Anecdote réelle
Astuces d’un faux demandeur d’asile escroqueur et sans scrupule
La ville de Québec avait été jusqu’ici épargnée par la surimmigration tiers-mondiste, qui se concentrait à Montréal avec les résultats décivilisateurs que l’on connaît, mais cette année le gouvernement a entrepris la multi-ethnicisation à outrance de la capitale nationale, si bien que la population d’origine commencent à en sentir les effets indésirables.
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Anecdote réelle vécue par moi-même
L’autre jour dans un centre sportif municipal de Québec, s’est présenté un étranger africain sénégalais oisif (un proche parent de Boucar?), qui s’est assis devant un étranger mexicain avec qui il s’est mis à échanger, cellulaire de luxe à la main, et à qui il s’est mis à raconter sa vie de profiteur pris en charge par l’état québécois et son généreux filet social.
L’Africain bien habillé et parfumé avouait candidement à l’autre être dépendant de l’aide sociale depuis son arrivée, qu’il avait suffi pour entrer au pays de se faire passer pour un demandeur d’asile, que son stratagème était passé comme dans du beurre, et que son agent d’immigration fédéral coopérait dans le dossier. Bref, l’arnaque bien huilée parfaite qui marche à tout coup.
Côté logement, il avait réussi à prendre la place d’un Québécois dans une coopérative d’habitation à loyer abordable, en cette période de crise du logement attribuable aux immigrants comme lui, comme l’affirme catégoriquement le gouvernement québécois. Encore un autre étranger sans statut qui prive l’un des nôtres du logis qui devrait lui revenir de droit. Et il y en a qui voudraient qu’on applaudisse.
Cet étranger sénégalais prétendait effectuer des démarches pour trouver un emploi, énumérant divers endroits où il avait postulé, mais passait ce lundi après-midi à flâner dans ce centre sportif à bavarder sans fin (en tant que nouveau retraité, j’ai bien mérité de venir m’y entraîner, ayant fait ma part pour la société).
À l’entendre, il est clair qu’il n’éprouvait aucun remord à vivre à nos crochets, un peu comme s’il considérait que tout cela lui était dû. Vous comprenez que je rongeais mon frein devant autant d’inconscience et d’absence du moindre scrupule, en tant qu’honnête citoyen qui a travaillé toute sa vie et payé ses impôts, indigné à l’idée que c’est moi qui lui paie ses gros chèques de BS et sa vie oisive qui semble lui convenir tout à fait. Non seulement cela, mais il refilait au Mexicain tous ses tuyaux pour soutirer le plus d’avantages possibles au gouvernement et aux divers organismes d’aide, lui fournissant les noms et les adresses courriel.
Le comble, c’est que cet étranger sénégalais sans statut déplorait avec dépit que si jamais il se mettait à travailler, on lui couperait ses chèques d’aide sociale à l’année, « parce qu’on ne pouvait pas recevoir les deux en même temps », laissant entendre que ce ne serait pas à son avantage de changer quoi que ce soit à sa situation actuelle si avantageuse. Il préfère qu’on continue à lui donner chaque mois et sans rien exiger en retour la somme qu’il gagnait en un an de travail dans son pays.
L’Africain ajoutait qu’il s’arrangeait aussi pour envoyer de l’argent à sa famille « dans le besoin » au Sénégal. Imaginez un peu, nos prestations d’aide sociale conçues pour venir en aide à nos démunis se retrouvent dans les pays sous-développés du tiers-monde. C’est du détournement de fonds pur et simple. Quelle aberration, quel scandale!
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Le coût annuel de gestion par le gouvernement de ces centaines de milliers de cas plus que douteux dépasse le demi-milliard de dollars de votre argent et du mien, nous appauvrissant tous et nous privant d’autres services conçus pour nous par manque de ressources déviées vers eux. Le Canada doit se retirer de l’entente-passoire sur les demandeurs d’asile, et faire en sorte que tous ces arnaqueurs-profiteurs soient renvoyés chez eux.
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Plus on laissera la situation de l’immigration tiers-mondiste mal balisée empirer, plus tout un chacun aura son histoire d’horreur à raconter. C’était la mienne.
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