On observe néanmoins une certaine redondance / cristallisation / stagnation qui fait que le pays tourne en rond :
mouvements citoyens en campagne (Soulèvements de la terre, agriculteurs en colère…) ; rassemblements gauchos ou en soutien à tel pays (Liban etc) Place de la République ; marches funestes en hommage aux victimes d’attentats ou de chances-pour-la-France (récupérations politiques parfois) ; mobilisations dans les DOM-TOM contre l’État colonisateur démissionnaire ; jeu des chaises tournantes d’élus grillés et sur-grillés faisant revenir toujours les mêmes têtes – Barnier, Sarkozy… bientôt Hollande, Ségolène Royal ?!
L’ensemble de ces mécontentements signent l’espoir d’un saut qualitatif avec l’amorce d’un désir collectif d’en découdre – sans parler de ceux qu’on n’entend pas mais qui n’en pensent pas moins, comme les baby-boomers dégoûtés ou déprimés de la situation actuelle comparée à leur vie douce sous les Trente Glorieuses et ensuite.
Quant aux jeunes de 20 ans, ils comatent sur leurs portables dans le virtuel, leur objectif sont les prochaines vacances, ou ne cherchant pas à en comprendre davantage se barrent du pays quand ils veulent une famille.
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