Les députés au Parlement canadien, comme des lemmings qui se sont jetés dans le gouffre, cherchent désespérément un bouc émissaire pour se disculper d’avoir ovationné Yaroslav Hunka, ancien combattant nazi de la 14e Division Galicie du Waffen SS. Leur bouc émissaire, le président de la Chambre des communes. Mais ils ne peuvent se disculper si facilement.
Ils ont de la misère à reconnaître qu’aucun n’a refusé d’applaudir, aucun n’est resté assis, aucun n’est sorti de la Chambre des communes. Alors qu’on a tous vu des photos d’assemblées nazies où il y avait une ou deux personnes qui n’applaudissaient pas, qui ne faisaient pas le Heil Hitler, au Parlement canadien il n’y en a eu aucun!
Pourtant, on n’avait qu’à écouter le début de l’éloge du président de la Chambre pour refuser dee lever, d’applaudir et de crier SLAVA UKRAINI. Yaroslav Hunka, disait le président, « s’est battu pour l’indépendance de l’Ukraine contre les russes dans la Seconde guerre mondiale. »
Donc, il s’est battu contre nous. Contre des troupes canadiennes et québécoises.
Petit rappel: un million de jeunes canadiens sont allés se battre en Europe contre les Nazis, dont le père de l’animateur. Cent mille sont soit morts au combat, soit gravement blessés.
Quelque 150 prisonniers canadiens pris lors du débarquement de Normandie ont été torturés et tués par la Division 12 du Waffen SS.
Et voici que parlement qui les y a envoyé pour se battre contre les Nazis et pour la liberté ovationnent un collègue du Waffen SS, le régiment hitlérien le plus meurtrier.
Heinrich Himmler, qui a formé la division ukrainienne du SS, lui a rendu visite en Ukraine (le Héros du parlement canadien y était-il?) et a dit que les Ukrainiens avaient la chance d’être débarrassés de Juifs et que si lui, Himmler, leur donnait l’ordre de tuer tous les Polonais, ils le feraient avec joie.
Ce qu’ils l’ont fait. Ce qui explique la demande d’excuses que la la Pologne a envoyée au Canada.
Ceci n’est que la pointe de l’iceberg.
Tous les députés ont scandé le slogan SLAVA UKRAINI. Les médias n’en parlent pas. Or il est de notoriété publique que ce slogan est celui des alliés ukrainiens de l’Armée nazie. Le slogan est inspiré du Heil Hitler. Les deux étaient affichés côte à côte à mesure que l’armée allemande avançait vers l’est en juin 1941. Et les émules de Stepan Bandera le scandaient.
Il y plus: tout le monde connaît l’histoire du grand-papa de Chrystia Freeland, Michael Chomiak, qu’elle a salué en 2017 en disant qu’elle pensait à ses grand-parents qui se battaient pour la liberté, mais personne n’en parle. Elle ne l’a jamais désavoué.
Aussi, Grandpapa Chomiak a apporté toutes ses archives avec lui quand le Canada l’a accueilli. Il avait confiance qu’il allait retourner en Ukraine, mais ne savait pas qu’il fallait attendre 2023. Et il les a même déposées aux Archives provinciales d’Alberta, où on peut lire ce qu’il écrivait et publiait, dont une célébration de la « victoire » à Dieppe, bien sûr celle des Nazis.
Deux monuments à des nazis au Canada (un a Oakville près de Toronto, un autre à Edmonton) érigés par des organismes financés notamment par le gouvernement canadien en vertu de sa politique multiculturelle.
CONCLUSION:
SUIVRE ZELENSKIY NOUS FERA ABOUTIR DANS LES BRAS DU SS
Dans une autre chronique nous reviendrons sur l’arrivée de 2000 ex-Waffen SS dans les années 1950 et le rôle que le Canada les a fait jouer.
Le pied à Papineau, CKVL 100,1, FM – Animé par Robin Philpot
Pour aller plus loin :
Les squelettes de Chrystia Freeland et le silence de Justin Trudeau
Chrystia Freeland : quand « pas de nouvelles » est une nouvelle en soi
Source : Lire l'article complet par Mondialisation.ca
Source: Lire l'article complet de Mondialisation.ca