur fait reculer, nivèle tout vers le bas.
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Ce chambardement décivilisateur pourrait même s’effectuer dans le bref espace d’une génération ou deux au rythme où vont les choses avec les arrivées massives de centaines de milliers de trop différents et d’inintégrables.
La diversité déferlante de nature tiers-mondiste est un outil de destruction des nations et des peuples, un facteur de recul sociétal et humain.
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Posons à nouveau la question : et si le Québec devenait tout à coup un pays majoritairement hindou, arabe, africain, asiatique, latino, est-ce que ce serait encore le Québec qui nous est cher et familier ? Non !
Est-ce que ce serait encore le pays des Québécois qui l’ont bâti ? Non ! On ne serait plus chez nous, mais chez eux.
C’en serait fini de nos valeurs, de nos us et coutumes, de notre langue maternelle, de notre culture, de notre personnalité collective, de tous ce que nous représentons, de tout ce que nous voulons léguer aux générations futures.
Ne laissons pas une telle catastrophe sociale et déshumanisante se produire sans y opposer de résistance. Défendons ce que nous avons toujours été et qui mérite de perdurer dans le temps.
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Photo ci-dessus : imaginez un instant que vous soyez le seul et dernier Québécois de souche parmi cette foule hétéroclite dans un stade de Montréal
Pour préserver notre irremplaçable identité collective, bloquons toute immigration non-occidentale qui détériore, défait, découd, détricote un peuple tissé serré et qui doit le rester pour survivre.
Pour que le Québec reste québécois, dans le respect de l’identité collective de son peuple fondateur.
Pour notre bonne continuation.
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