Le 27 novembre 2024 marque un tournant historique dans le conflit arabo-sioniste, avec l’acceptation d’un cessez-le-feu par l’entité sioniste, après plusieurs mois de violence et de souffrances. Ce moment souligne l’échec des politiques agressives de l’occupant et la résilience de la Résistance libanaise, qui a su repousser l’ennemi et affirmer sa victoire. Alors que les crimes de guerre continuent de hanter Gaza et le Liban, la communauté internationale ne peut plus fermer les yeux. Le poème « L’Aube de la Liberté » témoigne de cette victoire symbolique, célébrant la dignité et l’espoir retrouvés, dans une lutte qui ne s’arrête pas à la trêve, mais qui ouvre la voie à la liberté et à la réconciliation.
Aujourd’hui, le 27 novembre 2024, marque une date cruciale dans l’histoire du conflit arabo-sioniste. Après des mois de tensions et d’affrontements, l’entité sioniste a été contrainte d’accepter un cessez-le-feu, reconnaissant ainsi son incapacité à atteindre ses objectifs stratégiques. Cet événement témoigne de l’échec cuisant de ses politiques agressives et de la résilience des forces de la Résistance.
La Résistance libanaise, par sa détermination et son courage, a non seulement repoussé les assauts, mais a également infligé une défaite symbolique à Netanyahou et à ses alliés. Ces derniers se retrouvent désormais confrontés à une pression internationale accrue pour répondre de leurs actes, notamment les accusations de crimes de guerre et de génocide commis à Gaza et au Liban. La communauté internationale ne peut plus détourner le regard face à ces tragédies humaines.
Cette journée marque un tournant décisif dans le conflit, laissant entrevoir un possible rééquilibrage des forces en présence. Elle symbolise également l’espoir d’une résistance unie et déterminée face à l’oppression, et ouvre la voie à de nouvelles dynamiques politiques et stratégiques dans la région. Plus que jamais, cette victoire rappelle que la lutte pour la justice et la dignité reste au cœur des aspirations des peuples opprimés.
Mustapha STAMBOULI, 27/11/2024
Afin de mieux appréhender la douleur et l’espoir du peuple libanais et sa résistance, voici un poème qui illustre la victoire de la résistance contre l’oppression et la quête de liberté, symbolisant l’espoir et la dignité des peuples opprimés face à l’adversité.
L’Aube de la Liberté
Aujourd’hui, la terre tremble sous les pas des opprimés,
Le 27 novembre, un souffle nouveau, un vent de liberté.
Les armes se taisent, mais le cœur des peuples crie,
Témoignant d’une lutte où l’honneur ne se dément jamais.
La Résistance, dans l’ombre, a forgé sa victoire,
Contre vents et marées, elle a brisé la victoire du mensonge.
Les pierres volent, mais la vérité frappe plus fort,
Et Netanyahou, tremblant, voit son empire se dérober.
Dans les rues de Gaza, dans les montagnes du Liban,
Les enfants chantent la liberté retrouvée.
Les mères, au visage marqué par la souffrance,
Ont vu leurs fils se dresser pour la dignité.
Les yeux du monde, désormais, ne peuvent plus fuir,
La lueur de la justice éclaire les ruines.
Les crimes du passé hantent chaque conscience,
Et la communauté internationale doit enfin répondre.
Aujourd’hui, la résistance s’élève comme un phare,
Un symbole d’espoir pour chaque âme brisée.
L’entité sioniste, incapable de conquérir l’indépendance,
Apprend que l’âme humaine ne se soumet pas à l’agonie.
Ce cessez-le-feu, bien plus qu’une simple trêve,
Est le chant d’une victoire, le cri du renouveau.
La renaissance de l’espoir surgit des vestiges d’un monde dévasté,
Tandis que l’histoire impitoyable enregistre la chute des oppresseurs
Les femmes et les hommes de la Résistance, fiers et dignes,
Portent l’étendard de la justice, non de la vengeance.
Ils ont forgé ce jour, ils ont forgé l’avenir,
Dans la lumière de la vérité, ils resteront inaltérés.
Cette journée, marquée par la fin d’un cycle,
Ouvre la voie à de nouvelles luttes, à de nouveaux espoirs.
Que ce cessez-le-feu ne soit qu’un prélude à la liberté,
Et que le monde, enfin, reconnaisse la force des opprimés.
Car la paix ne naît pas d’un silence imposé,
Mais de la réconciliation des âmes avec leur dignité.
Aujourd’hui, l’histoire est écrite, et les peuples résistent,
Leur lumière, inextinguible, éclaire l’aube du jour nouveau.
Mustapha STAMBOULI
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Source: Lire l'article complet de Le Grand Soir